Léa prend le métro
Merci à mon amie Sourillante pour cette histoire!
Comme tous les lundis, je rejoignais l’institution du Professeur Max. Mais ce lundi, à cause d’un réveil qui n’avait pas sonné, j’arrivais en retard.
En espérant qu’aucun membre de l’enseignement ne me voit, et encore essoufflée d’avoir couru, je me dirigeai vers les toilettes afin d’attendre le prochain cours. Je n’eus pas le temps d’y arriver ; j’entendis une voix : « Où allez-vous Mademoiselle ? »… Que je reconnus tout de suite : c’était Mr Max.
« Mlle Léa, c’est à cette heure que vous arrivez ? Les cours sont commencés depuis 45 minutes !
- Mais Monsieur Maxou, ce n’est pas de ma faute, il …
- Comment ça pas de votre faute ? »
Mr Maxou me fixa, en fronçant les sourcils, moi, je baissais les yeux.
« Léa, quelque chose ne va pas ? »
- Heu ! si Monsieur tout va bien. C’est que ……..
- Quoi donc, Léa ? »
Mes joues étaient encore rouges, car je repensais à ce qu’il m’était arrivé sur le chemin…
Le regard de Mr Maxou se porta sur ma jupe, « Léa c’est quoi ces marques rouges, aurais-tu été fessée? »
Je sentis mes joues rougir de plus belle « Heu ! Non ……..Mr Maxou, ben c’est que… enfin oui Mr Maxou. »
Alors, il me fit signe de m’asseoir, mais je refusais la chaise et je lui racontai ma mésaventure.
Mon réveil n’ayant pas sonné, je dus faire vite ce matin ; je courus jusqu’à la station de métro et je montais dans la rame.
Lorsque je m’aperçus que j’avais oublié de valider mon ticket, je souhaitais qu’il n’y eut pas de contrôle. Quelques stations plus tard, je vis les hommes en costumes verts qui montaient dans la rame. « Contrôle des billets ! » Timidement, n’osant pas regarder le contrôleur, je lui tendis mon titre de transport.
« Mais Mademoiselle, vous ne l’avez pas validé ! »
Gênée, tout en baissant les yeux, je répondis « Heu ! heu ! C’est que, heu… j’ai oublié, Monsieur .»
- Pas grave, Mademoiselle, cela vous coûtera 90 €.
- Mais Monsieur je n’ai pas d’argent sur moi !
- Ha ! ha ! ha ! , dans ce cas, il y a une autre solution, Mademoiselle.
- Et laquelle, s’il vous plait Monsieur ?
- Ça, c’est à vous de le dire : 90€ ou l’autre solution ?
Ma curiosité me fit opter pour la seconde solution. Mal m’en a pris !
Le contrôleur s’assoit et d’un mouvement rapide me prend le bras et je me retrouve sur ces genoux, il commence à me fesser, sur la jupe. J’essaye de me débattre, mais il me tient bien fermement. Au bout d’un moment les claques cessèrent, je voulus me relever quand je sentis qu’il me soulevait la jupe !
« Non Monsieur, pas ça !», et il me fessa sur la culotte. Je gémissais, je criais, je me débattais, mais rien ne l’arrêtait. Les claques se faisaient de plus en plus fortes. Mes fesses commençaient à chauffer et à rougir. Je hurlais, je me débattais et les voyageurs ne disaient rien. Enfin les claques cessèrent ! Le contrôleur m’autorisa à me relever. Et d’un ton autoritaire, il me demanda d’enlever la jupe et la culotte. Mes joues rougirent. Je feignis de ne pas entendre.
« Enlève ta jupe et ta culotte ! » J’obéis, puis me rallongeai sur ses genoux et il recommença à claquer mes fesses nues. Le geste était régulier, une claque sur la fesse droite, une sur la gauche parfois sur les deux en même temps, il tapait de plus en vite. Je n’en pouvais plus. Mes fesses brûlaient. Des larmes perlaient sur mes joues. J’entendais le contrôleur :
« Voici la nouvelle amende pour les fraudeurs ! » criait-il aux passants qui montaient dans la rame .
Puis les tapes ralentirent. Enfin, je fus libérée. La honte dans l’âme, je me rhabillai. Le contrôleur me mis dans un coin mains sur la tête, et jupe relevée. Et cul nu. C’est alors que je pus lire sur les visages de voyageurs leur satisfaction. D’autres, par contre, détournèrent leur regard. La punition s’acheva au terminus.
Je me jurai de ne plus frauder.
« Léa ? … Léa ! »
Je me réveille, j’ouvre les yeux… Je suis en classe, affalée sur ma table. M Max est en face de moi et me regarde en fronçant les sourcils :
« Encore en train de dormir en cours ! J’espère au moins que tu as fait un joli rêve! »