La confession de Max
« Mon père, je viens me confesser car j’ai commis une grande faute.
- Je vous écoute mon fils.
- J’ai fessé Fanny.
- Fanny? Qui est Fanny?
- Une jeune femme pure et innocente, mon père.
- Pour quel motif l’avez-vous fessée mon fils ?
- Là est mon plus gros pêché, mon père : je l’ai fessée sans motif valable. Ou plus exactement sous un motif fallacieux. Je suis un misérable.
- J’ai besoin d’en savoir plus avant de décider si je peux vous absoudre. Racontez-moi tout, et surtout, n’omettez aucun détail.
- Et bien voilà, mon père : j’ai attiré la pauvre Fanny dans un traquenard : je lui ai fait miroiter la promesse d’une seconde visite dans mon institut, alors sans se méfier, l’ingénue est venue à mon rendez-vous.
- Poursuivez, mon fils.
- Nous avons bu un verre en terrasse par une chaude fin de journée, puis je lui ai proposé une promenade. Elle a accepté naïvement sans se douter de ce qui l’attendait.
- Où l’avez-vous emmenée ?
- Dans mon bureau.
- Elle ne s’est pas méfiée ?
- Pas du tout. Elle m’a suivi en toute confiance, et lorsque la porte s’est refermée et que je lui ai annoncé que j’allais la fesser, elle a eu un choc.
- Comment a-t-elle réagi ?
- Elle a protesté de son innocence, réfutant mes arguments avec persévérance.
- Elle ne vous a pas convaincu ?
- Bien sûr que si, mon père. J’étais convaincu de son innocence, mais je voulais la fesser quoi qu’il arrive, pour assouvir la pulsion malsaine qui m’habitait.
- Et alors ?
- Je me suis assis sur le canapé, et, en dépit de ses protestations véhémentes, je l’ai attirée vers moi.
- Et ?
- J’ai déboutonné son jean.
- Etait-ce vraiment nécessaire ?
- Oui… Je voulais aller tout de suite à l’essentiel… si vous saviez comme j’ai honte !
- Et donc ?
- Je l’ai couchée en travers de mes genoux, et j’ai claqué vigoureusement son pauvre petit derrière à peine protégé par une fine culotte.
- De quelle couleur, mon fils ?
- La culotte ? Euh… blanche, je crois.
- L’important, c’est qu’au moins sa pudeur était sauve.
- Pas pour longtemps, hélas ! Cette protection était encore trop pour le sinistre sadique que je suis.
- Vous n’avez quand même pas osé lui baisser sa petite culotte, mon fils ?!
- Je l’ai fait, mon père, hélas… sans vergogne !
- Au moins, j’espère que vous n’avez pas été trop sévère ? Décrivez-moi l’état de ses fesses, mon fils.
- Elles étaient bien rouges ! Je n’y suis pas allé de main morte ! Je ne suis qu’un être vil et cruel…
- Et ensuite ?
- J’ai voulu l’envoyer au coin.
- Non ?
- Mais la pauvrette m’a supplié, imploré…
- Et vous êtes resté inflexible ?
- Non, je me suis laissé attendrir : je lui ai fait grâce du coin en échange d’un câlin.
- Ah je savais bien que vous n’étiez pas si mauvais, au fond. Vous avez reçu la grâce du Seigneur ! C’est un miracle !
- Vous croyez, mon père ?
- Oui ! Je vous absous, mon fils. Vous êtes entièrement pardonné.
- Merci mon père. Ma conscience est soulagée, maintenant… Vous pensez que je pourrai recommencer, alors ?
- A une condition, mon fils.
- Laquelle ?
- C’est que vous veniez vous confesser tout de suite après ! Et en détails ! »