Après avoir réglé le sort des enseignantes, il était temps de s’occuper des étudiants. Max entra dans le bureau de Madame N.
« Nous allons nous répartir le travail, si vous en êtes d'accord.
- Pas de souci, Monsieur Max, je m’occupe de Brice et Mathieu, si vous voulez.
- Merci, Madame N ! Envoyez-moi la petite Elsa ! »
De retour dans son bureau, Max examina la dictée de l’étudiante : pas brillant !
Douze fautes, des ratures et un commentaire désobligeant sur un de ses condisciples.
Quelques minutes plus tard, Elsa entra dans le bureau, négligemment, la bouche pleine, un fruit à la main.
« On ne mange pas dans mon bureau, Mademoiselle. Veuillez jeter votre fruit de la passion dans la corbeille.
- C’est une châtaigne, Monsieur Max ! Il faudrait faire réparer vos lunettes !
- Jetez-la dans la corbeille ! répondit sèchement Max. Vous avez fait beaucoup trop de fautes à cette dictée test. Je vous laisse une dernière petite chance d’échapper à la sanction : voici une deuxième feuille sur laquelle vous allez recopier la dictée en corrigeant vos fautes. Bien évidemment, je ne tolérerai aucune erreur. »
La jeune femme s’installa avec les deux feuilles à la petite table.
« Je vous laisse travailler, déclara Max en sortant. Nous ferons un point ensemble avec vos condisciples lorsque vous aurez terminé. »
Dans le couloir, Max fut interpellé par des claquements et des gémissements en provenance du bureau de sa collaboratrice. Lorsqu’il entra , il découvrit un spectacle édifiant : le jeune Brice était debout au fond de la pièce, les yeux humides, en train de se masser les muscles fessiers.
Madame N était assise, une bonne paddle à la main. Sur ses genoux, short et slip baissés, était couché Mathieu. Il gigotait sous les coups de paddle. Ses fesses rougissaient à vue d’œil et le volume sonore de ses gémissement s’amplifiait. Mais ce changement de couleur n’impressionnait pas du tout Madame N qui continuait sa besogne avec opiniâtreté!
« Tout va bien, Madame N ? demanda Max
- Beaucoup de fautes, Monsieur Max ! La correction prend un peu de temps.
- Vous m’appelez quand vous avez terminé ?
- C’est bon, j’ai presque fini. » répondit son interlocutrice en intensifiant encore un peu son débit. Après trois derniers coups d’apothéose, elle lâcha enfin sa victime qui se redressa, tout pantelant en se frottant les fesses.
Une fois Mathieu rhabillé, et après avoir remercié chaleureusement sa collaboratrice, Max invita les deux hommes à le suivre. Pendant le trajet, Brice glissa un petit paquet cadeau dans la main de Max.
« De la part de Mathieu et moi, Monsieur Max, ajouta le jeune homme.
- Merci, je suis très touché, répondit Max en ouvrant le paquet et en découvrant une boîte de chocolats. Je vous rajouterai un point à la dictée !»
Il faut avouer que Max a quelques points faibles… Pas beaucoup, mais le chocolat y figure en bonne place.
Il partagea donc quelques truffes avec ses deux étudiants avant d’entrer dans le bureau.
A peine franchissaient-ils la porte qu’ils furent accueillis par une Elsa goguenarde.
« Tiens, tiens ! Voilà Prof Max et ses dix slips ! »
Max était interloqué .
« Pardon ? éructa-t-il
- J’ai dit : disciples ! Vous devriez faire réparer votre appareil auditif, Monsieur Max . »
Max sentit une colère noire monter en lui, mais il ne répondit pas. Il fit entrer et asseoir Brice et Mathieu, posa les chocolats sur le guéridon et regarda sur la table où en était le travail de la jeune femme. Ce qu’il vit le laissa sans voix. La jeune femme, au lieu de refaire la dictée, s’était amusée à faire des pliages.
Il l’attrapa par la main et l’entraîna vers le canapé où il la coucha en travers de ses genoux.
« En plus, vous ne portez pas les chaussettes réglementaires. Ces bas ne font pas partie de l’uniforme de l’Institut ! »
Elsa répondit-elle quelque chose à cette remarque ? Pas sûr. Max ne lui en laissa pas vraiment le temps. Il se mit à claquer avec véhémence les petites fesses encore couvertes, mais pas pour longtemps. La jupette fut bientôt relevée pour une sérieuse fessée retentissante. Brice et Mathieu restaient cois, mais ils ne perdaient pas une miette du spectacle.
Elsa gigotait beaucoup, ses jambes s’agitaient dans tous les sens. Elle ne tenait pas en place. Quand elle sentit que Max s’attaquait à sa culotte, elle essaya de l’en empêcher en s’y cramponnant, tentative dérisoire de préserver cet ultime rempart… Bien entendu, cette résistance héroïque ne fut pas couronnée de succès, et les petites fesses rebondies apparurent enfin aux yeux de tous dans leur splendeur infinie. Elles rougissaient à vue d’œil sous les claques vigoureuses. La jeune femme continuait de s’agiter dans tous les sens et Max fut obligé de s’interrompre à plusieurs reprises pour la replacer correctement sur ses genoux.
« Brice, veux-tu me rendre un service, s’il te plaît ?
- Bien volontiers Monsieur Max.
- Dans mon deuxième tiroir, tu trouveras un martinet. Peux-tu me l’apporter ? »
Pendant que le jeune homme s’acquittait de sa mission, Max poursuivait la sienne avec persévérance. Il s’empara du martinet que lui tendait Brice et se mit à cingler les fesses déjà bien rouges d’Elsa. La position n’était pas idéale pour le maniement du martinet. Il s’en rendait compte. D’autant plus que sa malheureuse victime ne lui facilitait pas la tâche en gigotant de plus belle.
Mathieu intervint :
« Si je peux me permettre, Monsieur Max, pour une fessée au martinet, vous devriez placer votre jambe droite au dessus. »
Max s’interrompit une seconde et suivit le conseil de l’étudiant. Effectivement, il avait raison : les jambes d’Elsa étaient maintenant immobilisées, et il avait plus de recul pour cingler les petites fesses.
« Ah oui, tu as raison, Mathieu ! Merci du conseil ! »
Le rouge était maintenant bien vif. Les lanières de cuir s’abattaient impitoyablement sur la peau déjà bien tannée. Elsa essayait bien encore de se trémousser et de se déplacer, mais elle était fermement maintenue. Max assena encore quelques cinglées, puis il relâcha la jeune femme et l’envoya au coin, près du guéridon.
« J’espère que ça t’a servi de leçon. Plus que ton orthographe, c’est ton insolence et ta désinvolture que j’ai punies. »
Elsa restait immobile, les mains devant elle, les fesses à l’air, près du guéridon. Elle ne répondit pas. Elle bougeait à peine; seules ses mâchoires semblaient animées d'un léger mouvement, comme si elle avait besoin de déglutir après cette bonne correction.
« Merci de votre aide, dit Max aux jeunes gens, vous aurez encore un point en plus.
- Merci Monsieur Max répondirent-ils en chœur.
- Regardez monsieur Max ! ajouta Brice, elle est en train de manger vos chocolats ! »