Le retard de Caroline (écrit par Valérie)
Merci à ma délicieuse amie Valérie pour ce joli texte!
Paniquée, Caroline frappa à la porte de la classe.
« Entrez ! » dit le professeur Max.
Caroline ouvrit doucement la porte, et entra, les mains posées sur ses hanches.
« Bonjour Monsieur, dit-elle d’un air gêné.
- Bonjour Caroline. Vous avez vu l’heure ? Vous êtes en retard de trente minutes ! »
Caroline était visiblement mal à l’aise et son comportement semblait bizarre. Elle demanda brusquement :
« Monsieur, mes excuses ! Connaissez-vous l’adresse de la mercerie ? »
Là-dessus, toute la classe éclata de rire et Caroline rougit de honte. Après avoir fait signe aux élèves de se calmer, le professeur Max demanda :
« Mais … Qu’est-ce qui ne va pas ?
- Euh … euh … J’ai un souci pour ma … euh… culotte. » répondit-elle en levant les bras.
Et, comme pour souligner son propos, la petite culotte de la jeune fille se mit à glisser le long de ses jambes jusqu’à ses chevilles.
Tous les élèves éclatèrent de rire et les regards sévères du professeur ne parvinrent même pas à les arrêter.
« Chut ! Chut ! Calmez-vous ! » répétait-il.
Puis, constatant la situation, il se tourna, indigné, vers Caroline.
« Mon Dieu ! Vous n’avez pas honte? Vous avez un problème d’élastique !
- Mon réveil est en panne, s’excusa-t-elle. Je me suis réveillée en retard… Toutes mes culottes étaient sales ; j’ai dû en emprunter une à ma mère… »
Un fou rire fusa à nouveau dans toute la classe.
« Vous avouez donc que tout est de votre faute ? insista le professeur Max.
- Je suis désolée, Monsieur, répondit Caroline en rougissant.
- Je vous ai déjà avertie deux fois ! Maintenant ça suffit ! Venez-ici ! »
Le professeur positionna sa chaise sur l’estrade face aux élève et s’assit. Caroline s’approcha d’une démarche hésitante.
« Allez ! Sur mes genoux ! » ordonna-t-il.
Docilement, Caroline obéit. Max retroussa la petite jupe courte, mais n’eut point besoin de baisser la culotte, celle-ci étant déjà aux chevilles.
Et, en public, le professeur entreprit de fesser ce derrière nu, d’abord doucement, puis en accélérant de plus en plus vigoureusement. A chaque coup, Caroline ne pouvait retenir un cri. Lorsque ses fesses eurent atteint un rose bien vif, le professeur Max déclara :
« Voilà, la punition est terminée. Voici mes conseils : avancer la sonnerie d’un quart d’heure et préparer ses vêtements la veille. Ainsi, bientôt, le mot retard ne sera plus qu’un vilain souvenir.
- Oui, Monsieur, je vous le promets, répondit-elle en essuyant ses larmes. »...