Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Institut du Professeur Max
28 juin 2015

La confession de Max

Confessionnal_avec_pr_tre_et_Max

« Mon père, je viens me confesser car j’ai commis une grande faute.

- Je vous écoute mon fils.

- J’ai fessé Fanny.

- Fanny? Qui est Fanny?

- Une jeune femme pure et innocente, mon père.

- Pour quel motif l’avez-vous fessée mon fils ?

- Là est mon plus gros pêché, mon père : je l’ai fessée sans motif valable. Ou plus exactement sous un motif fallacieux. Je suis un misérable.

- J’ai besoin d’en savoir plus avant de décider si je peux vous absoudre. Racontez-moi tout, et surtout, n’omettez aucun détail.

- Et bien voilà, mon père : j’ai attiré la pauvre Fanny dans un traquenard : je lui ai fait miroiter la promesse d’une seconde visite dans mon institut, alors sans se méfier, l’ingénue est venue à mon rendez-vous.

- Poursuivez, mon fils.

- Nous avons bu un verre en terrasse par une chaude fin de journée, puis je lui ai proposé une promenade. Elle a accepté naïvement sans se douter de ce qui l’attendait.

- Où l’avez-vous emmenée ?

- Dans mon bureau.

- Elle ne s’est pas méfiée ?

- Pas du tout. Elle m’a suivi en toute confiance, et lorsque la porte s’est refermée et que je lui ai annoncé que j’allais la fesser, elle a eu un choc.

- Comment a-t-elle réagi ?

- Elle a protesté de son innocence, réfutant mes arguments avec persévérance.

- Elle ne vous a pas convaincu ?

- Bien sûr que si, mon père. J’étais convaincu de son innocence, mais je voulais la fesser quoi qu’il arrive, pour assouvir la pulsion malsaine qui m’habitait.

- Et alors ?

- Je me suis assis sur le canapé, et, en dépit de ses protestations véhémentes, je l’ai attirée vers moi.

- Et ?

- J’ai déboutonné son jean.

- Etait-ce vraiment nécessaire ?

- Oui… Je voulais aller tout de suite à l’essentiel… si vous saviez comme j’ai honte !

- Et donc ?

- Je l’ai couchée en travers de mes genoux, et j’ai claqué vigoureusement son pauvre petit derrière à peine protégé par une fine culotte.

- De quelle couleur, mon fils ?

- La culotte ? Euh… blanche, je crois.

- L’important, c’est qu’au moins sa pudeur était sauve.

- Pas pour longtemps, hélas ! Cette protection était encore trop pour le sinistre sadique que je suis.

- Vous n’avez quand même pas osé lui baisser sa petite culotte, mon fils ?!

- Je l’ai fait, mon père, hélas… sans vergogne !

- Au moins, j’espère que vous n’avez pas été trop sévère ? Décrivez-moi l’état de ses fesses, mon fils.

- Elles étaient bien rouges ! Je n’y suis pas allé de main morte ! Je ne suis qu’un être vil et cruel…

Fanny

 

- Et ensuite ?

- J’ai voulu l’envoyer au coin.

- Non ?

- Mais la pauvrette m’a supplié, imploré…

- Et vous êtes resté inflexible ?

- Non, je me suis laissé attendrir : je lui ai fait grâce du coin en échange d’un câlin.

- Ah je savais bien que vous n’étiez pas si mauvais, au fond. Vous avez reçu la grâce du Seigneur ! C’est un miracle !

- Vous croyez, mon père ?

- Oui ! Je vous absous, mon fils. Vous êtes entièrement pardonné.

- Merci mon père. Ma conscience est soulagée, maintenant… Vous pensez que je pourrai recommencer, alors ?

- A une condition, mon fils.

- Laquelle ?

- C’est que vous veniez vous confesser tout de suite après ! Et en détails ! »

Publicité
Publicité
20 juin 2015

Angéla et les capitales

Max écrivait quelque chose … quoi ? Angéla n’en savait rien, mais elle commençait à s’impatienter, debout face au bureau du directeur. Elle se racla la gorge.

« Hem hem … »

Mais Max restait imperturbable, semblant à peine conscient de sa présence.

« Vous m’avez fait demander, Monsieur Max ? »

Pas de réaction.

« Non, parce que je n’ai pas que ça à faire, moi ! »

Cette remarque eut au moins le mérite de faire lever la tête du directeur.

« Pas que ça à faire …. Je suppose, répondit Max, que tu veux parler de ton travail scolaire ?

- Euh … oui… c’est exactement ça.

- En géographie, je suppose ?

- Ben … entre autres.

- Parce que, figure-toi, chère Angéla, que j’ai entendu de sévères critiques à ton sujet !

- Sévères critiques ?! Qui donc se serait permis de …

- La professeur de géographie, justement.

- Alors là, Monsieur Max. Je peux vous jurer qu’elle est particulièrement injuste ! Je peux tout expliquer !

- Tu es là pour ça, Angéla !

Capitales 01bulle

- Bon, c’est vrai qu’on s’est amusé à lui mélanger ses fiches. Ce n’était pas malin, je le reconnais. Mais j’ai tout remis dans l’ordre.

- Bien sûr … ces fiches portaient sur quoi Angéla ?

- Bof… de la géographie, quoi ! Je sais pas ! Des pays et des capitales….

- Oui… Les fiches des pays étaient classées dans l’ordre alphabétique… avec la fiche de leur capitale.

- Oui, et alors ?

- Alors, tu as tout reclassé dans l’ordre alphabétique… ce qui donnait Addis Abebba capitale de l’Afghanistan et Zagreb capitale du Zimbabwé !

- Euh… Et il y a un problème ?

- Oui, un gros problème, Angéla ! Parce que c’est ce qu’elle s’est mise à enseigner ! Une professeur que je suis contraint de sanctionner…

- Bien fait !

- Et une étudiante qui a visiblement besoin d’une bonne leçon !

- Sur les capitales ? Alors là, pas de souci, Monsieur Max ! Je suis incollable ! J’ai une application sur mon smart-phone qui me permet de les réviser tous les jours !

- Eh bien, c’est ce que nous allons voir, Angéla… Tout de suite… Viens t’asseoir à la table.

- Mais… c’est que je n’avais pas prévu de …

- Tst tst tst… pas de discussion, c’est juste une petite évaluation.»

Angéla, à contrecœur, alla s’asseoir à la table. Elle découvrit une carte muette de l’Europe avec des blancs à remplir.

« C’est quoi ça ?

- Une carte de l’Europe… Bon, on  ne va pas s’attaquer au Monde entier. Mais, compte-tenu de ton niveau, connaître les capitales de l’Europe, me semble accessible, non ?

- Oui… euh… mais enfin, sur une carte… faut peut-être pas exagérer !

- Ah ? C’est trop dur ? Eh bien, essaye quand-même ! »

En soupirant, Angéla se mit au travail… Paris, Londres et Madrid apparurent sur la carte. La jeune femme soupira et grommela :

« Comment je peux savoir, moi ? Il n’y a même pas le nom des pays sur votre carte à la noix !

- Pas d’insolence, Angéla ! Je commence à perdre patience ! 

- De toute façon, je ne sais pas. Je suis sûre que vous avez fait exprès pour avoir un prétexte pour me punir !

- Comment ? Moi ? Me soupçonner de … Alors qu’au contraire, je fais tout pour t’aider ! Tu me déçois beaucoup, Angéla… beaucoup… Mais, pour te prouver ma bonne foi, je vais te donner un travail plus facile. »

Max fit disparaître la carte et la remplaça par la liste alphabétique des capitales européennes.

« Voilà. Tu n’as qu’à écrire en face le nom du pays. Mais cette fois-ci , c’est tolérance zéro ! »

Angéla se mit à remplir la liste… en partie… Deux erreurs et huit absences de réponse : bien au delà du seuil de tolérance !

Capitales

Max haussa le ton :

« Bon, tu n’as pas assez travaillé, Angéla… Je vais te laisser regarder les réponses pour que tu puisses finir l’exercice. »

Il alla s’asseoir sur le canapé, posa à sa gauche le corrigé de l’exercice, et fit signe à l’étudiante de venir s’allonger sur ses genoux.

Celle-ci obéit nonchalamment.

« Bon. Tu vois : comme ça, on ne perd pas de temps ; pendant que je te fesse, tu peux continuer à réviser…

- Génial ! »

Max retroussa la jupette et baissa la petite culotte pour se retrouver face à ce magnifique postérieur avec lequel il avait déjà eu à traiter.

Pendant que les claques pleuvaient sur ses fesses nues, Angéla tentait tant bien que mal de se concentrer sur le corrigé.

Capitales 02bulle

Au bout de deux minutes, Max reprit la feuille.

« Alors, capitale de la Slovaquie ?

- Euh…

- Bratislava, Angéla. Bra – tis – la – va ! » répéta-t-il en ponctuant chaque syllabe d’une claque vigoureuse.

« Capitale de la Slovénie ?

- Euh … Bratis là-bas…

- Non ! Bratislava , c’est la Slovaquie ! Là je te demande celle de la Slovénie.

- Slovaquie, Slovénie … C’est pareil ! Vous n’allez pas chipoter !

- Non ! Je ne chipote pas ! La capitale de la Slovénie, c'est Ljubljana, Angéla. Lju – Blj – a – na » ponctua-t-il en rythme sur les fesses de la malheureuse jeune femme.

« Loubli … comment voulez-vous que je me souvienne d’une ville qui commence par l’oubli ? »

Max appréciait-il l’humour d’Angéla ? Pas si sûr, car une série de claques bien sonores retentit dans le bureau, et il ne s’agissait pas d’applaudissements …

Minsk et Kiev firent l’objet de la même attention pédagogique… mais Angéla fit la constatation que les capitales à une seule syllabes sont moins douloureuses, au bout du compte.

Au bout de quelques minutes, Angéla connaissait les capitales de l’Ukraine et de la Biélorussie… mais toujours pas celles de la Slovénie et de la Slovaquie. Max fut contraint, à son grand regret (bon, là, j’exagère peut-être un peu …) de rythmer à nouveau chaque syllabe de Bratislava et Ljubljana.

Elle fut donc envoyée au coin avec le corrigé pour apprendre par cœur ces deux capitales.

« Alors, Angéla, ces capitales, c’est bon, maintenant ?

- …

- Tu veux qu’on révise encore un peu ensemble ?

- Merci, monsieur Max ! Je crois que ça va aller.

- Parfait. Tu peux te reculotter : la séance est terminée. »

Angéla ne se le fit pas répéter. Trois secondes plus tard, elle franchissait le seuil. Elle se retourna :

« En tous cas, je peux vous avouer une chose : jamais, je n’irai la-bas !

- Où ça ?

- A Ljublislava ! »

Et elle sortit.

 

 

 

14 juin 2015

INFINITIF OU PARTICIPE PASSE ?

Pour les verbes du premier groupe, il n’est pas possible de les distinguer à l’oral. Alors, voici quelque règles simples :

-         Après l’auxiliaire être et l’auxiliaire avoir, on ne trouve jamais d’infinitif. Exemple : Le professeur a tancé vertement l’étudiante.

-         En dehors des cas ci-dessus, lorsque deux verbes se suivent, le deuxième est à l’infinitif. Exemple : Elle adore chahuter en classe.

-         Après une préposition, le verbe est à l’infinitif. Exemple : Il envisage de donner une bonne leçon à cette insupportable élève .

 

Infinif01

Lorsqu’on a un doute, il convient de remplacer le verbe du premier groupe par un verbe du deuxième groupe.

 

Exemple : Il va donc fesser sérieusement l’impertinente.

On peut remplacer le verbe fesser par le verbe punir, ce qui donne :

Il va donc punir sérieusement l’impertinente.

 

Ici le verbe aller est suivi d’un verbe à l’infinitif.

 

Autre exemple : Il l’a fessée vigoureusement pour qu’elle mesure bien l’ampleur de sa faute.

On peut remplacer le verbe fesser par le verbe punir, ce qui donne :

Il l’a punie vigoureusement pour qu’elle mesure bien l’ampleur de sa faute..

Infinif02

 

Ici l’auxiliaire avoir est suivi du participe passé.

7 juin 2015

L'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire avoir

A. Si le complément d’objet direct (COD) est placé après le participe passé
Le participe passé employé avec le verbe avoir ne s'accorde pas avec son C.O.D. lorsque ce C.O.D. est placé après le verbe.

Exemple : Les étudiantes insolentes ont reçu une fessée.
-> Le C.O.D. "une fessée" est placé après le participe passé. -> Pas d'accord du participe passé.

Etudiantes insolentes

» B. Si le complément d’objet direct est placé avant le verbe
Le participe passé employé avec le verbe avoir s'accorde avec son C.O.D. seulement si celui-ci est placé devant le verbe.

Exemple : Elles ont amplement mérité la fessée qu'elles ont reçue.
-> Le C.O.D. "La fessée" est placé devant le participe passé. -> Accord du participe passé "reçue" en genre et en nombre avec le C.O.D. (féminin).

5 juin 2015

Angéla et les majuscules (deuxième partie)

15h30 : l’Institut est quasiment vide, il n’y a pas cours . Seuls, les élèves en retenue restent le mercredi après-midi. Max est de méchante humeur : la première élève punie, Lisette, ne s’est pas présentée à l’heure dite. Pourtant, la liste de ses frasques était longue. Un problème qu’il lui faudra régler ultérieurement. Pourvu que la deuxième punie ne lui fasse pas faux bond.

Max se lève , ouvre la porte et regarde dans le couloir : vide.

Il entend un bruit de pas. Elle arrive d’un pas nonchalant. Première surprise: elle est vêtue d’un pantalon fuseau noir et d’un t-shirt rose vif. Max lui fait signe d’entrer et referme la porte.

« Qu’est-ce que c’est que cette tenue, Angéla ?

- Quoi ? C’est mercredi après-midi, non ? J’ai le droit de m’habiller en décontracté. Déjà, je ne devrais pas être là. Estimez-vous heureux que je sois venue !

- Tu vas baisser d’un ton ! Pour commencer, je veux voir ta punition ! »

La jeune femme sort de son sac quelques feuilles de papier arrachées à un cahier et pliées en quatre qu’elle tend à Max. Il les déplie, vérifie que les trente fois y sont et pose la punition sur son bureau.

« Bien, le professeur de Français avait donné un certain nombre de mots à apprendre, je crois ?

- C’est possible

- Tu les as appris ?

- Si vous croyez que j’ai que ça à faire ? Apprendre l’orthographe de mots que je n’écrirai jamais !

- Ah mais tu vas les écrire, Angéla ! Et tout de suite, parce que nous allons faire une dictée.

- Une dictée ! Voyez-vous ça ! »

Il lui désigne le pupitre sur lequel il avait déjà disposé une copie et un stylo.

« Assied-toi. Je connais ton niveau d’orthographe. Tu es capable d’écrire le texte que je vais te dicter sans aucune faute. Néanmoins, comme je suis indulgent, et que nul n’est à l’abri d’une erreur, je vais t’autoriser au maximum quatre fautes !

- Quelle générosité ! Et si j’en fais plus ?

- Alors c’est que tu auras fait preuve de mauvaise volonté ! Et tu ne couperas pas à une bonne fessée !

- Ben voyons ! » répond-t-elle en s’asseyant au pupitre.

Max lit d’abord le texte en entier une première fois. Un texte court : seulement trois phrases. Ensuite il dicte lentement en s’assurant que la jeune femme a bien le temps de tout écrire. Il la voit hésiter à certains moments, mais elle a l’air assez sûre d’elle et ne fait pas de rature.

Max relit le texte en entier une dernière fois et lui laisse quelques minutes pour d’ultimes vérifications, puis , à l’aide de son stylo rouge, il entoure les fautes, impitoyablement…

Dictée Angéla

« Il y a combien de fautes, Angéla ?

- Euh, huit, apparemment.

- Bien, Tu te souviens de ce que je t’ai promis ?

- Euh… »

Max va s’asseoir sur le canapé, et lui fait signe d’approcher. Toujours aussi nonchalante, Angéla vient s’allonger sur ses genoux. Max n’attend pas et commence à claquer la belle paire de fesses bien mise en valeur par le pantalon fuseau.

« Voilà qui va te rafraîchir la mémoire !

- Rafraîchir, rafraîchir, je n’ai jamais vu une fessée rafraîchir quoi que ce soit !

- On rafraîchit la mémoire en réchauffant les fesses ! C’est la base de la pédagogie moderne ! »

La jeune femme glousse, ne semblant pas le moins du monde importunée par les solides claques que Max lui administre.

«  Au moins, ça va t’aider à prendre conscience de l’importance de l’orthographe !

- Parce que vous croyez que c’est une petite fessée de rien du tout qui va m’aider à prendre conscience de je ne sais quoi ! »

Max commence à perdre patience. Il fait glisser le fuseau à mi-cuisses et frappe maintenant le majestueux derrière à peine couvert par une fine culotte.

« Petite fessée de rien du tout ! Tu vas apprendre à respecter la langue française, Angéla ; c’est moi qui te le dis !

- C’est ça, la pédagogie moderne ? Elle n’a pas encore l’air très au point !

- Oh, mais je vais la perfectionner, moi ! Tu vas voir ! »

Et il baisse la culotte, dévoilant une splendide paire de fesses déjà bien roses. Il prend quelque secondes pour admirer le spectacle qui s’offre à lui, puis il se remet au travail vigoureusement sans rien dire. Petit à petit, les fesses se mettent à rougir. Il s’arrête.

Angéla02

« Au coin, Angéla ! Cinq minutes. »

Elle obéit. Elle reste debout, silencieuse, son magnifique postérieur exposé. Pendant ce temps, Max range un peu son bureau. Il l’appelle : 

« Il est temps de corriger la dictée. Prends ton stylo vert. Cette fois-ci , c’est tolérance zéro ! »

La jeune femme revient au pupitre, et toujours les fesses à l’air, entreprend de rectifier ses fautes. Elle y parvient, mais pas complètement. Et notamment, elle oublie de corriger l’absence de majuscule au début de la dernière phrase. Max pointe la faute de son index.

« Quoi ? J’ai pas fait de faute, là !

- Mais enfin, Angéla, tu viens de copier trente fois : je dois mettre des majuscules en début de phrase ! »

Et Max ponctue sa remarque d’une forte claque sur le postérieur de son élève. Il reprend la punition qu’elle lui avait remise en début de séance pour lui montrer… et là il constate que c’est du travail bâclé !

Punition majuscules 2

«  Même dans la punition, tu n’as pas placé les majuscules où il fallait !

- On ne va pas s‘énerver pour deux trois majuscules !

- Si, moi, je vais m’énerver ! Tu as besoin d’un petit complément de leçon ! »

Il la prend par la main, et l’entraîne vers le canapé où il l’allonge à nouveau sur ses genoux. Les claques pleuvent. Le pauvre derrière est maintenant rouge vif. Mais Max continue. Sa paume aussi est bien rouge et chaude.

« Allez ! Encore une fois au coin. »

Angéla obéit. Elle frotte discrètement ses fesses . Quelques minutes s'écoulent dans un silence apaisant.

 « J’espère t’avoir convaincue des vertus de la pédagogie moderne !

- Oui… Vous devriez la faire breveter.

- J’y pense, Angéla… J’y pense... En attendant, tu peux te reculotter : la leçon est terminée."

Angéla se rhabille, salue son professeur d'un signe de tête et sort rapidement du bureau.

 

Publicité
Publicité
Institut du Professeur Max
Publicité
Newsletter
Institut du Professeur Max
Derniers commentaires
Réseau international

Network button

Archives
Visiteurs
Depuis la création 66 401
Publicité