Nos étudiant(e)s sont sensibilisée(e)s à l'importance des symboles de la République.

Le bonnet phrygien et les couleurs du drapeau font partie de notre héritage patriotique et culturel.

Mais le symbole le plus fédérateur reste bien évidemment notre hymne national, La Marseillaise!

Nous avons très légèrement modifié les paroles pour qu'elles s'adaptent à la philosophie de l'Institut:

Allez, insolente chipie

Le grand moment est arrivé !

Pour toutes tes effronteries,

Tu vas recevoir la fessée ! (bis)

Ça va faire un sacré ramdam,

Lorsque ma main te claquera,

Fermement calée sous mon bras,

Ça f’ra pif ! ça f’ra pan et ça f’ra vlaam !

A nous, les grands moyens !

Claquez-moi ce croupion !

Fessons, fessons

Qu’un rouge pur

Abreuve ton cul rond !

… « avant l’heure, c’est pas l’heure ; après l’heure, c’est plus l’heure! » disait Jules Jouy, chansonnier et goguettier controversé du 19 ème siècle qui avait collaboré notamment au journal satirique « le Sans Culotte ».

L’Institut met la ponctualité aux premiers rangs des vertus estudiantines, et le corps enseignant est très vigilant sur ce point.

Un exemple au hasard : la jeune Lysandra qui s’était déjà fait remarquer pour ses retards informe Max qu’elle risque d’arriver une demi-heure plus tard au rendez-vous fixé à 14h30. Max, dont vous connaissez l’indulgence, décale donc le rendez-vous à 15h et décide de vaquer à d’autres occupations en attendant.

Mais, à 14h30, Max reçoit plusieurs SMS intempestifs de la jeune étudiante lui signifiant qu’elle est arrivée et qu’elle l’attend impatiemment devant la porte de son bureau en fumant force cigarettes.

Max doit donc, à regret, modifier son emploi du temps, pour aller rejoindre Lysandra et lui réexpliquer de façon argumentée les vertus de la ponctualité !

Il est demandé à nos étudiantes de faire preuve d’un minimum de respect lorsqu’elles  s’adressent au corps enseignant.

Il ne s’agit pas, bien entendu, d’imposer une façon unique ou protocolaire de s’adresser au directeur de l’Institut, mais utiliser « Monsieur », ou « Monsieur Max » ou « Monsieur le Professeur » , par exemple, c’est indiquer, non pas de la déférence, mais le respect dû à la fonction qu’il exerce.

Bien sûr, nous savons tous qu’il est d’usage, dans ce type d’établissement, d’utiliser des sobriquets  familiers. Il convient donc de différencier les sobriquets affectueux des sobriquets réducteurs.

Ainsi, les « Maxou » ou « Maxouille » sont tolérés dans la mesure où ils sont utilisés avec parcimonie et hors de la présence de l’intéressé. Bien évidemment, il convient de ne pas en abuser ; dans le passé certaines étudiantes se sont vues rappeler à l’ordre au moyen d’une bonne fessée déculottée pour excès de familiarité.

Par contre, les « Maxounet » ou « Maximou » sont interdits et sévèrement réprimés. La jurisprudence se réfère à un arrêt de la cour de fessation du 4 janvier 2018 dans lequel une contrevenante récidiviste a été condamnée à être fouettée toute nue.

Pour celles qui en auraient besoin, l’institut met gracieusement à disposition quelques sobriquets homologués et non utilisés tels que  Supermax ou Batmax …