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Institut du Professeur Max
28 janvier 2016

Léa prend le métro

Merci à mon amie Sourillante pour cette histoire!

Comme tous les lundis, je rejoignais l’institution du Professeur Max. Mais ce lundi,  à cause d’un réveil qui n’avait pas sonné,  j’arrivais en retard.

En espérant qu’aucun membre de l’enseignement ne me voit,  et encore essoufflée d’avoir couru, je me dirigeai vers les toilettes afin d’attendre le prochain cours. Je n’eus pas le temps d’y arriver ;  j’entendis une voix :  « Où allez-vous Mademoiselle ? »…  Que je reconnus tout de suite : c’était Mr Max.

« Mlle Léa, c’est à cette heure que vous arrivez ? Les cours sont commencés depuis 45 minutes !

- Mais Monsieur Maxou, ce n’est pas de ma faute, il …

- Comment ça pas de votre faute ? »

Mr Maxou me fixa, en fronçant les sourcils, moi, je baissais les yeux.

« Léa, quelque chose ne va pas ? »

- Heu ! si Monsieur tout va bien. C’est que ……..

- Quoi donc, Léa ? »

Mes joues étaient encore rouges, car je repensais à ce qu’il m’était arrivé sur le chemin…

Le regard de Mr Maxou se porta  sur ma jupe,  « Léa c’est quoi ces marques rouges, aurais-tu été fessée? »

Je sentis mes joues rougir de plus belle  «  Heu ! Non  ……..Mr Maxou,  ben c’est que…   enfin oui Mr Maxou. »

Alors, il me fit signe de m’asseoir, mais je refusais la chaise  et je lui racontai ma mésaventure.

 Mon réveil n’ayant pas sonné, je dus faire vite ce matin ; je courus jusqu’à la station de métro et je montais dans la rame.

Smrfl

Lorsque je m’aperçus que j’avais oublié de  valider mon ticket, je souhaitais qu’il n’y eut pas de contrôle. Quelques stations plus tard, je vis les hommes en costumes verts qui montaient dans la rame. « Contrôle des billets ! »   Timidement, n’osant pas regarder le contrôleur, je lui tendis mon titre de transport.

« Mais Mademoiselle, vous ne l’avez pas validé ! »

Gênée, tout en baissant les yeux, je répondis  «  Heu ! heu ! C’est que, heu…  j’ai oublié, Monsieur .»

- Pas grave,  Mademoiselle, cela vous coûtera 90  €.

- Mais Monsieur je n’ai pas d’argent sur moi !

- Ha ! ha ! ha ! , dans ce cas, il y a une autre solution, Mademoiselle.

- Et laquelle, s’il vous plait Monsieur ?

- Ça, c’est à vous de le dire :  90€ ou l’autre solution ?

Ma curiosité me fit opter pour la seconde solution. Mal m’en a pris !

Le contrôleur s’assoit et d’un mouvement rapide me prend le bras et je me retrouve sur ces genoux, il commence à me fesser, sur la jupe. J’essaye de me débattre, mais il me tient bien fermement. Au bout d’un moment les claques cessèrent, je voulus me relever quand je sentis qu’il me soulevait la jupe !

« Non Monsieur, pas ça !», et il me fessa sur la culotte.  Je gémissais, je criais, je me débattais, mais rien ne l’arrêtait. Les claques se faisaient de plus en plus fortes.  Mes fesses commençaient à chauffer et à rougir. Je hurlais, je me débattais et les voyageurs ne disaient rien. Enfin les claques cessèrent ! Le contrôleur m’autorisa à me relever.  Et d’un ton autoritaire, il me demanda d’enlever la jupe et la culotte. Mes joues rougirent. Je feignis de ne pas entendre.

« Enlève ta jupe et ta culotte ! »  J’obéis, puis me rallongeai sur ses genoux et il recommença à claquer mes fesses nues. Le geste était régulier, une claque sur la fesse droite, une sur la gauche parfois sur les deux  en même temps, il tapait de plus en vite.   Je n’en pouvais plus. Mes fesses brûlaient. Des larmes perlaient sur mes joues. J’entendais le contrôleur :

« Voici la nouvelle amende  pour les fraudeurs ! »   criait-il aux passants qui montaient dans la rame .

Metro plein avec flou

Puis les tapes  ralentirent. Enfin, je fus libérée.  La honte dans l’âme, je me rhabillai.  Le contrôleur me mis dans un coin mains sur la tête, et jupe relevée.  Et cul nu.  C’est alors que je pus lire sur les visages de voyageurs leur satisfaction.  D’autres, par contre, détournèrent leur regard. La punition s’acheva au terminus. 

Je me jurai de ne plus frauder.

« Léa ? … Léa ! »

Je me réveille, j’ouvre les yeux… Je suis en classe, affalée sur ma table. M Max est en face de moi et me regarde en fronçant les sourcils :

« Encore en train de dormir en cours ! J’espère au moins que tu as fait un joli rêve! »

 

 

 

 

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24 janvier 2016

Problèmes et logique

Voici le type de problèmes que nos étudiants peuvent avoir à résoudre en cours de mathématiques:

1004668_313210915484455_1598927913_n

Lisette, Mylène et Dorothée ont eu des très mauvaises notes, chacune dans une des matières suivantes : sciences, histoire et grammaire.

Max utilise pour chacune un instrument de punition différent : martinet, canne et ceinturon.

Lisette est excellente en histoire, ce qui lui évite le martinet.

trois chipies au coin

Mylène n’a jamais reçu le martinet.

Le ceinturon n’est pas utilisé en sciences.

Lisette n’est pas punie avec la canne.

Pour chaque étudiante, indiquez la matière échouée et l’instrument de punition utilisé.

En ce qui concerne les mathématiques, les mauvaises réponses seront punies à l'aide des trois instruments sus-mentionnés.

Et voici la récompense pour les bonnes réponses :

 

25s8mzlMerci à Mirabelle pour ce joli montage !

 

 

19 janvier 2016

"L'Ecole des Bonnes Manières" Un texte d'Anouchka

Merci à Anouchka pour cette contribution  à l'univers "Maxien"!

 Monsieur Max, éreinté par des élèves tous plus rebelles les uns que les autres et par un staff enseignant à peu près aussi anarchique, se demande s'il a bien fait d'ouvrir cet Institut (pourtant reconnu d'utilité publique !) et réfléchit en ce dimanche soir de l'an de disgrâce 2016, prostré dans son bureau, à l'opportunité de s'offrir des vacances avant de prendre une décision.

 


Une petite visite sur Google lui apporte une réponse inespérée sous l'apparence d'une petite maison toute simple et sympa au bord d'un lac en Ardèche. C'est décidé, pendant deux semaines, Monsieur Max sera Ardéchois où il cultivera comme il se doit l'Art des Choix ...osons espérer que ce séjour lui inspirera le meilleur !

Et c'est parti ! Tout guilleret, il rentre faire sa valise qu'il balance joyeusement dans le coffre de sa vieille guimbarde et prend la route ... à 23h12. C'est un soir d'hiver assez froid sans être glacial mais Monsieur le Directeur, heureux et libre comme l'air n'en a cure. Les fenêtres à l'avant sont grandes ouvertes et l'Arpeggione de Schubert par Anne Gastinel et Claire Désert  remplit l'habitacle de son véhicule et égaie la campagne environnante. Monsieur Max est tellement heureux qu'il en a les larmes aux yeux.

https://youtu.be/IJq8Jg5AH8A

 

La nuit et les routes de campagne (tellement plus chouettes que l'autoroute !) défilent et il est 7 heures du mat' quand le vacancier arrive à Lyas. Le plan d'eau sous le soleil qui se lève, étincelle et clapote, ... invitant à la pêche plutôt qu'à la baignade. Tiens, c'est une bonne idée ça : dès qu'il aura pris un bon petit déjeuner, Monsieur Max ira à l'Agence Immobilière retirer les clefs de sa maison, faire quelques courses pour assurer sa pitance des jours à venir et s'acheter une canne à pêche : ce qu'il y a de bien avec les poissons, c'est qu'ils ne parlent pas, ne discutent pas, ne revendiquent pas. Le silence et la beauté de la nature, c'est sûr maintenant, ne pourront qu'éclairer Sir Max dans ses choix futurs.

Ecole BM0


De fait, quelques jours se passent dans l'harmonie la plus totale et le Professeur s'épanouït à vue d'oeil. La météo et les commerçants(aussi accueillants que discrets) du petit village participent pleinement à cette sérénité retrouvée.

C'est dans ces dispositions fort agréables et sur la musique de "la Truite" cette fois que l'éminent Pédagogue et Educateur de ces dames a une vision apocalyptique (n'y voyez, je vous prie, que la fin du monde bruyant de la grande ville) : celle d'un Institut de Bonnes Manières qui verrait le jour dans ce joli et paisible petit village.

https://youtu.be/KzHZudj2zu0

 

Le Maire du village de Lyat, dont la mère est Suissesse et fut elle même en son temps Directrice d'un tel Institut, ravi de voir en Monsieur Lipp un sauveur de l'humanité, lui a promis de rénover pour l'été une vieille ferme dans les hauts. Cette masure antique (mais solide) comportant des annexes, Monsieur Max pourra aménager chaque bâtiment. Les étudiants auront leurs dortoirs et leur salle d'étude dans l'ancienne étable. Les profs et le Directeur  s'installeront dans l'ancienne porcherie. Il y auront leurs chambres respectives, une kitchenette et un espace commun pour se détendre après les dures journées de stage. La bâtisse principale, elle, sera réservée aux salles de classe, au réfectoire, au bureau du Directeur et à la salle des profs. La secrétaire y aura un petit bureau dans un cagibi attenant au bureau de son supérieur hiérarchique (mais vraiment petit pour qu'elle n'ait pas de place pour tout ranger et que ce pervers de Directeur puisse souvent lui claquer le derrière). 

 

Voici donc la somptueuse résidence dégotée par le Maire pour y abriter les turpitudes d'une bande d'illuminés (qui se sont mis dans la tête de rééduquer une brochette de garnements dont l'âge varie à peu près de 35 à 75 ans...). 

Ecole BM1


A gauche en entrant, le home des "sales gosses". Puis, face à nous, toujours à gauche (le côté du coeur...) la Résidence du Directeur et des Profs. A droite, la Maison Mère avec une grande entrée coupée en son milieu par un superbe escalier.  En bas et à gauche, le réfectoire, les cuisines et les toilettes. A droite la salle des profs et celle de sports. En haut de l'escalier, le Bureau du Directeur encadré de chaque côté par une salle de classe (ce qui accélère le délai de punition pour les comparutions immédiates...). 

Le Bureau du Directeur est immense, ce qui s'explique déjà par son statut privilégié mais aussi parce que cette pièce fait office chaque vendredi soir de salle des  jugements et punitions. Au fond et à droite, une petite porte ouvre sur un joli cagibi, cosy mais pas super pratique, qui sert de bureau à la secrétaire,Anouchka.  Monsieur le Directeur, dans son infinie bienveillance , a voulu cette pièce étroite ... soit disant pour préserver la chaleur en hiver et la fraîcheur en été. En réalité, cet homme machiavélique s'est assuré que jamais son assistante administrative ne pourrait stocker tous les documents dans un espace aussi petit, que par conséquent ce serait le souk pendant toutes les  périodes de vacances et que, en toute logique il pourrait lui rougir fréquemment le joufflu. Dame, c'est qu'elle a un gros derrière la donzelle !

Comme je suis une personne bien élevée, je laisse à Mesdames Myrtille et Charlotte, les professeurs principaux, le soin et le bon goût de meubler et décorer toutes les pièces ! 

Si Monsieur Max a souhaité ouvrir cet institut de vacances dédié à l'apprentissage des bonnes manières, c'est parce qu'il s'est rendu compte que pendant l'année et à Paris, ses élèves mais aussi son personnel enseignant et sa secrétaire en prenaient trop à leur aise. Monsieur le Directeur tient beaucoup à ce que son établissement comme ses enseignements jouissent d'une excellente réputation et pour ça il ne laisse rien au hasard.

L'emploi du temps d'une semaine de stage à l'Institut des Coquelicots se décompose ainsi :


- chaque matin à 6h, lever des élèves
- petit déjeuner en silence
- de 8h à 10h : sport
- de 10h30 à 12h30 : instruction civique ou Histoire de France
- de 12h30 à 13h15 : repas dans le calme au réfectoire pour les élèves sous la surveillance de Monsieur Ours
- de 13h30 à 15h : sieste obligatoire
- de 15h30  à 17h30 : devoir sur table sur les cours du matin, sur un fait d'actualité ou encore sur un sujet d'intérêt général.
- de 17h30 à 19h : quartier libre sauf pour les élèves s'étant distingués par un mauvais comportement.
- de 19h à 20h : repas.
- Extinction des feux à 22h30 pour tous.

Chaque vendredi soir, à 20h, les copies de la semaine sont rendues dans le bureau du Directeur  et tout élève ayant une moyenne inférieure à 10/20 est fessé devant toute l'école.Il en va de même pour les indisciplinés qui comparaissent devant le  Grand Conseil. Selon la gravité des écarts, le ou la fautif(ve) est puni à la main, au martinet ou à la badine, Monsieur Ours étant chargé d'exécuter cette dernière sentence.

Ecole BM2


Pour les enseignantes et la secrétaire, la séance de recadrage, si elle s'avère nécessaire, se déroule le samedi soir. Si les enseignantes ont le droit d'assister à la fessée de la secrétaire, elle par contre doit sortir une fois sa punition administrée. Lors de ces séances, Monsieur Max procède au jugement (inique la plupart du temps), prononce la sentence et sévit en conséquences sauf pour la badine ...toujours réservée au Révérend Père Ours...

A la fin de chaque session de stage les éléments les plus méritants sont récompensés par un diplôme. Les autres se voient remettre une invitation au stage suivant. Mais systématiquement, au cours de l'année scolaire qui suit, les mauvais comportements reprennent le dessus et ce sont toujours les mêmes qu'on voit revenir aux vacances d'après !

12 janvier 2016

Catalogue d'objets introuvables (technologie)

Les cours de technologie permettent à nos étudiants de donner libre cours à leur imagination. Voici quelques objets conçus et fabriqués à l’institut :

 

 

 

Double canne anglaise en rotin

La canne double, permettant à deux fesseurs d’officier en même temps sur la même personne punie. Nécessite une bonne coordination.

 

 

 

Double martinet 01

Le double martinet, permettant à un seul fesseur de punir deux étudiants simultanément. Pour une utilisation optimale, il est recommandé de pratiquer régulièrement le canoë-kayak ! On remarquera le côté bleu pour punir les étudiants et le côté rose pour punir les étudiantes. Le modèle existe aussi en monochrome (bleu ou rose).

 

 

 

Paddle pour douillets

La paddle pour douillet(te)s. Le petit parachute permet d’amortir l’affessissage pour le rendre moins douloureux. Le parachute est amovible.

 

 

Culotte invisible 01

 

La culotte invisible pour tromper le fesseur. Celui-ci est persuadé d’administrer une fessée déculottée, alors qu’en fait les fesses sont toujours protégées !

 

Culotte invisible

 

Existe en différentes tailles ; nous consulter.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hommage à Carelman !

 

10 janvier 2016

Léa a fait les soldes

La pauvre Léa raconte elle-même sa dernière convocation dans le bureau directorial:

 

Pour la énième fois, j'étais convoquée dans le bureau du directeur, Mr Max. Cette fois-ci j’avais dû prendre de quoi noter.

Léa

« Ha ! Léa !  Comment s’est passé ta promenade au Forum des Halles ?

- Très bien, Monsieur Maxou, mais le quartier des Halles, quel bordel,  et la sortie Lescot, je ne vous en parle pas. Je l’ai cherchée, j’ai bien suivi la direction,  je suis descendue, remontée, tout droit, demi-tour, redescendue, nouvelle remontée... Enfin, bref, j’étais perdue.

- Tu es allée faire les soldes au lieu d’aller en cours… J’espère au moins que tu as fait de bonnes affaires !

- Ah, il y avait cours ? Je… j ’avais oublié, Monsieur Maxou !

- S’il n’y avait que ça ! J’espère que tu sais pourquoi que je t'ai fait venir ? »

Je le regardai d’un air embêté :

« Ben, non, Monsieur Maxou ! » lui répondis-je avec un sourire .

Mais ce jour là Mr Maxou n’était pas d’humeur à rire. Le matin même il avait eu une réunion assez houleuse.

« Comment ça ? »  dit-il en fronçant les sourcils et d’une voix autoritaire à faire frémir les élèves (mais pas Léa!) .

Sur ce, il vient vers moi et me donne une bonne claque sur les fesses !

 « File au coin ! » 

J’y allais sans rechigner. Il souleva ma jupe et descendit  ma culotte aux chevilles . Puis, il me l’enleva complètement.

J’entends du bruit derrière moi,  des ouvertures de tiroirs, bizarre... d’habitude il le trouve tout de suite. Mais que cherche-t-il ?

« Bien je vois que tu as pris de quoi noter,  viens, assieds toi et prends ton cahier pour la dictée.

- Ho ! non !

- Ah Si !, Léa ! »

Je fis  la dictée.  Lorsque ce fut terminé,  il la corrigea ; je ne m’en sortais pas trop mal : 15 fautes...

Dictée Léa réduite

Mais pas pour Mr Maxou qui aussitôt me fit signe de m’allonger sur ses genoux pour corriger les fautes d’orthographe sur mes fesses. Pendant qu’il me fessait, discrètement, je lui enlevais les lacets de ses chaussures.  Et je jouai avec... Alors, excédé,  il me releva, et ôta ses chaussures. Ensuite, il continua à me fesser de plus belle et me remit au coin. J’avais remarqué le martinet bien vue sur son bureau.

«Ton professeur de maths me dit que tu ne sais pas tes tables ?

- Ben si Monsieur, je les sais , la table de  2 et de 5 et même la 3 !

- Je vais vérifier : je prends celle de 13. Mais pas dans l’ordre ! Cela serait trop facile !

- Ben je me doute

- 9x13?

- 147 ! » lui repondis-je de suite,  fière de moi ! …. Un peu moins lorsque je sentis quelques lanières s’abattre sur mon fessier.

« Léa ! 10x13= 130 donc  9x13 ne peut pas faire 147! »

Et ainsi de suite …

Après quelques erreurs ponctuées de plusieurs coups de martinet, Mr Maxou me remit au coin afin d’admirer la belle couleur de mes fesses .

Léa fesses rouges

 

 

Lorsqu’il m’autorisa à remettre ma culotte, j’en profitai pour lui donner le petit paquet que j’avais apporté.

« Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-il

- Des chocolats belges, Monsieur Maxou. Je suis allé aux Halles juste pour vous les acheter ! »

Là, je le vis perdre sa belle assurance. D’un seul coup, il avait l’air un peu perdu, comme s’il ne savait pas quoi dire.

« Merci Léa ! Tu ne m’en veux pas trop de te martyriser, alors ? Je vais te mettre une bonne note, pour la peine ! » Et il m’offrit de partager avec lui les bonnes truffes de Bruxelles !

Quelques chocolats pour se remettre d’une fessée… au fond, pourquoi pas ?

Merci pour ta contribution !

 

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