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Institut du Professeur Max
4 octobre 2015

Max recrute !

Shlaaak !

« Aïe ! Vous me faites mal, Monsieur Max !

- J’en suis désolé, Léa, mais c’est une punition !

- Vous m’avez donné au moins douze coups de martinet, c’est trop !

- Je suis d’accord avec toi Léa, c’est beaucoup trop !

- Vous voyez !

- Il ne tenait qu’à toi d’en avoir moins : il te suffisait d’apprendre les paroles de la chanson !

- Mais je vous assure, Monsieur Maxou, que je les ai apprises…

- Pas suffisamment ! Et tu pourrais essayer de faire un petit effort pour chanter juste !

- Si vous croyez que c’est facile de chanter, accompagnée au martinet !

- Allez , on reprend.

- Hein ?? Pas depuis le début !

- J’ai bien peur que si, Léa…

-  Attendez ! J’ai entendu frapper, monsieur Maxou.

- Tu essayes encore de gagner du temps, Léa ! Ce n’est pas… »

 

La porte s’ouvrit à toute volée et Charlotte fit irruption dans la pièce.

Max sursauta et lâcha le martinet qui tomba au sol. Gentiment, Léa se baissa pour le ramasser.

« Bonjour Max ! lança Charlotte en s’asseyant.

- Ah Charlooootte ! Quelle bonne surpriiise ! »

La dernière entrevue avec la présidente de la Fondation avait donné lieu à  des échanges constructifs mais cuisants de part et d’autre… Max appréciait énormément Charlotte , son franc parler et son enthousiasme ainsi que sa main vigoureuse et son magnifique postérieur . Il savait aussi qu’elle ne se déplaçait pas pour rien.

« Je ne te dérange pas ?

- Euh , je finissais une leçon particulière de musique… Comme tu vois.

- Je vois . De musique ? Et … c’est normal que ton élève soit toute nue, je suppose ?

- Absolument Charlotte ! Le but, c’est que nos élèves chantent a cappella.

- Où ça  ?

- Euh non Charlotte, a cappella, ça veut dire du chant pur, sans rien autour…

- Je sais ce que veut dire a cappella, Max ! Je connais le latin !

- Mais ce n’est pas…

- Bref ! Max, je t’annonce que tu as deux nouvelles enseignantes.

- Non, pas à ma connaissance.

- Si si, tu as besoin de professionnels qualifiés et je t’ai trouvé les perles rares. Elle commencent demain.

Recrutement 01

- Votre martinet, Monsieur Maxou… il était tombé par terre. Je me suis permis de le ramasser intervint Léa.

- Merci Léa. Tu as très bien fait . répondit Max en rangeant l’instrument dans son tiroir. Tu peux te rhabiller et nous laisser ?

- Bien sûr, Monsieur Maxou ! »

Max et Charlotte restèrent silencieux le temps que l’étudiante remette ses vêtements. Lorsqu’elle fut sortie, Max reprit :

« Deux nouvelles enseignantes demain ? On va voir ça : tu as les CV ?

- Pff ! Pas besoin de CV ! Tu as ma garantie! Tu verras : c’est du haut de gamme ! La première, c’est une fille du sud-ouest. Elle va prendre en charge les matières scientifiques.

- Bien… J’examinerai son dossier dès que j’aurai …

- Elle est là, dans le couloir. Je la fais entrer.

- Euh… »

La porte s’ouvrit à nouveau, et d’un pas alerte, une belle jeune femme s’introduisit et s’assit à côté de Charlotte sans y avoir été conviée.

« Voici ma coupine Myrtille, annonça Charlotte, elle va relever le niveau de ton institut. Tu vas voir ça !

- Je n’en doute pas, Charlotte répondit Max. Bonjour Madame, puis-je connaître vos motivations pour venir enseigner chez nous ?

- Je pense que dans votre Institut, le développement équitable pilote la clairvoyance fédérative sur la route d'un encadrement plus propice à l'instauration d'un climat de confiance. »

Quelques secondes de silence..

« Qu’est-ce que je t’avais dit ? reprit Charlotte. Elle a des compétences en chimie, en physique, elle maîtrise les circuits électriques comme sa poche, et en informatique, elle s’éclate !

- Je suis très impressionné ! répondit Max. Et en mathématiques ? J’ai récemment donné à mes élèves un petit problème qui leur a donné du fil à retordre. »

Il sortit une feuille de son tiroir et la tendit à la jeune femme . Celle-ci y jeta un œil, la reposa sur le bureau et dit :

« Je vais donc présenter ma réponse et mon raisonnement. Je pose L pour Luciana, M pour Margot et D pour Dorothée. L'énoncé peut donc s'écrire avec les équations suivantes :
M=L+3 ; D=3L et M+L+D=23.
On peut immédiatement trouver la valeur de L dans la dernière équation. Ce qui donne : L+3+L+3L=23 5L=20L=4
Ce qui me permet alors de résoudre les deux équations manquantes :
M= 4+3 M=7
L=3x4L=12

On obtient donc :
Margot 7 , Luciana 4  et Dorothée 12 ! »

A nouveau, le silence s’installa. Charlotte et Myrtille souriaient en regardant Max.

Recrutement 02

Celui-ci reprit la parole :

« Vous semblez avoir le profil requis, Myrtille. Il reste une petite formalité : quelle que soit la matière enseignée, je suis très exigeant sur le niveau de langue, et notamment l’orthographe. »

Pour la première fois, la jeune femme sembla un peu déstabilisée :

« Euh… bien sûr.., je suis moi-même très attentive au niveau de mes élèves.

- Je n’en doute pas. Vous ne verrez donc aucun inconvénient à ce que nous procédions à un petit test dès demain.

- Vous souhaitez que je commence par tester le niveau d’orthographe des élèves, Monsieur Max ?

- Pas du tout. C’est moi qui vais tester votre niveau d’orthographe… et bien sûr dans les même conditions que pour les élèves. Mêmes exigences… et mêmes sanctions.

- Max ! Tu crois que c’est vraiment nécessaire ? demanda Charlotte.

- Absolument ! En tant que présidente de la Fondation, tu comprendras que je mette une certaine rigueur dans le recrutement de mes enseignants.

- Oui , mais puisque je te garantis …

- Merci, Myrtille, à demain donc à la première heure, pour ce petit test. Je ne vous retiens pas : vous avez sans doute vos cours à préparer. »

La jeune femme regarda Charlotte, puis se leva et sortit… d’un pas nettement moins assuré. Max se tourna vers Charlotte

« Et l’autre enseignante, Charlotte ?

- Comment ?

- Tu m’avais parlé de deux enseignantes, me semble-t-il. L’autre est là aussi ?

- Oui.

- Tu peux la faire entrer ?

- Elle est devant toi. »

Max regardait Charlotte sans comprendre.

« Tu veux dire que … C’est toi ?

- En personne Max ! J’ai décidé de m’impliquer personnellement dans ton Institut. Tu devrais être content , non ?

- Ah mais… Je le suis, Charlotte… Je suis… ravi ! … J’ai juste une petite question.

- Je t’écoute Max.

- Tu veux enseigner quoi ?

- Ah mais le latin Max. Je suis latiniste.

- Ah mais bien sûr Charlotte ! Comment ai-je pu l’oublier ! Errare humanum est !

- Et rare est quoi ?

- Non rien ! Tu ne verras pas d’inconvénient à passer toi aussi un petit test demain matin , j’imagine !

- Enfin , Max ! Je suis la présidente de la Fondation !

- Ce n’est pas la présidente qui sera testée ! Mais la future enseignante émérite que je m’apprête à recruter.

- Mais pas avec les mêmes exigences que pour les étudiantes, quand même ?

- Ah , mais si, Charlotte ! Ici, pas de passe-droit, tu le sais ! A demain, donc. »

Se voyant signifier congé, Charlotte se leva et se dirigea vers la porte.

« A demain Max, dit-elle d’une toute petite voix.

- A propos, a capella, ce n’est pas du latin, mais de l’Italien. Mais je suppose que tu le savais, bien sûr … »

 

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31 août 2015

Récitations!

Mylène marchait dans les couloirs de l’Institut. Elle se dirigeait vers le bureau du directeur, mais plus elle s’en approchait, plus son allure diminuait. Plus que quelques mètres à parcourir… maintenant, elle était presque à l’arrêt, comme paralysée.

Elle savait que si Max l’avait convoquée, ce n’était pas pour la féliciter. Elle s’était rappelée au dernier moment d’une punition qu’elle avait oublié de rendre et l’avait faite à toute vitesse avant de venir.

Elle était devant la porte. Mais elle ne se décidait pas à frapper.

Un bruit la fit sursauter : un sifflement dans l’air suivit d’un claquement sec…

Le même bruit se fit entendre une deuxième fois, puis une troisième…

A partir du quatrième, le claquement fut suivi d’un gémissement…

Au huitième, le gémissement était devenu un cri… Puis plus rien… le silence.

Dire que Mylène n’était pas rassurée aurait été un doux euphémisme ! Elle connaissait bien cette égalité mathématique : sifflement + claquement + gémissement = martinet en action !

Elle n’avait qu’un envie : prendre ses jambes à son cou et aller se cacher dans un coin comme Lisette !

Elle rassembla tout son courage et frappa à la porte. Pas trop fort. Peut-être que Max n’entendrait pas ? Alors, elle pourrait toujours prétendre que si, si, elle était bien venue, mais que comme on n’avait pas répondu, elle avait pensé de bonne foi qu’il n’y avait personne !

Las ! La voix forte de Max se fit entendre :

« Entrez ! »

Elle ne pouvait plus reculer. Elle ouvrit doucement la porte et s’avança dans la pièce.

Max était assis à son bureau, l’air maussade. Machinalement, il manipulait le manche et les lanières d’un martinet sans le regarder. Derrière lui, face au mur, une étudiante était debout, immobile, jupe relevée et culotte baissée aux genoux. Ses fesses étaient zébrées de traces rouges. Mylène reconnut tout de suite le superbe derrière rebondi de Léa.

En tremblant, elle s’approcha et tendit sa punition.

« Qu’est-ce que c’est ? demanda Max en levant la tête.

- Ma punition, Monsieur Max.

- La punition pour le bruit dans le couloir ?

- Oui

- Je l’avais oubliée, celle-là, tiens ! »

Mylène se mordit les lèvres : zut ! Elle avait fait cette punition pour rien !

Max la prit et la regarda.

« Qu’est-ce que c’est que ça ? Je ne dois pas empêcher Max de dormir ? Tu te moques de moi ?

- Mais non , pas du tout, Monsieur. Je ne me permettrais pas ! »

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Le dos de Léa fut secoué d’une sorte de spasme et elle émit une sorte de sanglot… ou était-ce un fou rire ?

« Je t’ai donné une punition parce que tu chantais à tue-tête dans les couloirs en début d’après-midi !

- Je pensais vous avoir dérangé pendant votre sieste…

- Je ne dors pas l’après-midi ! Je travaille l’après-midi ! Voilà ce que j’en fais, moi, de cette punition ! »

Et d’un geste rageur, il la froissa et la jeta dans la corbeille !

Oh là là !! ça commençait mal !

Max la regarda et dit :

« Mais ce n’était pas pour ça que je t’avais convoquée.

- Ah bon ?

- Il paraît, d’après votre professeur de français, que, tout comme Léa, tu n’apprends plus tes récitations ?

- Je les apprends, moi, Monsieur Maxou, je n’ai fait que quelques petites erreurs ! intervint Léa.

- Tu as fait huit erreurs., répondit Max Tu as donc reçu huit coups de martinet. C’est le tarif. 

- Oui, mais Léa, elle n’avait qu’une petite fable de rien du tout, reprit Mylène. Moi, c’est une longue tirade ! C’est trop dur !

- Mylène,  ça fait plusieurs semaines que tu as cette tirade à apprendre. Tu dois commencer à la savoir, non ?

- Euh…

- Au moins le début ?

- Ben, c’est à dire…

- Tu n’as même pas commencé à l’apprendre ! 

- Pas… vraiment …

- Bien ! Tu auras donc une heure de retenue mercredi.

- Pas mercredi qui vient là ? Parce que j’avais autre chose de prév…

- Mercredi qui vient ! Tu en profiteras pour me réciter intégralement cette tirade ! Et le tarif c’est un coup de martinet par erreur, comme Léa !

- Putain !

- Un gros mot qui te vaudra cinq coups de plus !

- Non ! S’il vous plaît ! »

Récitation 02

La voix de Léa se fit entendre :

« Pourquoi elle bénéficie d’un délai supplémentaire, elle ?

- Si je dis « ta gueule » à Léa, je risque quoi ? demanda Mylène. Notez-bien que je ne l’ai pas dit. Je me renseigne juste…

- Bon, ça suffit toutes les deux ! Mercredi, la tirade par coeur ! Un coup de martinet par erreur ! Et pas de gros mot !

- Mais ça va faire beaucoup trop de coups, ça ! On peut pas faire un forfait, euh…

- Un forfait ?

- Oui… une formule tout compris… »

Malgré lui, Max esquissa un sourire.

« Oui… J’ai un forfait : cinquante coups de martinets avec erreurs illimités…

- C’est trop…

- Et trois gros mots.

- Je pourrai dire des gros mots ?

- Que trois, pas plus. »

Mylène se mit à réfléchir. Léa intervint à nouveau :

« Tu devrais prendre cette formule : trois gros mots, ça vaut le coup !

- Euh… non ! Finalement, je préfère la tarification à l’erreur, répondit Mylène.

- Tu as fait le bon choix, Mylène, conclut Max. Plus tu travailleras, moins tu feras d’erreurs. Léa, tu peux te reculotter. Filez en cours toute les deux. Et à mercredi, Mylène ! »

Et, pendant qu’elle sortaient, Max rangea soigneusement le martinet dans son tiroir.

 

 

22 juillet 2015

Max rencontre Charlotte (deuxième partie)

Max est interloqué ! Pendant quelques secondes, il reste silencieux et regarde Charlotte qui soutient son regard avec aplomb.

« Un immense plaisir, Charlotte ?

- Oui, Max ; je n’ai pas honte de le dire. »

Max, maintenant est beaucoup plus détendu. Est-ce l’effet de la fessée administrée par Charlotte ? Il est plus que jamais sous le charme de son interlocutrice, mais sa timidité s’estompe.

« Je suis ravi, chère Charlotte, d’avoir contribué à vous donner du plaisir !

- Max, tu vas me faire rougir !

- Mais j’y compte bien Charlotte ! J’y compte bien… parce que, voyez-vous, je me suis laissé dire que fesser par plaisir est une lourde faute .

- Ne revenons pas là-dessus, Max. Tu as été puni : justice est faite.

- Ah Charlotte ! La justice se doit d’être impartiale, et si je me réfère à une jurisprudence récente…

- Où veux-tu en venir, Max ?

- A ceci : il y a dans cette pièce deux personnes qui ont avoué avoir fessé par plaisir. J’ai été puni ; à votre tour, maintenant.

- Max ! Tu n’as pas l’intention de me mettre une fessée ? A moi ?

- J’ai bien peur que si, hélas… »

Charlotte éclate de rire et se lève.

« Eh bien Max, j’aurais bien aimé te donner satisfaction, mais mon emploi du temps est très chargé. Une autre fois, peut-être … »

Max se lève aussi et lui tend la main. Charlotte la saisit, croyant lui dire au revoir, mais Max ne la lâche pas et l’entraîne vers le canapé.

« Il faut battre le fer quand il est chaud, Charlotte. »

- Maaaax ! Je ne suis pas en fer ! »

Il s’assoit et l’allonge à son tour sur ses genoux. Elle se laisse faire.

« Max ! Tu as vu ? Je t’ai donné une toute petite fessée, moi ! Une fessée pour rire ! Hein, tu te souviens ?

- Une fessée très rigolote, en effet ! Comment aurais-je pu l’oublier : j’ai les fesses toutes rouges et ça me brûle encore. »

Et il commence à claquer le derrière de Charlotte à travers l’étoffe de sa robe. Il est plus à l’aise dans cette position que dans la précédente. Il n’attend pas trop avant de retrousser cette robe pour découvrir son magnifique postérieur recouvert d’une fine culotte. Max n’est pas ambidextre, il essaye un peu de la main gauche pour changer, mais revient très vite à la main droite. Sans brutalité, mais fermement, vigoureusement, opiniâtrement, il tanne les fesses de Charlotte.

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Il résiste quelques instants au désir de baisser cette culotte insolente qui essaie de s’interposer… quelques instants, pas plus…

Il finit par céder à la tentation, et , doucement, tout doucement, il fait descendre la dernière protection.

Max ne dit plus rien . Il est ébloui, fasciné par le spectacle qui s’offre à lui… Si le paradis existe, se dit-il in petto, il doit ressembler à ça. Il caresse les fesses douces et tièdes de Charlotte, qui , au toucher, confirment sa première impression .

La vue, le toucher …

Il est temps de passer à l’ouie ! Les claques résonnent maintenant sur la peau nue. Les fesses de Charlotte rosissent, mais pas beaucoup. Pourtant, Max met du cœur à l’ouvrage. Charlotte grimace un peu.

« C’est que ça commence à piquer, Max ! proteste-t-elle.

- C’est à peine rose, Charlotte !

- C’est parce que je ne rougis pas beaucoup ! Mais je sens bien les claques, là, je t’assure ! »

Par acquis de conscience, Max claque encore un peu, puis conclut par des caresses apaisantes.

Elle se met debout. Il lui demande de rester quelques instants les fesses à l’air, pour qu’il puisse contempler le résultat de son travail. Il est satisfait.

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« Tu peux remonter ta culotte.

- Merci Max. »

Elle se rajuste et remplit à nouveau les verres.

« Eh bien voilà un échange enrichissant ! N’est-ce pas Charlotte ! C’est toujours utile de confronter les points de vue… et quels points de vue !

- Tout à fait Max… Dis-moi ? Je peux te poser une question indiscrète ?

- Je t’en prie.

- Tu as éprouvé du plaisir à me fesser ?

- Moi ? Pas du tout Charlotte ! Je n’ai fait que mon devoir, tu le sais bien. »

 

 

20 juillet 2015

Max rencontre Charlotte (première partie)

Onze heures quinze… Max entre dans le coquet bureau. Elle est assise, majestueuse, voluptueuse, très belle dans sa large robe écrue. Elle le regarde entrer, esquisse un sourire de bienvenue, puis regarde ostensiblement sa montre.

Il fait chaud… il a la gorge sèche... il sent quelques gouttes de sueur perler sur son grand front dégarni.

Elle lui fait signe de s’asseoir.

 

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« Vous êtes en retard, Max. Quinze minutes.

- Je … Oui. Excusez-moi Charlotte… Et bonjour aussi. C’est le RER de 10h32.. il n’est pas venu… ou alors peut-être supprimé… l’été il y en a moins aussi… »

Il a l’impression de bafouiller, de ne plus trouver ses mots. Il est intimidé, à la fois impressionné et subjugué par le charme qui se dégage d’elle : un mélange subtil de douceur et de sévérité. Il faut absolument qu’il se ressaisisse.

« Ne perdons pas de temps, Max ! Vous savez pourquoi vous êtes ici ?

- Je … Je crois. C’est suite à ma confession… que je croyais couverte par le secret, d’ailleurs.

- Vous avez reconnu avoir puni une jeune femme uniquement par plaisir. C’est bien ça ?

- C’est un résumé un peu rapide, mais …

- Vous n’êtes pas à la tête ce cet institut pour assumer vos fantasmes, Max ! Je suis en faveur des châtiments corporels, vous le savez. Mais les punitions doivent toujours être motivées et administrées dans un but éducatif.

- Je le sais Charlotte ! Et c’est ma conception. Mais pour être pédagogue, on n’en est pas moins homme. Et j’ai eu une faiblesse… Je m’en repens amèrement.

- Toute faute mérite sanction : et punir par plaisir est une lourde faute. Vous allez donc être sanctionné.

- Ah ? … Et quelle est la sanction que vous envisagez ?

- Une fessée, Max.

- Vous plaisantez, Charlotte ?

- Je suis très sérieuse. »

Charlotte se lève. Elle est magnifique : debout, elle le domine ; il se sent petit garçon.

Elle se dirige vers un grand canapé et s’y assoit. Elle le regarde, toujours avec ce sourire ironique qui le trouble, et d’un signe de la main, lui intime l’ordre de la rejoindre.

Max est interloqué. Elle ne va tout de même pas mettre sa menace à exécution ? Lui, le directeur tant redouté de l’Institut, se retrouver couché sur les genoux de Charlotte ?

Et pourtant, il se lève. Comme si sa volonté lui échappait, il va s’allonger sur les cuisses accueillantes qui l’attendent.

Il s’installe… confortablement, la tête sur des coussins. Charlotte le cale, puis commence à lui claquer les fesses de sa main droite.

Bon … Max a un pantalon épais… Honnêtement, il ne sent pas grand chose pour l’instant.

Charlotte s’en rend très rapidement compte.

« Il faut baisser ce pantalon, Max. »

Il se lève et obéit. Il reprend position, en slip, sur les genoux de Charlotte. Les claques reprennent, plus fortes. La main de Charlotte est vive et alerte. Parfois, elle arrête de claquer et se met à caresser. C’est très agréable. Max se détend. Puis les claques reprennent. De temps en temps, elle soulève légèrement l’élastique du slip pour vérifier la couleur.

« Bon, il est temps de passer aux choses sérieuses ! » annonce-t-elle.

Max sent que son slip est baissé doucement.

« Ah ! Quelles belles fesses ! C’aurait été vraiment dommage de ne pas les fesser ! Elles sont déjà bien rouges… mais pas assez. »

Et les claques reprennent de plus belle. Parfois Charlotte utilise les deux mains.

« Vous êtes ambidextre, Charlotte ?

- Oui, j’écris de la main droite, je mange de la main gauche, et je fesse des deux mains.

- Pratique ! »

Et les caresses alternent aussi. Finalement, Max ne regrette pas d’être venu. Ses fesses brûlent, mais la douceur des caresses de Charlotte les attiédit.

Charlotte continue de s’extasier sur les fesses de Max. Elle annonce le bouquet final.

Effectivement, à deux mains, c’est un véritable crépitement. Max imagine des étincelles.

La fessée est terminée. Max se relève. Elle admire le résultat de son travail.

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« Tu peux te rhabiller » lui dit-elle.

Elle sort de son frigo une bouteille de jus de fruit et deux verres.

« Tu as soif ?

- Volontiers, merci ! »

Il s’aperçoit qu’elle est passée au tutoiement. Il la regarde. Elle est encore plus belle, maintenant. Elle arbore un air épanoui, comme si la fessée qu’elle lui avait donnée avait eu un effet relaxant.

Ils s’assoient au bureau et sirotent leurs verres en silence.

« Ah Max ! Je dois t’avouer quelque chose !

- Oui Charlotte ?

- J’ai pris un immense plaisir à te fesser. Je me suis bien éclatée ! »

 

 

 

15 juillet 2015

Dure journée pour Max!

Il y a des matins comme ça où il vaudrait mieux ne pas se lever, dit le dicton populaire . Pourquoi tous les ennuis se donnent-ils rendez-vous au même moment ?

Ouverture du courrier : ça commence par une lettre d’insulte :

« Tu nous casses les couilles, vieux frustré, avec ton institut de merde … » Max ne prend pas la peine de lire la suite et jette le tout à la corbeille.

Deux minutes plus tard, irruption du professeur de lettres.

« Monsieur le directeur, ce n’est plus possible !

- Qu’y a-t-il, Monsieur Roncheux ?

- Les élèves sont insupportables, insolentes, effrontées, impudentes, irrespectueuses, impertinentes, irrévérencieuses, provocatrices, arrog…

- Calmez-vous, Monsieux Roncheux.

- Je ne peux plus enseigner dans ces conditions, je démissionne !

- Monsieur Ron…

- Non non, j’ai pris sur moi, j’ai tout supporté : les bagarres entre Dorothée et Margot, les caprices de Lisette, les colères de Luciana, le sale caractère d’Angéla, je vous en passe ! Mais cette fois, la coupe est pleine ! Je craque !

- Monsieur Roncheux, vous êtes un éminent professeur…

- C’est exact.

- Le meilleur, sans aucun doute ! Et je ne souhaite pas vous voir partir. Je vais vous aider. Que se passe-t-il ?

- Léa et Mylène !

- Léa ? Encore en train de faire le clown ?

- Non ! Elle n’est pas drôle du tout ! Monsieur le directeur, ça fait plus d’une semaine qu’elle a à apprendre une fable de La Fessaine ! Je lui ai demandé de la réciter : elle ne la sait pas ! Elle se moque de moi !

- D’accord ! Je vais m’en occuper ! Et Mylène, c’est la fable aussi ?

- Non ! Elle, c’est l’orthographe ! Vous savez ce qu’elle m’a fait?

- Non.

- Dans son devoir, elle a écrit : j’ai un contentieux avec l’orthographe.

- Bon. Il n’y a peut-être pas de quoi …

- Contentieux avec un c !

- Pardon ?

- Elle a écrit contentieux avec un c au lieu d’un t ! C’est de la provocation, Monsieur le directeur ! Elle l’a fait exprès, j’en suis sûr ! Je lui ai donné une punition, une petite punition de rien du tout, 15 fois… Eh bien je l’attends toujours ! Depuis une semaine !

- C’est inadmissible, je vous l’accorde. Monsieur Roncheux, vous allez retourner en classe et m’envoyer immédiatement ces deux étudiantes.

- Merci, Monsieur le Directeur.

- Allez, dépêchez-vous, vous avez un cours à assurer. »

Monsieur Roncheux parti, Max poussa un long soupir et ferma les yeux… pas longtemps. Quelques coups brefs à la porte le tirèrent de sa torpeur.

Max fit entrer Léa et Mylène, se rassit et les regarda sans rien dire.

« On peut s’asseoir, Monsieur le Directeur ? demanda Mylène.

- Non. Vous savez pourquoi vous êtes là ?

- Pas du tout, Monsieur Maxou. répondit Léa.

- Je m’appelle Max, Léa… Votre professeur de lettres est très mécontent de vous ! »

Les deux étudiantes ouvrirent de grands yeux étonnés et s’entre-regardèrent comme pour se demander mutuellement une explication.

« Léa, tu n’as pas appris ta fable !

- Si, Monsieur Maxou, je l’ai apprise… mais elle est dure !

- Mylène, tu n’as pas fait la punition demandée par Mr Roncheux !

- Quelle punition ? Celle-là ? »

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Elle posa son cahier ouvert sur le bureau.

« Pourquoi ne l’as-tu pas remise dans les temps à ton excellent professeur ?

- Excellent, faut peut-être pas exagérer…

- Si si, excellent, j’insiste ! De toute façon, je n’en ai pas d’autres. Votre comportement à toute les deux est inqualifiable ! A cause de vous, Monsieur Roncheux est au bord du burn-out ! Vous n’avez pas honte ?

- …

- Moi, j’ai honte pour vous ! Vous méritez une bonne fessée ! »

Les deux fautives baissèrent la tête sans répondre.

« A genoux sur le canapé ! »

Elles obéirent sans protester.

« Jupes relevées et culottes baissées ! »

Ensemble, presque à l’unisson, elles firent ce que Max leur demandait. Il s’approcha, posa sa main gauche sur le dos de Léa et commença à lui frapper vigoureusement les fesses…

Et c’est à ce moment-là que le téléphone sonna.

« Une seconde, Léa… je reviens.

- Je vous en prie , Monsieur Maxou, prenez votre temps. »

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Max décrocha.

« Bonjour Max, c’est Charlotte. »

Charlotte de Langeais, la présidente de la Fondation pour l’Enseignement des Sciences Sociales et l’Education Emancipatrice, principal bailleur de fonds de l’Institut.

« Je ne vous dérange pas ?

- Pas du tout, Charlotte… que puis-je pour vous ?

- Je ne vais pas y aller par quatre chemins, Max : j’envisage d’arrêter de subventionner votre institut.

- Mais Charlotte ? Que se passe-t-il ?

- Des rumeurs… persistantes… font état de mauvais traitements envers vos étudiantes.

- Euh… une minute, Charlotte… Je vous reprends tout de suite. »

Max se retourna vers les deux étudiantes :

« Bon… Vous pouvez vous reculotter et retourner en cours; ça ira pour cette fois .

- Beh ! Et ma fessée ? protesta Mylène.

- Je t’en fais grâce. Tu as fait ta punition, c’est bon.

- Merci, monsieur Maxou. s’écria Léa en se rajustant.

- Je m’appelle Max, Léa ! Je te demande de t’en souvenir !

- Bien sûr ! Je suis désolée, Monsieur Maxou.

- Allez, dépêchez-vous d’aller en cours ! »

Une fois la porte refermée derrière elles, Max reprit le téléphone.

« Charlotte, je ne comprends pas. Il doit s’agir d’un énorme malentendu.

- Je ne crois pas, Max. Vous auriez fessé une jeune femme sans motif.

- Moi ? Certainement pas ! Cette jeune femme, dont j’ignore l’identité, vous a menti.

- Ce n’est pas elle qui vous accuse , Max.

- C’est qui, alors ?

- C’est vous-même, Max. Vous avez avoué.

- Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?

- Vous vous êtes confessé à un prêtre. Pour des raisons que je n’ai pas à vous dévoiler, il se trouve que ce prêtre n’a aucun secret pour moi.

- Pas même le secret de la confession ? Je croyais …

- Eh oui, Max, on ne peut faire confiance à personne… C’est malheureux. »

Max était anéanti. Si la Fondation ne renouvelait pas sa dotation, il n’avait plus qu’à mettre la clé sous la porte.

« Ecoutez Charlotte, ne prenez pas une décision, à la légère. Il doit y avoir moyen de s’arranger…

- S’arranger ? Vous croyez que vous pouvez m’acheter ?

- Pas du tout Charlotte ! Je n’y pensais même pas. Mais réfléchissez un peu : si vous arrêtez de nous subventionner, ce n’est pas moi que vous punissez, ce sont tous les étudiants !

- Vous avez raison : c’est vous qui devez être puni, vous seul !

- Oui, Charlotte.

- Je vais donc vous punir moi-même… avec mes petites mains : je vous attends à mon bureau, le mois prochain, dès mon retour de vacances.

- Mais  euh…

- Nous avons un contentieux à régler, Max, un sérieux contentieux.

- Un contentieux… oui, avec un T.

- Avec un thé ? Et des petits fours, aussi ?

- Non, je… excusez-moi…

- Dans un mois, Max. Je compte sur vous ! »

Max voulut ajouter quelque chose, mais son interlocutrice avait raccroché.

Dure journée.

 

 

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28 juin 2015

La confession de Max

Confessionnal_avec_pr_tre_et_Max

« Mon père, je viens me confesser car j’ai commis une grande faute.

- Je vous écoute mon fils.

- J’ai fessé Fanny.

- Fanny? Qui est Fanny?

- Une jeune femme pure et innocente, mon père.

- Pour quel motif l’avez-vous fessée mon fils ?

- Là est mon plus gros pêché, mon père : je l’ai fessée sans motif valable. Ou plus exactement sous un motif fallacieux. Je suis un misérable.

- J’ai besoin d’en savoir plus avant de décider si je peux vous absoudre. Racontez-moi tout, et surtout, n’omettez aucun détail.

- Et bien voilà, mon père : j’ai attiré la pauvre Fanny dans un traquenard : je lui ai fait miroiter la promesse d’une seconde visite dans mon institut, alors sans se méfier, l’ingénue est venue à mon rendez-vous.

- Poursuivez, mon fils.

- Nous avons bu un verre en terrasse par une chaude fin de journée, puis je lui ai proposé une promenade. Elle a accepté naïvement sans se douter de ce qui l’attendait.

- Où l’avez-vous emmenée ?

- Dans mon bureau.

- Elle ne s’est pas méfiée ?

- Pas du tout. Elle m’a suivi en toute confiance, et lorsque la porte s’est refermée et que je lui ai annoncé que j’allais la fesser, elle a eu un choc.

- Comment a-t-elle réagi ?

- Elle a protesté de son innocence, réfutant mes arguments avec persévérance.

- Elle ne vous a pas convaincu ?

- Bien sûr que si, mon père. J’étais convaincu de son innocence, mais je voulais la fesser quoi qu’il arrive, pour assouvir la pulsion malsaine qui m’habitait.

- Et alors ?

- Je me suis assis sur le canapé, et, en dépit de ses protestations véhémentes, je l’ai attirée vers moi.

- Et ?

- J’ai déboutonné son jean.

- Etait-ce vraiment nécessaire ?

- Oui… Je voulais aller tout de suite à l’essentiel… si vous saviez comme j’ai honte !

- Et donc ?

- Je l’ai couchée en travers de mes genoux, et j’ai claqué vigoureusement son pauvre petit derrière à peine protégé par une fine culotte.

- De quelle couleur, mon fils ?

- La culotte ? Euh… blanche, je crois.

- L’important, c’est qu’au moins sa pudeur était sauve.

- Pas pour longtemps, hélas ! Cette protection était encore trop pour le sinistre sadique que je suis.

- Vous n’avez quand même pas osé lui baisser sa petite culotte, mon fils ?!

- Je l’ai fait, mon père, hélas… sans vergogne !

- Au moins, j’espère que vous n’avez pas été trop sévère ? Décrivez-moi l’état de ses fesses, mon fils.

- Elles étaient bien rouges ! Je n’y suis pas allé de main morte ! Je ne suis qu’un être vil et cruel…

Fanny

 

- Et ensuite ?

- J’ai voulu l’envoyer au coin.

- Non ?

- Mais la pauvrette m’a supplié, imploré…

- Et vous êtes resté inflexible ?

- Non, je me suis laissé attendrir : je lui ai fait grâce du coin en échange d’un câlin.

- Ah je savais bien que vous n’étiez pas si mauvais, au fond. Vous avez reçu la grâce du Seigneur ! C’est un miracle !

- Vous croyez, mon père ?

- Oui ! Je vous absous, mon fils. Vous êtes entièrement pardonné.

- Merci mon père. Ma conscience est soulagée, maintenant… Vous pensez que je pourrai recommencer, alors ?

- A une condition, mon fils.

- Laquelle ?

- C’est que vous veniez vous confesser tout de suite après ! Et en détails ! »

20 juin 2015

Angéla et les capitales

Max écrivait quelque chose … quoi ? Angéla n’en savait rien, mais elle commençait à s’impatienter, debout face au bureau du directeur. Elle se racla la gorge.

« Hem hem … »

Mais Max restait imperturbable, semblant à peine conscient de sa présence.

« Vous m’avez fait demander, Monsieur Max ? »

Pas de réaction.

« Non, parce que je n’ai pas que ça à faire, moi ! »

Cette remarque eut au moins le mérite de faire lever la tête du directeur.

« Pas que ça à faire …. Je suppose, répondit Max, que tu veux parler de ton travail scolaire ?

- Euh … oui… c’est exactement ça.

- En géographie, je suppose ?

- Ben … entre autres.

- Parce que, figure-toi, chère Angéla, que j’ai entendu de sévères critiques à ton sujet !

- Sévères critiques ?! Qui donc se serait permis de …

- La professeur de géographie, justement.

- Alors là, Monsieur Max. Je peux vous jurer qu’elle est particulièrement injuste ! Je peux tout expliquer !

- Tu es là pour ça, Angéla !

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- Bon, c’est vrai qu’on s’est amusé à lui mélanger ses fiches. Ce n’était pas malin, je le reconnais. Mais j’ai tout remis dans l’ordre.

- Bien sûr … ces fiches portaient sur quoi Angéla ?

- Bof… de la géographie, quoi ! Je sais pas ! Des pays et des capitales….

- Oui… Les fiches des pays étaient classées dans l’ordre alphabétique… avec la fiche de leur capitale.

- Oui, et alors ?

- Alors, tu as tout reclassé dans l’ordre alphabétique… ce qui donnait Addis Abebba capitale de l’Afghanistan et Zagreb capitale du Zimbabwé !

- Euh… Et il y a un problème ?

- Oui, un gros problème, Angéla ! Parce que c’est ce qu’elle s’est mise à enseigner ! Une professeur que je suis contraint de sanctionner…

- Bien fait !

- Et une étudiante qui a visiblement besoin d’une bonne leçon !

- Sur les capitales ? Alors là, pas de souci, Monsieur Max ! Je suis incollable ! J’ai une application sur mon smart-phone qui me permet de les réviser tous les jours !

- Eh bien, c’est ce que nous allons voir, Angéla… Tout de suite… Viens t’asseoir à la table.

- Mais… c’est que je n’avais pas prévu de …

- Tst tst tst… pas de discussion, c’est juste une petite évaluation.»

Angéla, à contrecœur, alla s’asseoir à la table. Elle découvrit une carte muette de l’Europe avec des blancs à remplir.

« C’est quoi ça ?

- Une carte de l’Europe… Bon, on  ne va pas s’attaquer au Monde entier. Mais, compte-tenu de ton niveau, connaître les capitales de l’Europe, me semble accessible, non ?

- Oui… euh… mais enfin, sur une carte… faut peut-être pas exagérer !

- Ah ? C’est trop dur ? Eh bien, essaye quand-même ! »

En soupirant, Angéla se mit au travail… Paris, Londres et Madrid apparurent sur la carte. La jeune femme soupira et grommela :

« Comment je peux savoir, moi ? Il n’y a même pas le nom des pays sur votre carte à la noix !

- Pas d’insolence, Angéla ! Je commence à perdre patience ! 

- De toute façon, je ne sais pas. Je suis sûre que vous avez fait exprès pour avoir un prétexte pour me punir !

- Comment ? Moi ? Me soupçonner de … Alors qu’au contraire, je fais tout pour t’aider ! Tu me déçois beaucoup, Angéla… beaucoup… Mais, pour te prouver ma bonne foi, je vais te donner un travail plus facile. »

Max fit disparaître la carte et la remplaça par la liste alphabétique des capitales européennes.

« Voilà. Tu n’as qu’à écrire en face le nom du pays. Mais cette fois-ci , c’est tolérance zéro ! »

Angéla se mit à remplir la liste… en partie… Deux erreurs et huit absences de réponse : bien au delà du seuil de tolérance !

Capitales

Max haussa le ton :

« Bon, tu n’as pas assez travaillé, Angéla… Je vais te laisser regarder les réponses pour que tu puisses finir l’exercice. »

Il alla s’asseoir sur le canapé, posa à sa gauche le corrigé de l’exercice, et fit signe à l’étudiante de venir s’allonger sur ses genoux.

Celle-ci obéit nonchalamment.

« Bon. Tu vois : comme ça, on ne perd pas de temps ; pendant que je te fesse, tu peux continuer à réviser…

- Génial ! »

Max retroussa la jupette et baissa la petite culotte pour se retrouver face à ce magnifique postérieur avec lequel il avait déjà eu à traiter.

Pendant que les claques pleuvaient sur ses fesses nues, Angéla tentait tant bien que mal de se concentrer sur le corrigé.

Capitales 02bulle

Au bout de deux minutes, Max reprit la feuille.

« Alors, capitale de la Slovaquie ?

- Euh…

- Bratislava, Angéla. Bra – tis – la – va ! » répéta-t-il en ponctuant chaque syllabe d’une claque vigoureuse.

« Capitale de la Slovénie ?

- Euh … Bratis là-bas…

- Non ! Bratislava , c’est la Slovaquie ! Là je te demande celle de la Slovénie.

- Slovaquie, Slovénie … C’est pareil ! Vous n’allez pas chipoter !

- Non ! Je ne chipote pas ! La capitale de la Slovénie, c'est Ljubljana, Angéla. Lju – Blj – a – na » ponctua-t-il en rythme sur les fesses de la malheureuse jeune femme.

« Loubli … comment voulez-vous que je me souvienne d’une ville qui commence par l’oubli ? »

Max appréciait-il l’humour d’Angéla ? Pas si sûr, car une série de claques bien sonores retentit dans le bureau, et il ne s’agissait pas d’applaudissements …

Minsk et Kiev firent l’objet de la même attention pédagogique… mais Angéla fit la constatation que les capitales à une seule syllabes sont moins douloureuses, au bout du compte.

Au bout de quelques minutes, Angéla connaissait les capitales de l’Ukraine et de la Biélorussie… mais toujours pas celles de la Slovénie et de la Slovaquie. Max fut contraint, à son grand regret (bon, là, j’exagère peut-être un peu …) de rythmer à nouveau chaque syllabe de Bratislava et Ljubljana.

Elle fut donc envoyée au coin avec le corrigé pour apprendre par cœur ces deux capitales.

« Alors, Angéla, ces capitales, c’est bon, maintenant ?

- …

- Tu veux qu’on révise encore un peu ensemble ?

- Merci, monsieur Max ! Je crois que ça va aller.

- Parfait. Tu peux te reculotter : la séance est terminée. »

Angéla ne se le fit pas répéter. Trois secondes plus tard, elle franchissait le seuil. Elle se retourna :

« En tous cas, je peux vous avouer une chose : jamais, je n’irai la-bas !

- Où ça ?

- A Ljublislava ! »

Et elle sortit.

 

 

 

5 juin 2015

Angéla et les majuscules (deuxième partie)

15h30 : l’Institut est quasiment vide, il n’y a pas cours . Seuls, les élèves en retenue restent le mercredi après-midi. Max est de méchante humeur : la première élève punie, Lisette, ne s’est pas présentée à l’heure dite. Pourtant, la liste de ses frasques était longue. Un problème qu’il lui faudra régler ultérieurement. Pourvu que la deuxième punie ne lui fasse pas faux bond.

Max se lève , ouvre la porte et regarde dans le couloir : vide.

Il entend un bruit de pas. Elle arrive d’un pas nonchalant. Première surprise: elle est vêtue d’un pantalon fuseau noir et d’un t-shirt rose vif. Max lui fait signe d’entrer et referme la porte.

« Qu’est-ce que c’est que cette tenue, Angéla ?

- Quoi ? C’est mercredi après-midi, non ? J’ai le droit de m’habiller en décontracté. Déjà, je ne devrais pas être là. Estimez-vous heureux que je sois venue !

- Tu vas baisser d’un ton ! Pour commencer, je veux voir ta punition ! »

La jeune femme sort de son sac quelques feuilles de papier arrachées à un cahier et pliées en quatre qu’elle tend à Max. Il les déplie, vérifie que les trente fois y sont et pose la punition sur son bureau.

« Bien, le professeur de Français avait donné un certain nombre de mots à apprendre, je crois ?

- C’est possible

- Tu les as appris ?

- Si vous croyez que j’ai que ça à faire ? Apprendre l’orthographe de mots que je n’écrirai jamais !

- Ah mais tu vas les écrire, Angéla ! Et tout de suite, parce que nous allons faire une dictée.

- Une dictée ! Voyez-vous ça ! »

Il lui désigne le pupitre sur lequel il avait déjà disposé une copie et un stylo.

« Assied-toi. Je connais ton niveau d’orthographe. Tu es capable d’écrire le texte que je vais te dicter sans aucune faute. Néanmoins, comme je suis indulgent, et que nul n’est à l’abri d’une erreur, je vais t’autoriser au maximum quatre fautes !

- Quelle générosité ! Et si j’en fais plus ?

- Alors c’est que tu auras fait preuve de mauvaise volonté ! Et tu ne couperas pas à une bonne fessée !

- Ben voyons ! » répond-t-elle en s’asseyant au pupitre.

Max lit d’abord le texte en entier une première fois. Un texte court : seulement trois phrases. Ensuite il dicte lentement en s’assurant que la jeune femme a bien le temps de tout écrire. Il la voit hésiter à certains moments, mais elle a l’air assez sûre d’elle et ne fait pas de rature.

Max relit le texte en entier une dernière fois et lui laisse quelques minutes pour d’ultimes vérifications, puis , à l’aide de son stylo rouge, il entoure les fautes, impitoyablement…

Dictée Angéla

« Il y a combien de fautes, Angéla ?

- Euh, huit, apparemment.

- Bien, Tu te souviens de ce que je t’ai promis ?

- Euh… »

Max va s’asseoir sur le canapé, et lui fait signe d’approcher. Toujours aussi nonchalante, Angéla vient s’allonger sur ses genoux. Max n’attend pas et commence à claquer la belle paire de fesses bien mise en valeur par le pantalon fuseau.

« Voilà qui va te rafraîchir la mémoire !

- Rafraîchir, rafraîchir, je n’ai jamais vu une fessée rafraîchir quoi que ce soit !

- On rafraîchit la mémoire en réchauffant les fesses ! C’est la base de la pédagogie moderne ! »

La jeune femme glousse, ne semblant pas le moins du monde importunée par les solides claques que Max lui administre.

«  Au moins, ça va t’aider à prendre conscience de l’importance de l’orthographe !

- Parce que vous croyez que c’est une petite fessée de rien du tout qui va m’aider à prendre conscience de je ne sais quoi ! »

Max commence à perdre patience. Il fait glisser le fuseau à mi-cuisses et frappe maintenant le majestueux derrière à peine couvert par une fine culotte.

« Petite fessée de rien du tout ! Tu vas apprendre à respecter la langue française, Angéla ; c’est moi qui te le dis !

- C’est ça, la pédagogie moderne ? Elle n’a pas encore l’air très au point !

- Oh, mais je vais la perfectionner, moi ! Tu vas voir ! »

Et il baisse la culotte, dévoilant une splendide paire de fesses déjà bien roses. Il prend quelque secondes pour admirer le spectacle qui s’offre à lui, puis il se remet au travail vigoureusement sans rien dire. Petit à petit, les fesses se mettent à rougir. Il s’arrête.

Angéla02

« Au coin, Angéla ! Cinq minutes. »

Elle obéit. Elle reste debout, silencieuse, son magnifique postérieur exposé. Pendant ce temps, Max range un peu son bureau. Il l’appelle : 

« Il est temps de corriger la dictée. Prends ton stylo vert. Cette fois-ci , c’est tolérance zéro ! »

La jeune femme revient au pupitre, et toujours les fesses à l’air, entreprend de rectifier ses fautes. Elle y parvient, mais pas complètement. Et notamment, elle oublie de corriger l’absence de majuscule au début de la dernière phrase. Max pointe la faute de son index.

« Quoi ? J’ai pas fait de faute, là !

- Mais enfin, Angéla, tu viens de copier trente fois : je dois mettre des majuscules en début de phrase ! »

Et Max ponctue sa remarque d’une forte claque sur le postérieur de son élève. Il reprend la punition qu’elle lui avait remise en début de séance pour lui montrer… et là il constate que c’est du travail bâclé !

Punition majuscules 2

«  Même dans la punition, tu n’as pas placé les majuscules où il fallait !

- On ne va pas s‘énerver pour deux trois majuscules !

- Si, moi, je vais m’énerver ! Tu as besoin d’un petit complément de leçon ! »

Il la prend par la main, et l’entraîne vers le canapé où il l’allonge à nouveau sur ses genoux. Les claques pleuvent. Le pauvre derrière est maintenant rouge vif. Mais Max continue. Sa paume aussi est bien rouge et chaude.

« Allez ! Encore une fois au coin. »

Angéla obéit. Elle frotte discrètement ses fesses . Quelques minutes s'écoulent dans un silence apaisant.

 « J’espère t’avoir convaincue des vertus de la pédagogie moderne !

- Oui… Vous devriez la faire breveter.

- J’y pense, Angéla… J’y pense... En attendant, tu peux te reculotter : la leçon est terminée."

Angéla se rhabille, salue son professeur d'un signe de tête et sort rapidement du bureau.

 

27 mai 2015

Angéla et les majuscules (première partie)

« Vous m’avez fait demander, Monsieur Max ? »

La jeune femme qui se tenait à l’entrée du bureau avait une belle tignasse rousse, des formes généreuses et portait de grosses lunettes.

« Oui Angéla !  Tu peux entrer. »

Elle fit quelques pas en direction de la chaise.

« Non, inutile de t’asseoir, je n’en ai que pour quelques secondes. Tu as une punition à me remettre, je crois?

- Vous me surprenez, quelle punition ? Jamais eu de punition moi, je suis sage comme une image ! Je suis sûre que vous devez vous tromper… vous confondez  avec une autre élève, c’est pas possible !

- Tst tst... Angéla ! Ne joue pas à ça avec moi ! Cette punition t’a été donnée par ton professeur de Français.

- Monsieur Roncheux ?

- Oui : trente fois Je dois mettre des majuscules en début de phrase.

- Ah ! Les majuscules ! Mais c’est démodé, ça !

- Non, Angéla ! L’orthographe n’est pas une question de mode ! Elle est intemporelle ! Je suis d’autant plus déçu que je connais ton potentiel : tu as fait un sans faute à la dernière dictée. Mais quand j’ai vu ta rédaction !  pas une seule majuscule, plus d’autres fautes sur lesquelles je ne reviendrai pas… je suis tombé de haut ! »

Angéla commençait à s’agiter

«  De toute façon, ce prof, c’est un casse-pieds ! il adore embêter les élèves !

- Assez, Angéla ! Tiens-toi droite ! Les mains sur la tête ! »

Angéla

Angéla se tut et obéit.

« Je constate donc que tu ne m'as pas remis la punition que tu devais faire pour aujourd’hui. De plus, tu te permets de critiquer un enseignant consciencieux qui n'a comme seule ambition que de donner un peu d'instruction à ses élèves! J'en suis profondément navré, et je me vois contraint, à mon grand regret de t'infliger une sanction plus lourde. En conséquence, tu devras effectuer une heure de retenue, dans mon bureau et en ma présence, mercredi prochain. Nous profiterons de cette heure pour travailler l'orthographe. J'attends de toi un comportement respectueux et un travail sérieux. En cas de mauvaise volonté caractérisée , le recours au châtiment corporel n'est pas exclu. Te voilà prévenue.

- Des menaces maintenant! Décidément, j’aurai tout entendu !

- Attention, Angéla ! Ton insolence pourrait te valoir une fessée tout de suite !

- …

- A mercredi, donc ! Et sois ponctuelle!”

La jeune femme tourna les talons et sortit du bureau d’un air pincé.

 

15 mai 2015

Les blagues de Léa

 

Dure matinée, beaucoup de problèmes à régler : une réunion houleuse, des absences non justifiées, du retard dans les livraisons, une fuite d’eau dans les douches… Max était de mauvaise humeur. Sans compter cette blague idiote qu’on s’était permis de lui faire ! En voilà un ou une qui allait passer un sale quart d’heure s’il ou elle était identifié (e) !

Trois coups à la porte.

« Entrez ! » aboya-t-il.

La porte s’entrouvrit et madame N passa une tête un peu gênée.

« Excusez-moi, Monsieur Max, mais nous avons un problème…

- Encore !

- Un problème de maquillage… »

Ce genre de cas se produisait tous les jours. Malgré un règlement strict, beaucoup d’étudiantes ne pouvaient pas s’empêcher de se (re)faire une beauté, parfois même pendant les cours. C’était tellement fréquent que l’Institut avait choisi de fermer les yeux lorsque le maquillage restait discret. Sinon, les élèves étaient envoyées illico vers les sanitaires pour s’y débarbouiller.

« Madame N ! Je ne peux pas prendre en charge tous les problèmes ! Vous voulez quoi, que j’essuie le rouge à lèvre avec la manche de ma chemise ?

- Non, Monsieur Max, je suis confuse. Mais là, il s’agit d’un maquillage très particulier. J’ai pensé que c’était mieux que ce soit vous qui …

- OK ! Envoyez-moi la personne. Je n’aurai donc pas une seconde à moi, ce matin ! »

Madame N s’éclipsa et laissa la place à …

Un clown !

Enfin plus exactement une étudiante en uniforme, mais maquillée en clown.

Max l’examina attentivement et reconnut la doyenne de ses étudiantes.

« Mais enfin, Léa, qu’est que c’est que ce cirque ? »

Léa leva la tête et esquissa un sourire contrit.

« C’est le cas de le dire, Monsieur Max, si je puis me permettre…

- Non, je ne te permets pas. Encore une de tes blagues pour faire rire tes camarades ?

- Oui, Monsieur Max.

Max se leva pour aller chercher un dossier qu’il posa sur le bureau et ouvrit.

« En septembre, une boule puante en cours de physique-chimie, c’était qui ?

- C’était moi, Monsieur Max

- En octobre, du poil à gratter dans le vestiaire du professeur d’EPS ?

- C’était moi, Monsieur Max.

- Le bleu de méthylène dans la purée ?

- J’avoue ça aussi.

- Pourtant, tu connais le règlement. Tu as signé un bulletin d’inscription.

- Oui, Monsieur Max. »

Elle le fixait de ses grands yeux d’un air si désolé que n’importe qui aurait été prêt à tout lui pardonner. N’importe qui, oui mais pas Max qui s’était déjà laissé abuser. Il sortit le bulletin d’inscription pour le montrer à l’étudiante. Mais il s’interrompit et le regarda avec stupéfaction .

« Mais… qu’est-ce que … J’aurais juré que tu l’avais signé devant moi ! »

Le bulletin était effectivement rempli et revêtu de la mention « lu et approuvé », mais aucune signature n’apparaissait.

Blagues Léa 01

« Je ne comprends pas non plus, Monsieur Max, mais ne vous inquiétez pas, je vais vous le signer tout de suite. »

Elle mit la main derrière sa cravate et en tira un magnifique stylo rose fuchsia.

« Fais-moi voir ce stylo, Léa.

- Pourquoi, Monsieur Max ?

- Ne discute pas, je veux voir ce stylo. »

A contrecœur, elle lui tendit le stylo. 

Max examina l’objet, le tournant et le retournant

« Il y a l’adresse de la boutique où tu l’as acheté.

- Oui, Monsieur Max.

- Je connais cette boutique : ce n’est pas une papeterie, mais un magasin de farces et attrapes. Tu peux m’expliquer ?

- …

- Je n’ai pas bien entendu !

- Euh …C’est un stylo à encre sympathique, monsieur Max.

- Sympathique ?

- Oui, c’est une encre qui s’efface au bout de quelques heures.

- Je vois… Encore une de tes blagues ! Eh bien, tu vas signer avec un bon vieux stylo bille, moins sympathique, mais plus efficace. »

Léa hésita une seconde, puis fit ce que Max lui demandait.

« Tu vas donc être punie. Mais avant, j’ai une petite question à te poser.

- Oui, Monsieur Max, laquelle ?

- Le coussin, c’est toi ?

- Le coussin ?

- Le coussin qui était sur ma chaise, ce matin…

- Il y avait un coussin sur votre chaise, ce matin, Monsieur Max ? Quel genre de coussin ?

- Un coussin péteur , Léa !!  Un coussin péteur, alors que je recevais une délégation de sponsors ! Tu te rends compte ?

- …

- C’est toi ?

- Je … euh …c’est bien possible, Monsieur Max, Je vous présente mes excuses. Je n’aurais pas dû…»

Max était furieux, les regards contrits de Léa n’avaient aucun effet sur sa colère. Il se leva d’un bond et alla s’asseoir sur le canapé.

« C’est la fessée, Léa ! Cul nu !

- Oui Monsieur Max. »

Elle s’approcha, releva sa jupe, et fit descendre sa petite culotte, dévoilant une paire de fesses blanches et voluptueuses. Max l’attrapa  par la main et l’allongea sans ménagement sur ses genoux. Sans attendre, il se mit à claquer vigoureusement et à une cadence très rapide, le superbe derrière rebondi.

Blagues de Léa

Léa laissait faire sans bouger. Rapidement, ses fesses changèrent de couleur, rosirent, puis rougirent.

« Aïe… ça commence à être douloureux, Monsieur Max !

- Je sais… moi aussi ça me fait mal.

- J’en suis désolée, Monsieur Max… aïe !

- Je m’arrêterai lorsque tes fesses seront aussi rouges que ton nez. »

Max tint parole. Au bout de quelques minutes, les fesses de Léa avaient pris une teinte rouge vif. Il la lâcha.

« Et cinq minutes de coin, maintenant ! »

- Bien sûr, Monsieur Max. »

Elle alla se blottir dans l’angle de la pièce, en gardant sa jupe relevée afin d’exposer son pauvre derrière écarlate.

Max retourna à son bureau, semblant se désintéresser du spectacle, et se mit à ranger le dossier.

Léa se contorsionna pour évaluer l’ampleur des dégâts.

Blagues Léa 02

« C’est très rouge, Monsieur Max !

- Ne t’inquiète pas, Léa, c’était une fessée sympathique.

- Sympathique ! ?

- Oui, ça va s’effacer au bout de quelques heures ! »

 

 

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