C’est la rentrée ! Max est submergé de travail : inscriptions, effectifs, emplois du temps, …
On frappe à la porte.
« Entrez !
- Bonjour Monsieur Max ! »
Une toute petite jeune femme entre et s’arrête face au bureau directorial.
« Bonjour Marie-Ange. Je suis content de te voir , mais je n’ai, hélas pas beaucoup de temps à te consacrer. C’est à quel sujet ?
- Je viens pour ma punition, Monsieur Max
- Punition ? Euh quelle punition ?
- J’ai été insolente, Monsieur Max.
- S’il n’y avait que toi ! C’est bien que tu en aies pris conscience. Je passe pour cette fois.
- J’ai utilisé des sobriquets ridicules en parlant de vous… des sobriquets interdits !
- Ne t’avise pas de recommencer, Marie-Ange ! Je ne serai pas toujours aussi indulgent. Maintenant, tu m’excuseras, j’ai du travail.
- Non non ! J’ai mérité une fessée ! Je ne sortirai pas de votre bureau tant que je n’aurai pas eu ma fessée ! »
Max la regarde, interloqué. Elle est campée sur ses petites jambes, l’air bien déterminé. Il sent qu’il ne va pas pouvoir s’en débarrasser d’un revers de main …
En soupirant, il se lève, la prend par la main pour l’entraîner vers le canapé où il l’allonge sur ses genoux . Il donne quelques claques sur la jupe qu’il retrousse ensuite, puis deux autres claques sur la culotte.
« Allez, au coin maintenant ! »
Le jeune femme ne semble pas très satisfaite. Elle se dirige vers le coin en maugréant.
« Qu’est-ce que tu dis ? Je n’ai pas entendu !
- Ah vous êtes sourd comme un pot alors, monsieur Max ! Je disais : je veux bien aller au coin, mais après vous me donnerez ma fessée !
- C’est bon, Marie-Ange, tu l’a eue, ta fessée ! Trente secondes de coin et tu me laisses travailler !
- Non ! Je veux une vraie fessée ! une fessée déculottée ! Et je veux le martinet ! Votre « bouclette » , là ! Sinon , je vais devenir insupportable ! »
Alors, Max comprend qu’il ne va pas pouvoir s’en tirer comme ça. Il prend une longue inspiration et ...