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Institut du Professeur Max
27 novembre 2015

Education musicale (apprendre les chansons du répertoire): "Les claques fortes"

Encore une chanson du répertoire que nos étudiants apprennent à l'Institut. Ils la chantent en Montand les escaliers pour se rendre en cours....

Partition claques fortes

 

Oh, il faudra bien que tu te souviennes
De tes petits caprices de chipie !
Je te préviens : tu vas t’en prendre une belle,
Tes fesses vont chauffer, je te le dis !

Les claques fortes se ramassent à la pelle,
Tu vois je n'ai pas oublié.
Les claques fortes se ramassent à la pelle,
Les petits coups de martinet aussi.

Tes yeux larmoyants, peu m’importe,
Il n’est pas question que j'oublie.
Tu vois, je n'ai pas oublié,
Les mauvais coups que tu m’as faits...

C'est une fessée, oui, il me semble,
Bien méritée, et tu le sais.
Je le vois : maintenant tu trembles,
C’est mérité et tu le sais.
On récolte souvent ce qu’on sème,
Et parfois ça peut faire du bruit.
Maintenant, penche-toi sur la table
Pour être vertement punie.

Feuilles mortes

 

C'est une fessée, oui, il me semble,
Bien méritée, et tu le sais.
Je le vois : maintenant tu trembles,
C’est mérité et tu le sais.
On récolte souvent ce qu’on sème,
Et parfois ça peut faire du bruit.
Maintenant, penche-toi sur la table
Pour être vertement punie.

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20 novembre 2015

Une dictée bien corrigée !

Après avoir réglé le sort des enseignantes, il était temps de s’occuper des étudiants. Max entra dans le bureau de Madame N.

« Nous allons nous répartir le travail, si vous en êtes d'accord.

- Pas de souci, Monsieur Max, je m’occupe de Brice et Mathieu, si vous voulez.

- Merci, Madame N ! Envoyez-moi la petite Elsa ! »

De retour dans son bureau, Max examina la dictée de l’étudiante : pas brillant !

Dictée Elsa corrigée

Douze fautes, des ratures et un commentaire désobligeant sur un de ses condisciples.

Quelques minutes plus tard, Elsa entra dans le bureau, négligemment, la bouche pleine, un fruit à la main.

« On ne mange pas dans mon bureau, Mademoiselle. Veuillez jeter votre fruit de la passion dans la corbeille.

- C’est une châtaigne, Monsieur Max ! Il faudrait faire réparer vos lunettes !

- Jetez-la dans la corbeille ! répondit sèchement Max. Vous avez fait beaucoup trop de fautes à cette dictée test. Je vous laisse une dernière petite chance d’échapper à la sanction : voici une deuxième feuille sur laquelle vous allez recopier la dictée en corrigeant vos fautes. Bien évidemment, je ne tolérerai aucune erreur. »

La jeune femme s’installa avec les deux feuilles à la petite table.

« Je vous laisse travailler, déclara Max en sortant. Nous ferons un point ensemble avec vos condisciples lorsque vous aurez terminé. »

Dans le couloir, Max fut interpellé par des claquements et des gémissements en provenance du bureau de sa collaboratrice. Lorsqu’il entra , il découvrit un spectacle édifiant : le jeune Brice était debout au fond de la pièce, les yeux humides, en train de se masser les muscles fessiers.

Madame N était assise, une bonne paddle à la main. Sur ses genoux, short et slip baissés, était couché Mathieu. Il gigotait sous les coups de paddle. Ses fesses rougissaient à vue d’œil et le volume sonore de ses gémissement s’amplifiait. Mais ce changement de couleur n’impressionnait pas du tout Madame N qui continuait sa besogne avec opiniâtreté!

Mathieu sen pren

« Tout va bien, Madame N ? demanda Max

- Beaucoup de fautes, Monsieur Max ! La correction prend un peu de temps.

- Vous m’appelez quand vous avez terminé ?

- C’est bon, j’ai presque fini. » répondit son interlocutrice en intensifiant encore un peu son débit. Après trois derniers coups d’apothéose, elle lâcha enfin sa victime qui se redressa, tout pantelant en se frottant les fesses.

Une fois Mathieu rhabillé, et après avoir remercié chaleureusement sa collaboratrice, Max invita les deux hommes à le suivre. Pendant le trajet, Brice glissa un petit paquet cadeau dans la main de Max.

« De la part de Mathieu et moi, Monsieur Max, ajouta le jeune homme.

- Merci, je suis très touché, répondit Max en ouvrant le paquet et en découvrant une boîte de chocolats. Je vous rajouterai un point à la dictée !»

Il faut avouer que Max a quelques points faibles… Pas beaucoup, mais le chocolat y figure en bonne place.

Il partagea donc quelques truffes avec ses deux étudiants avant d’entrer dans le bureau.

A peine franchissaient-ils la porte qu’ils furent accueillis par une Elsa goguenarde.

« Tiens, tiens ! Voilà Prof Max et ses dix slips ! »

Max était interloqué .

« Pardon ? éructa-t-il

- J’ai dit : disciples ! Vous devriez faire réparer votre appareil auditif, Monsieur Max . »

Max sentit une colère noire monter en lui, mais il ne répondit pas. Il fit entrer et asseoir Brice et Mathieu, posa les chocolats sur le guéridon et regarda sur la table où en était le travail de la jeune femme. Ce qu’il vit le laissa sans voix. La jeune femme, au lieu de refaire la dictée, s’était amusée à faire des pliages.

Pliages Esa

Il l’attrapa par la main et l’entraîna vers le canapé où il la coucha en travers de ses genoux.

« En plus, vous ne portez pas les chaussettes réglementaires. Ces bas ne font pas partie de l’uniforme de l’Institut ! »

Elsa répondit-elle quelque chose à cette remarque ? Pas sûr. Max ne lui en laissa pas vraiment le temps. Il se mit à claquer avec véhémence les petites fesses encore couvertes, mais pas pour longtemps. La jupette fut bientôt relevée pour une sérieuse fessée retentissante. Brice et Mathieu restaient cois, mais ils ne perdaient pas une miette du spectacle.

Elsa gigotait beaucoup, ses jambes s’agitaient dans tous les sens. Elle ne tenait pas en place. Quand elle sentit que Max s’attaquait à sa culotte, elle essaya de l’en empêcher en s’y cramponnant, tentative dérisoire de préserver cet ultime rempart… Bien entendu, cette résistance héroïque ne fut pas couronnée de succès, et les petites fesses rebondies apparurent enfin aux yeux de tous dans leur splendeur infinie. Elles rougissaient à vue d’œil sous les claques vigoureuses. La jeune femme continuait de s’agiter dans tous les sens et Max fut obligé de s’interrompre à plusieurs reprises pour la replacer correctement sur ses genoux.

« Brice, veux-tu me rendre un service, s’il te plaît ?

- Bien volontiers Monsieur Max.

- Dans mon deuxième tiroir, tu trouveras un martinet. Peux-tu me l’apporter ? »

Pendant que le jeune homme s’acquittait de sa mission, Max poursuivait la sienne avec persévérance. Il s’empara du martinet que lui tendait Brice et se mit à cingler les fesses déjà bien rouges d’Elsa. La position n’était pas idéale pour le maniement du martinet. Il s’en rendait compte. D’autant plus que sa malheureuse victime ne lui facilitait pas la tâche en gigotant de plus belle.

Mathieu intervint :

«  Si je peux me permettre, Monsieur Max, pour une fessée au martinet, vous devriez placer votre jambe droite au dessus. »

Elsa01

Max s’interrompit une seconde et suivit le conseil de l’étudiant. Effectivement, il avait raison : les jambes d’Elsa étaient maintenant immobilisées, et il avait plus de recul pour cingler les petites fesses.

« Ah oui, tu as raison, Mathieu ! Merci du conseil ! »

Le rouge était maintenant bien vif. Les lanières de cuir s’abattaient impitoyablement sur la peau déjà bien tannée. Elsa essayait bien encore de se trémousser et de se déplacer, mais elle était fermement maintenue. Max assena encore quelques cinglées, puis il relâcha la jeune femme et l’envoya au coin, près du guéridon.

« J’espère que ça t’a servi de leçon. Plus que ton orthographe, c’est ton insolence et ta désinvolture que j’ai punies. »

Elsa restait immobile, les mains devant elle, les fesses à l’air, près du guéridon. Elle ne répondit pas. Elle bougeait à peine; seules ses mâchoires semblaient animées d'un léger mouvement, comme si elle avait besoin de déglutir après cette bonne correction.

« Merci de votre aide, dit Max aux jeunes gens, vous aurez encore un point en plus.

- Merci Monsieur Max répondirent-ils en chœur.

- Regardez monsieur Max ! ajouta Brice, elle est en train de manger vos chocolats ! »

Elsa choco

 

17 novembre 2015

Charlotte et Myrtille : le test d'orthographe.

Le niveau d’exigence conditionne la réussite des étudiants. Et ce niveau d’exigence est valable en premier lieu pour les enseignants. Max est très pointilleux sur la correction du langage écrit et oral de son équipe. Il a donc convoqué dans son bureau les deux nouvelles enseignantes qu’il envisage de recruter : Charlotte qui devrait prendre en charge le latin et Myrtille qui pourrait s’occuper des sciences.

« Mesdames, comme convenu, avant de signer votre contrat, je dois vérifier votre niveau d’orthographe. Nous allons faire une petite dictée…

- Une dictée ! s’exclame Charlotte, Mais enfin, Max ! Nous avons passé l’âge de faire des dictées !

- C’est vrai, Max ! renchérit Myrtille. Entre enseignants responsables, pas besoin de test. Vous pouvez nous faire confiance.

- Ne vous inquiétez pas, c’est la même dictée que je donne aux étudiants lorsqu’ils entrent en première année. D’ailleurs, pour gagner du temps, vous allez la faire en même temps qu’eux. »

Les deux femmes protestent : pas question qu’elles subissent le même test que les élèves !

« Je vais en référer au syndicat ! prévient Myrtille.

- Pour l’instant, chère Myrtille , vous n’êtes pas encore recrutée Alors pas de dictée, pas d’embauche ! C’est vous qui voyez. Si vous voulez faire la dictée, c’est par là ! »

Il ouvre la porte de son bureau et leur fait signe de le suivre. Elles le suivent en maugréant jusque dans une salle de classe dans laquelle sont déjà installés trois étudiants : Mathieu, Brice et Elsa. Un surveillant, monsieur D, ne les quitte pas des yeux.

Myrtille et Charlotte prennent place côte à côte

Max distribue à chacun une feuille de papier et lit à haute voix le texte de la dictée. Elles écrivent en rechignant. Le surveillant doit intervenir pour empêcher Elsa et Brice de se chamailler. Mais Max s’aperçoit que les deux enseignantes ne valent guère mieux.

« Myrtille, inutile de regarder sur la feuille de Charlotte ! gronde-t-il.

- Je ne regardais même pas ! » ronchonne Myrtille

Max relit la dictée et ramasse les feuilles.

« Les étudiants, vous pouvez aller en cours, je vous verrai après la pause. Les enseignantes, suivez-moi. » annonce-t-il en sortant de la salle.

De retour dans son bureau, Max fait asseoir ses deux futures collègues et corrige les copies. Charlotte et Myrtille le regardent . Elles n’osent rien dire. Un silence pesant s’installe. Il relève la tête.

« A cause des travaux, il y a un cours d’éducation musicale juste à côté, j’espère que nous ne serons pas trop dérangés.

- La musique ne me dérange pas, répond Myrtille en souriant.

- Vous me connaissez : je suis d’un naturel indulgent. Pour cette dictée test, il y a pour les étudiants normalement une tolérance de quatre fautes maximum. Au delà, je me vois contraint de sanctionner. Or, je m’aperçois que Myrtille a fait neuf fautes et, toi, Charlotte, quatre. Je suis vraiment désolé, mais je vous donc devoir vous punir.

Dictée Charlotte

- Pas moi, Max ! répond Charlotte. Avec quatre fautes, je suis encore dans la zone de tolérance !

- Tu ne m’as pas bien écouté, Charlotte, cette zone est pour les étudiants.

- Donc pas de sanction prévue pour les enseignants, si j’ai bien compris ! intervient Myrtille.

- La tolérance est de zéro pour les enseignants, Myrtille ! Et vous êtes loin du compte !

Dictée Myrtille

- Bon, Max, je serais bien restée pour papoter encore un peu, dit Charlotte en se levant, mais il se fait tard, et … »

Max se lève à son tour, attrape la main de Charlotte, et l’entraîne vers le canapé. Elle ne proteste pas quand il l’allonge sur ses genoux. Il commence à tapoter gentiment par dessus la robe. A cet instant , la musique retentit : solennelle, pathétique !

« J’adore ce morceau ! s’exclame Max en relevant la robe de Charlotte.

- C’est une musique de film, non ? demande Myrtille.

- Oui, répond Max en essayant de baisser la culotte de Charlotte. Mais, au départ, c’est un morceau de Richard Strauss « Also sprach Zarathustra » !

Chipinette punie 03

Max enlève la main de Charlotte et parvient  enfin à la déculotter. Il marque une pause pour contempler ce magnifique postérieur dont il avait déjà eu l’occasion de s’occuper. Puis, à deux mains, il accompagne la musique, en osmose avec le rythme des percussions. Son visage s’illumine, la peau des fesses de Charlotte est devenu un véritable instrument de musique auquel il impulse des nuances. Il joue sur les tonalités, selon qu’il tape au centre ou à la périphérie. La musique s’arrête brutalement avant la fin : apparemment le professeur de musique n’a as fait écouter le morceau dans intégralité. Du coup, Max s’interrompt aussi. Charlotte en profite pour se redresser et se reculotter, heureuse de s’en tirer à si bon compte.

« Bon, pour quatre fautes, c’est suffisant, déclare-t-il. Par contre, pour neuf fautes, je vais devoir être bien plus sévère.

- Mais, ça ne fait que cinq fautes de plus, hasarde Myrtille.

- C’est cela, je serai donc cinq fois plus sévère, donc. A votre tour, Myrtille ! »

Elle se lève donc et vient s’installer sur les genoux de Max.

Il ne perd pas de temps et la déculotte d’entrée, dévoilant une paire de fesses toute aussi somptueuse que la précédente. Max apprécie en connaisseur . Il constate que les réunions pédagogiques avec ses enseignants sont toujours très instructives. Il démarre vigoureusement en claquant. Pas d’autre musique, cette fois-ci, que celle produite par Max. Mais elle est rythmée et retentissante ! Il s’interrompt.

« Charlotte, peux-tu me rendre un service, s’il te plaît ?

- Bien sûr, Max

- Dans mon troisième tiroir, tu trouveras une belle paddle en bois. Peux-tu me l’apporter ? »

Charlotte ne pas bien longtemps à fournir l’objet demandé. Très esthétique, un peu comme une raquette de jokari.

Il s’en saisit et l’applique vigoureusement sur le derrière déjà bien rouge de Myrtille. Celle-ci bouge un peu. Il sent qu’elle s’agrippe à sa chaussure. Elle a saisi son lacet et s’y cramponne. Il lui attrape la main et redouble de vigueur dans ses coups de paddle.

paddle

Il finit par la lâcher, mais elle a réussi à défaire son lacet qui lui est resté dans la main . Gentiment , Max le récupère. Elle remonte sa culotte, pendant qu’il relace sa chaussure. Le Monde est partagé en deux, se dit-il : il y a ceux qui remontent leur culotte, et eux qui relacent leur chaussure.

Il revient à son bureau en sort deux feuilles .

« Mesdames, vous pouvez signer vos contrats. Bienvenue à l’Institut ! »

13 novembre 2015

Littérature (contes) : "Mira d'Or et les Trois Ours"

Un autre grand classique incontournable!

Tout près de la forêt habitait une chipie qui n’avait pas les cheveux blonds mais qu'on appelait "Mira d’Or". Pourquoi, me direz-vous, l’appelait-on Mira d’Or si elle n’était pas blonde ? Et bien tout simplement parce qu’elle passait son temps à épier et à surveiller tout le monde dans son quartier : c’était la plus curieuse et la plus chipie des chipies de la région.

Dans la forêt, près de la maison de Mira d’Or, vivait la famille Ours. Il y avait Prof Ours, Maître Ours et Ourse Blonde.
Comme il faisait très beau ce jour-là et comme ils n’avaient pas encore assez faim pour manger tout de suite, les trois ours décidèrent de faire une petite promenade. Ils sortirent donc tous les trois laissant derrière eux la porte de la maison entrouverte; ils ne craignaient pas les voleurs car ils avaient la réputation d’être très sévères et personne n’osait s’aventurer près de chez eux.

Mira d’Or ce jour-là avait aussi eu l'envie de se promener dans la forêt et, chemin faisant, elle arriva près de la maison des trois ours.

Mirador01

Elle vit que la porte n’était pas fermée et comme elle était bien curieuse de savoir qui pouvait vivre ici, elle entra.

En arrivant dans la salle à manger elle remarqua sur la table trois belles assiettes. Elle s'approcha de la première, celle de Maître Ours, goûta le magret de canard et le trouva bien trop saignant ; elle jeta donc l’assiette par terre. Elle s'approcha alors de la deuxième assiette, celle de Prof Ours, goûta la quiche et la trouva trop salée ; elle la jeta donc par terre également et se mit  à la piétiner frénétiquement. Elle s'approcha enfin de l’assiette d’Ourse Blonde, goûta les chocolats et les trouva tellement à son goût qu'elle les mangea jusqu'à la dernière miette.

Ensuite elle regarda autour d’elle : sur le buffet était posé un drôle d’objet qu’elle n’avait jamais vu : un manche en bois rouge au bout duquel étaient fixées une douzaines de lanières de cuir. – Je me demande bien à quoi cela peut servir, se dit-elle. Elle le manipula, tira sur les lanières pour voir ce qui se passait. Comme il ne se passait rien, elle tira encore plus fort et réussit à arracher une lanière. Comme elle trouvait très amusant, elle arracha toutes les lanières une par une. Lorsqu’elle eut terminé, elle regarda par terre et aperçut une belle paire de chaussures : elles étaient solides, bien noires, impeccablement cirées, mais ce qui la fascinait avant tout, c’étaient les lacets qui scintillaient et brillaient de mille feux. Elle se mit à tirer sur les lacets jusqu’à les retirer complètement .
Toutes ces activités l’avait fatiguée . Alors elle s’approcha d’un petit lit accueillant, se coucha dessus, et le trouvant tout à fait comme il faut, elle s'y endormit.

Les trois ours, ayant terminé leur petite promenade, rentrèrent à la maison.
Maître Ours voyant son assiette par terre s'écria:
- Quelqu'un a jeté mon magret!
Prof Ours voyant l'état de sa quiche s'exclama à son tour:
- Ma quiche  a fondu comme neige au soleil !
Ourse Blonde regardant son assiette dit:
- Quelqu’un a tout mangé mes chocolats!

Maître Ours avança dans la pièce et se mit à gronder:
- Quelqu'un a démoli mon martinet!
Prof Ours vociféra:
- Quelqu'un a enlevé mes lacets!
Et Ourse Blonde alors pleurnicha:
- Il y a quelqu'un sur mon petit lit!

Mira d’Or, réveillée par la voix des ours, ouvrit les yeux et vit les trois ours penchés au-dessus d'elle. Croyant rêver, elle leur fit une vilaine grimace en tirant la langue et referma les yeux.

« Même pas peur ! » grogna-t-elle en se retournant sur le ventre.

Prof Ours, très en colère releva la petite robe qui la couvrait. Maître Ours encore plus fâché, baissa la jolie petite culotte. Et Ourse Blonde, hors d’elle,  mit la première claque, forte, … mais nettement moins que la suivante assenée par Prof Ours. Quant à la troisième, c’est Maître Ours qui s’en chargea, et elle était encore plus vigoureuse que les précédentes.

Mira d’Or ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Les trois ours se mirent à la fesser copieusement à tour de bras. La pauvre chipie était tellement surprise qu’elle n’arrivait pas à protester. Ses fesses étaient claquées de toutes parts par les mains velues des ours : une, deux, trois , quatre, cinq, six mains au total ! Et ça claquait, ça crépitait, ça résonnait ! Sûr que ça devait s’entendre de l’autre côté de la forêt ! Quand même, se disait-elle, ce ne sont pas des manières ! Elle s’apprêtait à faire une remarque, lorsqu’elle constata qu’au fond, ce n’était pas si désagréable ! La douleur se transformait en une chaleur torride qui se répandait dans son corps et qui lui procurait des sensations nouvelles.
Combien de temps cela dura… elle n’aurait pas su dire, mais quand enfin, le feu nourri s’arrêta, elle ressentit comme une déception. Ses fesses étaient en feu, mais elle n’avait pas encore envie d’éteindre l’incendie.

Mirador02

Elle se leva, se rajusta, les regarda tous les trois dans les yeux et déclara :

« Eh les nounours ! Vous savez quoi ? Même pas mal ! »

Mais elle s’enfuit tout de même en courant !

7 novembre 2015

La place de l'éducation physique.

L’éducation physique et sportive occupe toute sa place à l’Institut. Notre professeur de latin, Madame Charlotte a d’ailleurs trouvé une formule qui résume à elle seule notre philosophie : « Mens sana in corpore sano » . En fait, elle l’a trouvée par hasard en recherchant l’adresse d’un sauna pour hommes.

Mais revenons à notre propos :

Nos étudiants pratiquent régulièrement des activités d’athlétisme : l’entraînement est intensif et rigoureux.

Lancer

Départ course avec surveillant

Les jeux font également partie intégrante du sport, mais outre l’aspect ludique, l’exigence est au rendez-vous.

Ping pong

Babyfoot

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