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Institut du Professeur Max
29 juillet 2015

Le retard de Caroline (écrit par Valérie)

Merci à ma délicieuse amie Valérie pour ce joli texte!

 

Paniquée, Caroline frappa à la porte de la classe.
« Entrez ! » dit le professeur Max.

Histoire_de_Val_rie01


Caroline ouvrit doucement la porte, et entra, les mains posées sur ses hanches.
« Bonjour Monsieur, dit-elle d’un air gêné.
- Bonjour Caroline. Vous avez vu l’heure ? Vous êtes en retard de trente minutes ! »
Caroline était visiblement mal à l’aise et son comportement semblait bizarre. Elle demanda brusquement :
« Monsieur, mes excuses ! Connaissez-vous l’adresse de la mercerie ? »
Là-dessus, toute la classe éclata de rire et Caroline rougit de honte. Après avoir fait signe aux élèves de se calmer, le professeur Max demanda :
« Mais … Qu’est-ce qui ne va pas ?
- Euh … euh … J’ai un souci pour ma … euh… culotte. » répondit-elle en levant les bras.
Et, comme pour souligner son propos, la petite culotte de la jeune fille se mit à glisser le long de ses jambes jusqu’à ses chevilles.

Histoire_de_Val_rie


Tous les élèves éclatèrent de rire et les regards sévères du professeur ne parvinrent même pas à les arrêter.
« Chut ! Chut ! Calmez-vous ! » répétait-il.
Puis, constatant la situation, il se tourna, indigné, vers Caroline.
« Mon Dieu ! Vous n’avez pas honte? Vous avez un problème d’élastique !
- Mon réveil est en panne, s’excusa-t-elle. Je me suis réveillée en retard… Toutes mes culottes étaient sales ; j’ai dû en emprunter une à ma mère… »
Un fou rire fusa à nouveau dans toute la classe.
« Vous avouez donc que tout est de votre faute ? insista le professeur Max.
- Je suis désolée, Monsieur, répondit Caroline en rougissant.
- Je vous ai déjà avertie deux fois ! Maintenant ça suffit ! Venez-ici ! »
Le professeur positionna sa chaise sur l’estrade face aux élève et s’assit. Caroline s’approcha d’une démarche hésitante.
« Allez ! Sur mes genoux ! » ordonna-t-il.
Docilement, Caroline obéit. Max retroussa la petite jupe courte, mais n’eut point besoin de baisser la culotte, celle-ci étant déjà aux chevilles.
Et, en public, le professeur entreprit de fesser ce derrière nu, d’abord doucement, puis en accélérant de plus en plus vigoureusement. A chaque coup, Caroline ne pouvait retenir un cri. Lorsque ses fesses eurent atteint un rose bien vif, le professeur Max déclara :
« Voilà, la punition est terminée. Voici mes conseils : avancer la sonnerie d’un quart d’heure et préparer ses vêtements la veille. Ainsi, bientôt, le mot retard ne sera plus qu’un vilain souvenir.
- Oui, Monsieur, je vous le promets, répondit-elle en essuyant ses larmes. »...

 

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Commentaires
A
Il semblerait que l'Alsace soit un repère de chipies pas bêtes du tout !.
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V
Merci Anouchka, moi aussi je suis alsacienne :)
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A
Ben, euh, j'envisageais de m'inscrire à l'Institut pour combler mes nombreuses lacunes mais être fessée de la sorte devant toute la classe et juste pour un retard et une culotte qui ne tient pas,, ça me fait un peu peur : c'est que les pannes de réveil, ça me connaît ....<br /> <br /> En tout cas, bravo Valérie pour ton récit courageux ;-) ... ! Et merci, surtout, de prévenir !
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V
Merci beaucoup chipinette ❤️
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C
très joli texte, j'aime beaucoup!! et Caroline n'a eu que ce qu'elle méritait!!
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