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Institut du Professeur Max
27 avril 2016

Chanson : Le fesseur des Lilas

J' suis le fesseur des Lilas
Le gars qui claque et qu'on n'remercie pas
Quand j’exerce mon ministère
C’est la galère
Et ça gémit, et ça proteste
Il paraît que j’ai la main leste !
Et pourtant, je suis gentil
Moi je ne fesse rien que des chipies
Des vilaines impertinentes
Des insolentes
Parait qu'il y a pas de sots métiers
Moi j’administre des fessées !

J'claque des culs, des p’tits culs, encore des p’tit culs
Des gros culs, des beaux culs, mais toujours des culs
Des culs d’première classe
Des culs de grognasse.

J'claque des culs des p'tits culs encore des p'tits culs
Des gros culs des beaux culs, mais toujours des culs
Des petits culs des petits culs des petits culs des petits culs.

Le fesseur des Lilas


J' suis le fesseur des Lilas
Oui, je le sais c’est un métier ingrat
Je n’dis pas que je regrette
Mais dans ma tête
J’entends des pleurs et puis des cris
Mais jamais, jamais un merci !
Et voici mon gros problème :
Moi, je ne fais rougir que des peaux blêmes
Parfois je rêve je délire
J’vois un sourire
Et à travers un grand silence
J’entends des mots de reconnaissance !

 

J'claque des culs, des p’tits culs, encore des p’tit culs
Des gros culs, des beaux culs, mais toujours des culs
Des culs de poufiasse
Des culs d’seconde classe.

J'claque des culs des p'tits culs encore des p'tits culs
Des gros culs des beaux culs, mais toujours des culs
Des petits culs des petits culs des petits culs des petits culs.



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23 avril 2016

Enseigner l'histoire

L’histoire est un élément essentiel pour comprendre le présent. Elle fait le lien entre les générations. L’histoire ne se résume pas une succession de dates mais connaître les dates des grands événements est un atout primordial pour entrer dans le Monde d’aujourd’hui.

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L’Institut accompagne ses étudiants en leur donnant les bases qui vont leur permettre de prendre du recul par rapport à ce qui pourrait survenir.

18 avril 2016

Rédaction... et découpage!

A partir de l’image ci-dessous, vous voudrez bien rédiger une petite histoire, en répondant notamment aux questions suivantes :

Où se passe l’action ?

Qui sont les personnages ?

Que vient-il de se passer ?

Que va-t-il se passer ensuite ?

Merci de présenter un travail soigné et original ! (sinon ...)

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12 avril 2016

La chipie culottée enfin démasquée (deuxième partie)

Elle sursaute, porte la main à sa bouche pour étouffer un cri de surprise. Max la dévisage pour essayer de deviner son identité, mais avec le masque, le bonnet et la cape, elle est méconnaissable. Elle se ressaisit très vite :

« C’est bien ici, le bal ? demande-t-elle d’une toute petite voix aiguë, visiblement contrefaite.

- Pardon ?

- Le bal masqué de l’école, c’était bien , ce soir ? Non ? Alors j’ai dû me tromper, excusez-moi ! »

Et elle tente de s’esquiver… Mais Max a été plus rapide et l’a saisie par le poignet .

« Un bal ? Vous voulez de la danse, mademoiselle ? Eh bien, vous allez être contente ! Vous allez pouvoir vous trémousser ! Et en cadence ! »

Elle essaie de se dégager, mais la poigne de Max est solide et ferme. Elle se sent entraînée vers le canapé. Max la couche sur ses genoux, retrousse la jupe et baisse la petite culotte !

Elle proteste :

« Ah non ! Monsieur Maxouille, ce n’est pas moi ! ! »

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Mais Max n’en a cure. Bien qu’impressionné par le spectacle magnifique de cette petite paire de fesses qui ne lui est pas étrangère, il se met au travail avec ardeur. Et il claque, et il claque… et il claque ! Le bruit résonne dans le bureau, dans les couloirs de l’institut, vide à cette heure-ci. Le petit postérieur prend rapidement des couleurs de plus en plus vives.

La chipie reste stoïque, ne proteste pas… c’est tout juste s’il la sent à peine gigoter. Max sent que sa main droite chauffe, mais il ne faiblit pas. Au contraire ! Les superbes fesses virent maintenant au carmin !

Il s’arrête enfin. Elle se redresse et veut remonter sa culotte. Max lui saisit à nouveau le poignet.

« Avant de te reculotter, tu pourrais peut-être retirer ton masque ?

- Il n’en est pas question ! » rétorque-t-elle d’un air de défi.

Max est interloqué par le cran de la chipie masquée. Il pense un instant à lui arracher son masque de force, mais quelque chose en lui l’en empêche.

«  Je te conseille de l’enlever tout de suite, si tu ne veux pas tâter du martinet ! »

Elle ne bouge pas, se contentant de soutenir son regard. Alors il ouvre son tiroir et en sort le martinet.

« Allez ! Enlève-moi ce masque et on n’en parle plus ! »

Sans répondre, elle se courbe sur le bureau, présentant ses fesses déjà meurtries.

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Alors, les lanières se mettent à siffler dans l’air et s’abattent impitoyablement sur leur cible. Là, elle commence à se tortiller, quelques gémissements s’échappent, venant ponctuer les claquements secs du cuir sur la chair. Au bout d’une douzaine de coups, Max suspend son geste.

« Tu es sûre que tu ne veux pas retirer ton masque ?

- Oui, balbutie-t-elle, tout à fait sûre ! »

Alors il reprend son ouvrage de plus belle. Il s’interrompt une nouvelle fois, pour lui laisser une chance de se démasquer, mais elle ne s’en saisit pas. Le rouge cramoisi s’orne maintenant de zébrures violacées… Il se dit que ça suffit, qu’elle est assez punie…

Il range le martinet dans le tiroir et s’assoit à son bureau.

« Tu peux te reculotter maintenant ! »

Elle obéit, silencieusement. Elle remet sa cape en place et tourne les talons…

« Eh bien, Fanny, tu ne dis pas au revoir ? »

Elle se retourne, interloquée.

« Comment m’avez-vous reconnue ?

- Je connais bien mes étudiantes ! Et certaines, encore plus par leurs fesses que par leur visage ! »

Alors, d’un geste gracieux, elle arrache masque et bonnet, secoue la tête pour délier ses longs cheveux… Elle esquisse un sourire contrit :

« Vous êtes fessionomiste, monsieur Maxouille ! Je vous demande pardon pour les affiches sur votre porte. Au revoir Monsieur Maxouille. »

Et elle sort en frottant son pauvre derrière douloureux…

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8 avril 2016

La chipie culottée enfin démasquée ! (1ère partie)

Ce matin-là, Max arrive à son bureau très tôt comme d’habitude. Il est bien réveillé, certes, mais les souvenirs d’une soirée un peu prolongée et légèrement arrosée embrument un peu son esprit. En mode automatique, il parcours les couloirs de l’Institut, arrive devant la porte de son bureau , introduit sa clé, ouvre la porte et entre…

Il fait quelques pas et s’arrête brusquement… Il lui semble soudain qu’en ouvrant la porte, son esprit vif et alerte (mais peut-être encore un peu embrumé) a enregistré une information bizarre, une anomalie…

Il retourne à la porte et découvre avec stupeur un dessin placardé dessus.

Dessin n°1

Max arrache le papier, le froisse et le jette dans sa poubelle. Quelques minutes plus tard le travail aidant, il a oublié l’incident.

 

Le lendemain, quelle n’est pas la stupeur de Max en constatant qu’un autre dessin est affiché sur sa porte, avec la même signature que la veille : La Chipie Masquée. D’un geste rageur, il fait subir au papier le même sort qu’au précédent… mais il a plus de mal, cette fois-ci à oublier l’incident.

Dessin n°2

 

Lors de ses déambulations dans les couloirs, il croise plusieurs étudiants, les observe du coin de l’œil en se demandant lequel d’entre eux s’amuse à ce petit jeu. Il guette le moindre rire sous cape, le moindre clin d’œil, le moindre regard moqueur… La paranoïa le guette !

 

Le surlendemain, il s’approche de son bureau avec une boule au ventre, et il découvre le troisième dessin, la parodie d’un jeu du labyrinthe qu’il avait proposé récemment à ses étudiants pour les détendre.

Dessin n°3

Il décide alors de convoquer une assemblée générale . 

Dans le grand amphi, tout le monde est là : étudiants, enseignants, personnel administratif… Max prend la parole.

« Depuis plusieurs jours, une personne malintentionnée, lâchement cachée sous le pseudonyme de La Chipie Masquée se permet d’apposer des affiches malveillantes sur la porte de mon bureau. De tels comportements sont inadmissibles dans un établissement comme le nôtre et le ou la coupable mérite d’être sévèrement sanctionné. Toutefois, si, dans un souci de repentir, cette personne décidait de se dénoncer, je pourrais faire preuve d’un minimum de clémence dans l’application de la sanction… »

Il se tait, guette les réactions… pour l’instant, il n’y en a pas : les visages sont fermés, le silence est pesant. Il poursuit :

« Dans le cas contraire, et j’en serais désolé, je me verrais contraint d’envisager une punition collective. »

Un murmure de protestation commence à se faire entendre. Max observe les visages, et plus particulièrement l’un d’entre eux :  ses soupçons se portent tout naturellement sur Léa, la plus facétieuse de ses étudiantes !

« Léa, tu es sûre que tu n’as rien à dire ? »

Léa rougit, fait non de la tête. Elle sent tous les regards tournés vers elle. Ses yeux s’humidifient.

«  Non, Monsieur Maxou ! Ce n’est pas moi, je vous jure ! » gémit-elle dans un sanglot.

Elle a l’air sincère… Alors qui donc ? Max regarde attentivement les enseignants. Il a eu maille à partir avec Myrtille et Charlotte ; auraient-elles eu l’idée de se venger ?

Ou alors une étudiante vexée d’avoir été punie ? Luciana dont la susceptibilité n’a d’égal que la fierté ? Margot dont les colères et le langage de charretier résonnent régulièrement dans les couloirs ? Dorothée dont les réactions sont rarement prévisibles ?

Ou bien Fanny la pétillante ? Possible… Tiens ! Et Lisette qui collectionne les transgressions ! Oui, ça serait bien dans son style !  Ou alors Elsa la déjantée ?  Angéla La ronchon, bien qu’elle se soit calmée ces derniers temps ? Violette, la sourde-muette ?

Beaucoup trop de suspects, décidément !

Plusieurs mains se lèvent.

Max donne la parole à Charlotte.

«  En tant que présidente du Conseil, je m’interroge sur la façon dont cette école est gérée. Un peu moins de laxisme et un peu plus de fermeté ne seraient pas du luxe !

- Tu veux de la fermeté, Charlotte ? En voici : la punition collective concernera bien entendu les étudiants, mais aussi les enseignants ! »

Cette fois-ci , c’est un véritable brouhaha qui fuse au sein des professeurs.

Max reprend la parole.

« La séance est levée. Si quelqu’un a quelque chose à dire, je l’attend dans mon bureau… Demain matin, il sera trop tard. »

Et il sort de l’amphi sans se préoccuper des regards réprobateurs fixés sur lui.

 

Max reste dans son bureau et attend… les heures passent … l’institut se vide, les lumières d’éteignent , le silence s’installe. Il reste immobile, dans le noir, derrière la porte, à l’affût…

 

Il sent que le sommeil n’est pas loin : ses yeux picotent, il baille, sa tête dodeline… toujours rien… quoique ? Quel est ce bruit ? pas vraiment un bruit de pas, mais comme un léger glissement…

Il pose doucement sa main sur la poignée, et , dès qu’il sent un vague mouvement, il ouvre brutalement la porte et se trouve face à la chipie masquée…

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5 avril 2016

Le jeu du labyrinthe

Saurez-vous aider le professeur Max à retrouver son élève dans le dédale des couloirs de l'Institut?

Labyrinthe avec perso

La chipie masquée ( et culottée... mais cela n'est que provisoire) a proposé une solution:

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Qu'en pensez-vous?

1 avril 2016

Adieu Max... Vive Max 2!

Adieu Max

Triste 1er avril pour l’Institut qui pleure la disparition de son directeur bien-aimé.

Le professeur Max vient de nous quitter brutalement, victime d’un accident du travail.

D’après les renseignement que nous possédons, Max était en train d’enseigner, lorsque , pour des raisons encore obscures, il a perdu le contrôle de son martinet, qui lui a échappé des mains et est parti en l’air. Bouche bée, Max l’a observé faire plusieurs loopings et doubles axels… puis retomber brutalement au fond de sa gorge… Il n’a pas survécu à l’étouffement provoqué par le redoutable manche qui s’était introduit  impitoyablement dans son œsophage …

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Les hommages seront, n’en doutons pas, nombreux pour ce directeur dont tous louaient la bonté, la tolérance, l’indulgence et la délicatesse.

...

Non non non, Max n'est pas mort ! Et comme le dit si bien Waldo, tel le phénix, il renait de ses cendres !

Et voici ...

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