Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Institut du Professeur Max
26 avril 2015

Les souvenirs de Justine

Toc toc toc …

Quelques coups frappés à la porte.

« Entrez ! » invita Max.

La jeune femme  qui s’introduisit dans le bureau directorial était belle, grande et rousse. Ses yeux gris clairs reflétaient à la fois de la douceur et de la détermination. Le nez et les joues étaient parsemées de discrètes taches de rousseur.

« Bonjour Justine, dit Max en lui désignant un siège, que puis-je pour toi ?

- Bonjour Professeur, je voudrais revenir sur l’incident d’hier soir.

- Si tu le souhaites… Pour moi l’incident est clos.

- C’est à dire que … Comment vous dire ? Mes souvenirs sont un peu embrouillés…

- Je vois.

- Je me suis réveillée ce matin avec des douleurs diverses : un gros mal de crâne , la bouche pâteuse …

- C’est tout ?

- Non : j’ai les fesses marquées de zébrures rosâtres et assez cuisantes…

- Oui… et tu n’as pas la moindre idée de ce qui a pu se passer ?

- J’ai quelques images qui m’arrivent en tête : du verre cassé par terre, vous avec un martinet à la main, un mégot mouillé…mais je n’arrive pas à faire le lien…

- Bien… je vais donc te rafraîchir la mémoire ! »

Et Max entreprit de lui raconter ce qui s’était passé la veille au soir.

 

Aux alentours de 19h30, il avait été alerté par une étudiante : quelqu’un aurait introduit des cigarettes et du vin dans le dortoir. Sur ce plan, le règlement de l’institut est formel : il est strictement interdit de fumer et de consommer de l’alcool à l’intérieur sous peine de sanctions lourdes. Max s’était donc dirigé immédiatement vers le lieu du délit sans oublier de se munir au préalable de son vieux martinet (cet instrument s’était déjà avéré utile dans ce genre de situation)…

Lorsqu’il entra dans le dortoir, il fut saisi par l’odeur de tabac. Il y avait trois filles dans la chambrée. Les deux autres, debout, à l’extrémité de la pièce avaient leurs regards braqués sur Justine : assise sur son lit, elle tenait dans la même main une bouteille à moitié vide et une cigarette allumée. Elle dodelinait et parlait à très haute voix :

Justine 01

« Eh, vous voulez pas boire un coup ? Vous êtes sûres ? Et hop ! Un petit coup à la santé du vieux Max !

- Justine, ça suffit ! » cria Max.

Son appel la fit sursauter, et ce faisant,  elle lâcha la bouteille et le mégot. La bouteille, au contact du carrelage, éclata en morceaux, répandant du verre cassé et du vin sur le sol, le mégot s’éteignit par bonheur au contact du liquide.

Max considérait le désastre avec stupéfaction :

« Un Haut-Brion 1998… ce n’est pas possible !

- Tiens ! Voilà le professeur Max ! s’écria Justine. Eh bonjour Professeur… bonsoir plutôt… parce qu’on est le soir, là, voyez…

- Mais… tu es complètement ivre, ma parole !

- Oh ! Qu’est-ce que vous avez à la main ? … C’est pour moi, ce gros martinet ? Je sens que ça va être la fête à mes petites fesses, là, non ? »

Et elle éclata de rire.

Max était très en colère. Il regardait alternativement le carrelage souillé et Justine qui était secouée d’un rire convulsif. Il l’attrapa par les épaules et la secoua :

« Tu te rends comte de ce que tu as fait ? Tu as déjà été renvoyée  d’un autre établissement où tu avais failli provoquer un incendie avec un mégot mal éteint ! »

Justine s’arrêta brusquement de rire, et se redressa en chancelant.

« Vous avez raison, professeur, je suis une mauvaise fille. Punissez-moi ! »

Justine 03

Des deux mains , elle retroussa sa jupe et se pencha en avant pour s’appuyer sur son lit. Puis elle se redressa à nouveau…

« Mille excuses ! J’ai oublié de baisser ma culotte… je suis vraiment distraite en ce moment ! »

Elle fit glisser la petite culotte jusqu’aux mollets et reprit sa position, offrant le spectacle de son petit derrière à la vue de tous.

Max était impressionné par l’audace de la jeune femme, mais il lui en voulait terriblement. Pas seulement parce qu’elle avait enfreint le règlement, pas seulement parce qu’elle avait sali le carrelage, mais surtout parce qu’elle avait gâché une excellente bouteille , qui , il le savait, provenait de sa réserve personnelle, et qu’il se promettait d’ouvrir lors d’une grande occasion. Il n’hésita pas longtemps. Son bras, armé du martinet , se mit en action, et les lanières s’abattirent vivement sur les fesses offertes…

Il régnait un silence glacial dans la chambrée… on aurait pu entendre voler une mouche. De toute façon, il n’y avait pas de mouche. Les seules choses qui volaient, c’étaient les lanières du martinet. On entendait distinctement le sifflement de leur trajet dans l’air, suivi du claquement lors de l’impact sur la peau, puis le gémissement qui s’échappait de la bouche de Justine. Ses petites fesses s’ornaient maintenant de traces rougeâtres qui débordaient par endroits sur les cuisses.

Combien de temps dura cette punition ? nul n’aurait pu le dire : ni Max , aveuglé par sa colère, ni Justine embrumée par le vin, ni les deux spectatrices, tétanisées par la scène.

Lorsque Max s’arrêta, les fesses de Justine étaient d’un rouge bien vif. Elle se redressa et tourna ses beaux yeux vers Max :

« Je vais au coin, maintenant, Professeur ?

- Non ! Tu ne tiendrais pas debout ! Tu peux te coucher directement. Quant à vous, dit Max en se tournant vers les deux spectatrices, Je vous tiens pour responsables en partie de ce qui s’est passé : vos auriez dû l’empêcher de faire ce qu’elle a fait ; vous serez donc punies ! »

 Les deux jeunes femmes reculèrent en montrant des signes de frayeurs.

« Votre punition sera de nettoyer tout ça, immédiatement, et soigneusement ! Si jamais je retrouve le moindre petit morceau de verre, gare à vos fesses ! » ajouta-t-il en brandissant le martinet. Puis il sortit, au grand soulagement de toutes.

 

« Voilà, Justine, ce qui s’est passé hier soir, mais comme je te l’ai dit, tu as été punie, donc pour moi, l’incident est clos.

- Pas pour moi, rétorqua la jeune femme. Vous m’avez déculottée et fouettée devant tout le monde. C’est très humiliant, et j’exige réparation !

- Réparation ! s’exclama Max, mais c’est une plaisanterie, j’espère !

- Pas du tout, répondit Justine en le regardant droit dans les yeux, j’ai encore des marques et je pourrais porter plainte. »

Elle remonta sa jupe et montra quelques traces roses qui dépassaient de sa culotte.

« Et ce n’est pas le pire. Vous voulez voir mes fesses ?

- Non merci, ça ira… mais tu ne crois pas que ça serait plutôt à moi de porter plainte ? Tu m’as volé une bouteille de Haut-Brion 1998 millésimé, tu sais combien ça coûte ?

- Très cher, je vous l’accorde, Professeur… Mais vous avez des preuves ? Il ne reste, au dortoir, aucune trace de cette bouteille, grâce à mes camarades qui ont nettoyé à fond. Tandis que vous, vous avez laissé des jolies traces de votre forfait !

- Quel toupet !

- De plus, c’est votre faute si la bouteille s’est cassée. Si vous ne m’aviez pas fait sursauter, je ne l’aurais pas lâchée et on aurait évité tous ces dégâts ! Donc j’estime que vous me devez bien un petit quelque chose.

- Mais c’est du chantage que du fais, là, Justine !

- Professeur !  Pour qui me prenez-vous ? Je ne réclame pas d’argent ! Ce n’est pas mon genre.

- Alors, que veux-tu ?

- Eh bien, j’ai vu que vous aviez une deuxième bouteille dans votre cave. Je crois que si vous m’invitiez à la partager avec vous, disons … ce soir, je finirais bien par vous pardonner. Je vous laisse réfléchir… A ce soir ! »

Et elle sortit du bureau, laissant Max interloqué.

Publicité
Publicité
19 avril 2015

Le retour de Luciana

Max était plongé dans les résultats du deuxième trimestre … pas fameux ; plutôt en légère baisse par rapport au premier. Les causes en étaient multiples : insuffisance de travail des étudiants, ambiance délétère dans plusieurs classes, et, il fallait bien le reconnaître, manque de compétences de quelques enseignants.

Il fut tiré de sa réflexion par plusieurs coups frappés à la porte.

«  Oui, entrez ! »

Sur le seuil, apparut une jeune femme assez grande, brune, jolie avec des yeux verts olive.

« Tiens ! Quelle surprise ! Luciana ! Qu’est-ce qui me vaut le plaisir de cette visite ? … assez inattendue, je dois dire…

- Je suis revenue.

- Je vois ça… Et pour quoi faire ? Tu avais oublié quelque chose, peut-être ?

- Non. Je veux revenir en cours.

- Tu veux ? Tu me donnes un ordre?

- Non, je … Je souhaiterais revenir en cours… s’il vous plaît, Monsieur Max.

- Je regrette, Luciana, mais ça ne va pas être possible.

- Mais pourquoi ?

- Tu es partie il y a trois mois en claquant la porte ! Tu n’as plus donné signe de vie. Tu n’as répondu à aucun appel ; les frais de scolarité n’ont pas été payés ; et aujourd’hui, tu reviens comme si de rien n’était. Mais tu te crois où, Luciana ? dans un libre-service ?

- Non, je suis désolée, Monsieur Max. Je reconnais que je me suis mal comportée. Mais j’ai mûri. Je suis prête à revenir en classe.

- Pour y faire preuve d’insolence, une fois de plus ?

- De l’insolence, Monsieur Max ? Pas du tout, c’était simplement de la magagne !

- De la quoi ?

- La magagne, c’est un mot de chez nous, c’est de la plaisanterie en quelque sorte.

- Un doigt d’honneur, pour toi, c’est de la magagne ?

- Oui, c’est du second degré… voyez …

- Je vois surtout qu’il est regrettable que les professeurs ne saisissent pas tous l’humour corse !

- N’est-ce pas ?

- En tous cas, c’est gentil à toi d’être passée. Au revoir. »

Luciana01

Max se leva, signifiant ainsi la fin de l’entretien. Mais Luciana insista :

« Non , s’il vous plaît, Monsieur Max. Je vous demande pardon !

- Comment pourrais-je te pardonner, alors que tu n’as même pas été punie ! »

Luciana sembla hésiter . Elle regardait par terre, se balançant d’un pied sur l’autre. Puis elle redressa la tête.

« D’accord, finit-elle par déclarer, j’accepte d’être punie.

- Tu en es sûre ?

- J’en suis sûre. »

Max ouvrit le deuxième tiroir de son bureau, en sortit la petite paddle en cuir qu’il affectionnait tant et la posa bien en évidence sur son bureau.

Luciana pâlit.

« Ah non ! pas ça !

- Ah mais tu es libre d’accepter ou non la punition… comme je suis libre d’accepter ou non ta réintégration !

- Vous ne me laissez pas le choix !

- On a toujours le choix, Luciana ! »

Il prit la paddle et alla s’asseoir sur le canapé. Elle ne bougea pas.

« Par contre, j’ai du travail. Alors soit on règle ça tout de suite, soit tu t’en vas. »

Elle s’approcha doucement. Elle essayait de garder la tête haute et le regard fier, mais elle n’y parvenait pas. Il la saisit fermement par le poignet et l’installa en travers de ses genoux . Elle était tendue et se raidit davantage lorsqu’elle sentit que sa jupe était retroussée.

« S’il vous plaît, ne baissez pas ma culotte ! implora-t-elle

- J’ai peur que tu ne sois pas en position de négocier, ma pauvre Luciana ! »

Et, à deux main, il fit glisser la petite culotte à mi-cuisses.

Et la punition commença. La paddle était petite, mais le cuir en était assez épais. Dès les premiers coups, Luciana commença à gémir. Max n’était pas cruel, il s’en voulait un peu de la voir souffrir, mais il lui en voulait beaucoup d’avoir déserté l’école pendant plusieurs semaines. Il estimait qu’il fallait marquer le coup par une punition dont elle se souviendrait.

L’impact du cuir sur la peau laissait de belles traces rouges .

Luciana02

Luciana sanglotait, maintenant. Elle gigotait, se cambrait, suppliait et s’excusait, elle implorait la clémence de son bourreau. Max avait beaucoup de mal à ne pas se laisser attendrir. Il avait décidé d’appliquer trente coups, mais dès le quinzième, il avait envie de jeter l’éponge. Il se força bravement à aller jusqu’à vingt-cinq, puis il la lâcha.

Elle se redressa en essuyant ses larmes, remonta sa culotte sur ses fesses endolories et rajusta sa jupe. Max retourna à son bureau et rangea la paddle dans le tiroir.

« C’est bon, Luciana, j’accède à ta requête : tu es réintégrée.

- Merci Monsieur Max. Vous verrez que je serai sage, désormais… »

Et elle sortit. Mais Max entendit clairement la fin de la phrase qu’elle prononça juste avant la fermeture de la porte :

« ... Ou pas ! »

 

 

 

11 avril 2015

La cas de Dorothée

« Monsieur Max ? Vous voulez me voir ?

- Oui, Dorothée, entre et assieds-toi »

Dorothée était une petite brunette, mignonne, avec une mèche rouge sur le devant. Elle ne semblait pas du tout impressionnée, et s’assit en croisant effrontément les jambes.

Dorothée01

 

«  Je suppose que tu sais pourquoi je t’ai convoquée ?

- Pas du tout.

- Une altercation… dans le vestiaire… avec Margot.

- Ah ! Elle ! Elle m’a cherchée.

- Elle se plaint d’avoir été insultée.

- C’est elle qui insulte ! Elle passe son temps à dire des gros mots.

- Selon ses affirmations, tu l’aurais traitée de grosse.

- Bah… Elle est tout le temps en train de se plaindre. Elle me gonfle. Elle dit qu’elle est une grosse merde. Alors, oui, je lui ai dit : t’es une grosse merde. Voilà : elle avait qu’à pas me chercher.

- Dans mon institut , personne ne peut se permettre d’insulter qui que ce soit, tu le sais.

- Ha ha ha… Vous me faites rire !

- Rire ? On va voir ça ! Je ne suis pas satisfait de ton comportement : bavardages incessants, retards en cours, insolence envers les enseignants, tags désobligeants sur les murs… la liste est longue ! »

Max se leva , posa soigneusement sa veste sur le dossier de sa chaise et alla s’installer sur le canapé.

«  Tu mérites une solide correction.

- Eh bien, allez-y, Monsieur Max, corrigez-moi donc ! »

Dorothée se leva et alla se coucher sur les genoux de Max, sans oublier de remonter sa jupe, dévoilant une ravissante culotte bleue clair.

Max aurait pu se passer d’autorisation. Mais l’aplomb qu’elle manifestait contribua à doper sa vigueur, et il se mit à claquer fortement de sa large main le fessier à peine couvert de la jeune femme. Dorothée ne protestait pas, ne gémissait pas, elle endurait patiemment sa punition.

Elle avait les yeux fermés et semblait même arborer un vague sourire.

« J’ai l’impression que cette punition n’est pas assez sévère, déclara Max.

- Je m’endors un peu, en fait, répondit Dorothée .

- Je vais te réveiller, moi, tu vas voir ! »

Max, saisit la légère culotte et la fit glisser à mi-cuisses. Les petites fesses de la jeune femme apparurent, roses vif et semblant tout aussi effrontées que leur propriétaire !

Dorothée02

 

Alors Max s’en donna à cœur joie : sa main se mit à rebondir sur ce magnifique postérieur à une cadence infernale ! Les claques résonnaient dans la pièce et nul doute que le bruit devait s’entendre dans tout l’institut. Dorothée ne disait toujours rien, mais elle commençait à se tortiller et à esquisser quelques mimiques de douleur. Le petit derrière était maintenant rouge vif et bien brûlant.

Max était essoufflé., son bras engourdi et sa main en feu.

« C’est bon. Je pense que tu as eu ta dose, cette fois-ci, non ?

- Oui, je crois, Monsieur Max, répondit-elle en se rhabillant. Vous m’avez bien corrigée, j’en avais besoin. »

Elle se leva et le regarda droit dans les yeux et dit :

«  Merci ! Et… à bientôt ! »

Puis elle sortit du bureau avec la même assurance que lorsqu’elle était entrée, laissant Max perplexe.

9 avril 2015

Une bonne leçon pour Margot

Vendredi soir, 18 heures. Le professeur Max retournait enfin à son bureau. La journée avait été chargée avec deux professeurs absents et il avait dû prendre une classe au pied levé.

Madame N l’attendait devant son bureau.

« Monsieur le Directeur, je suis au regret de vous informer que nous avons eu une bagarre dans le vestiaire !

- Qui sont les protagonistes ?

- Margot et Dorothée, monsieur le Directeur

- Encore !

- Oui, elles sont insupportables en ce moment.

- Bon, je m’en occupe. Je vais commencer par Margot. Envoyez-la moi. »

Mme N s’éclipsa tandis que Max s’installait.

Quelques instants plus tard, Margot entra dans le bureau. C’était une jeune femme, plutôt jolie, aux formes généreuses. Elle arborait une mine renfrognée.

« Alors Margot, tu sais pourquoi tu es là ?

- Quoi ?

- Tu t’es encore chamaillée avec Dorothée ?

- C’est elle qui m’a insultée, putain ! Elle m’a traitée de grosse !

- Ce n’est pas très gentil de sa part, j’en conviens. Et toi , tu ne lui avais rien fait ?

- Non !

- Rien dit, non plus ?

- Non, puisque j’vous dit !

- Tu es sûre que tu n’as pas dit deux trois gros mots, sans faire exprès?

- Ouais j’suis sûre… Je lui ai juste dit qu’elle faisait chier, qu’elle me cassait les couilles et que j’en avais rien à foutre de sa gueule !

- Oui… ce n’est pas bien, Margot, de parler comme ça, tu le sais bien.

- M’en fout ! De toute façon , je suis qu’une grosse merde. Puisque c’est comme ça, j’irai plus en cours.

- Bon ça suffit maintenant, Margot !

- Non, ! D’abord j’fais c’que j’veux ! J’suis une grosse merde et j’fais c’que j’veux ! »

 

Margot01

Monsieur Max se leva et alla s’asseoir sur le canapé. Il fit signe à Margot d’approcher. Celle-ci avança de quelques pas en le regardant d’un air de défiance.

« Margot, je ne tolère pas qu’on t’insulte. J’ai donc décidé de punir sévèrement ceux qui le font. Tu es d’accord ?

- Ah ouais alors ! »

Elle s’approcha, un peu rassurée. Max l’attrapa par le bras, et elle se retrouva subitement couchée en travers de ses genoux !

« Quelqu’un vient de te traiter de « grosse merde », et ce quelqu’un, c’est toi ! Si tu veux que les autres te respectent, commence par te respecter toi-même !

- Mais… »

Elle sentit que sa jupe était relevée, et de fortes claques s’abattirent sur ses fesses rebondies à peine protégées par la fine petite culotte qui les recouvrait.

«  Putain ! Aïe ! Merde ! Pitié, Monsieur Max !  »

Margot02

Mais Max n’était pas sensible à la pitié. Il continuait son ouvrage fermement,  avec application, malgré les protestations véhémentes de Margot. Il y eut un moment de répit ; Margot crut que la fessée était terminée. Hélas ! Elle sentit que sa culotte était baissée.

« Ah non ! Pas cul nu, s’il vous plaît ! »

Sa demande ne fut hélas pas prise en compte, et la main de Max s’abattit à nouveau en cadence sur ce beau derrière déjà bien rouge . Margot sanglotait.

« Aïe ! Pardon Monsieur Max ! Je ne recommencerai pas ! Promis ! Ouille ! »

Puis au bout de longues secondes (ou étaient-ce des minutes ?)  interminables, comme par magie, Margot sentit que sa culotte était remontée et sa jupette remise en place.

« Tu peux te relever, maintenant. J’espère que tu as compris la leçon ! Tu penses toujours que tu es une grosse merde ?

- Non, Monsieur Max, répondit Margot en se levant et en essuyant ses larmes, je ne suis pas une grosse merde !

- Tu es quelqu’un de bien, Margot. Tu as juste besoin qu’on te le rappelle de temps en temps ! »

Elle sortit du bureau en reniflant et en frottant ses pauvres fesses endolories.

7 avril 2015

Les mésaventures de Violette

Monsieur Max poussa un soupir de soulagement. La rentrée s’était bien passée. Tous les étudiants inscrits étaient arrivés la veille au soir. Ils les avait accueillis avec le discours de bienvenue qu’il avait préparé. Il avait bien insisté sur le strict respect des règles et les sanctions encourues par ceux qui s’aviseraient de les enfreindre.

Dans quelques secondes, les cours allaient pouvoir commencer. Tous les étudiants avaient revêtu l’uniforme de l’Institut : chemise bleue turquoise, chaussettes et cravates rouges, jupe ou short bleu marine.

La sonnerie annonçant le début des cours se mit à retentir.

Il entendit frapper à la porte.

« Entrez. » annonça-t-il.

La silhouette de Madame N apparut sur le seuil.

«  Excusez-moi, Monsieur Max, mais nous avons un petit problème…

- Quel problème ? » demanda Max en fronçant les sourcils. Monsieur Max n’aimait pas les problèmes, parce que lorsqu’il y avait un problème, c’était à lui qu’il incombait de le régler.

«  Une étudiante s’est présentée en cours dans une tenue non conforme…

- Vous voulez dire qu’elle n’est pas en uniforme ?

- Oui, c’est ça, Monsieur Max.

- Donnez-lui un avertissement et acceptez-la exceptionnellement en cours. Elle ira se changer à la pause.

- Mais … c’est que …

- C’est que quoi, Madame N ?

- Je ne suis pas sûre qu’elle puisse aller en cours… elle est là… si vous voulez la voir…

- Bon. Faites-la entrer et laissez-nous, s’il vous plaît. Je m’en occupe. »

 Madame N s’inclina et disparut. Monsieur Max vit alors apparaître une jeune femme de petite taille aux cheveux auburn mi-longs. Elle portait de grosses lunettes, et, en dehors de ça, pas grand chose : une petite culotte violette et un soutien-gorge de la même couleur.

Max était abasourdi : en vingt-cinq ans de carrière, il n’avait jamais vu ça ! Des cravates oubliées, des chemises mal boutonnées, des chaussettes absentes, oui, ça s’était déjà produit ; mais des étudiantes se présentant en sous-vêtements, non !

«  Mademoiselle, vous allez immédiatement vous rhabiller et vous revenez me voir ensuite pour être sanctionnée ! »

La jeune femme ne bougea pas.

«  Vous entendez ce que je vous dis ? »

Pas de réponse. Elle le regardait avec ses grands yeux et agitait les mains comme si elle voulait lui faire signe.

« Quel est votre nom ? »

Elle fit non de la tête en montrant ses oreilles.

«  Ah ? Vous êtes sourde ? Vous devez être.. euh…  Violette ?… Vi-o-lette ? » répéta-t-il en articulant.

Le regard de la jeune femme s’éclaira ; elle fit oui de la tête.

Monsieur Max était perplexe. Il avait vu passer le dossier d’inscription de cette étudiante non-entendante. On lui avait assuré qu’elle serait capable de suivre les cours malgré son handicap.

Il lui fit signe de s’asseoir et lui tendit son bloc et son stylo. Violette obtempéra et se mit à écrire. Max se leva, fit le tour de son bureau et se mit à lire au fur et à mesure qu’elle écrivait.

« Je suis désolée, Monsieur le Directeur, de me présenter dans cette tenue. On m’a sali mon uniforme. »

Elle leva la tête et croisa son regard.

«  Sa-li ? » Articula Max

Elle se remit à écrire :

« Au petit déjeuner, on m’a renversé un grand bol de chocolat chaud sur mon chemisier et ma jupe. Je ne pouvais pas aller en cours avec des vêtements tachés et trempés. J’ai réclamé un autre uniforme, on me l’a refusé.

- Vous n’avez pas à ré-cla-mer Mademoiselle ! Vous êtes res-pon-sable de la pro-pre-té des vê-te-ments qui vous sont confiés !, s’indigna Max

- Ce n’est pas moi qui ai renversé le bol.

- Donnez-moi le nom de la personne. Elle sera punie… pu-nie !

- Je ne suis pas du genre à dénoncer mes camarades !

- Quoi qu’il en soit, je ne peux en aucun cas tolérer ce genre de tenue en classe ! »

1502403_467538830051662_6114087118129432647_o

Elle le regardait comme si elle cherchait à comprendre. Elle se remit à écrire frénétiquement.

« De plus, je dois dire que le petit déjeuner n’est pas à la hauteur de la réputation de votre établissement : le chocolat est industriel et les croissants ne sont pas très frais ! »

Là, il faut reconnaître que Monsieur Max commença à perdre patience. C’était la première fois qu’on osait lui tenir tête avec un tel aplomb !

« Ca suffit ! cria-t-il, je vais vous faire passer votre insolence. Vous allez comprendre ce qu’il en coûte d’enfreindre les règles de l’Institut. Levez-vous !

- …

- De-bout !!! »

Violette se leva de sa chaise et brusquement se retrouva courbée sous le bras gauche du directeur. Elle sentit l’élastique de sa culotte tiré vers le bas, et la main ferme de Max qui lui claquait vigoureusement les fesses. Elle était interloquée. Elle s’attendait certes à être sanctionnée ; elle avait bien conscience qu’elle avait été très loin dans la provocation, mais elle s’était imaginée qu’elle aurait pu gagner l’indulgence de cet homme, qu’il aurait été sensible à la fois à son handicap et à sa beauté.

Les claques résonnaient dans le bureau, mais elle ne pouvait pas les entendre. Par contre, elle les sentait ! Monsieur Max n’y allait pas de main morte, et la douleur était plutôt cuisante.

1403094_469483759857169_542004052893216257_o

Au bout de trois minutes, elle sentit que l’élastique de sa culotte était remonté. Max la lâcha et retourna s’asseoir à son bureau. Elle avait le visage empourpré et le regardait à travers ses grosses lunettes d’un air de reproche. Max se saisit du bloc et écrivit.

« Retournez au dortoir, on va vous donner un uniforme neuf pour aller en cours. Quant au petit déjeuner, je vais donner les instructions nécessaires pour qu’il soit amélioré. »

Il lui présenta le texte ; elle en prit connaissance et son visage s’illumina.

« Mer-ci ! » réussit-elle à articuler avec un vague sourire.

Elle tourna les talons et sortit.

Publicité
Publicité
7 avril 2015

Enseigner l’orthographe.

Il est primordial que nos étudiants s’expriment dans un registre de langue soutenu y compris et surtout à l’écrit. L’usage de l’écrit est aujourd’hui démultiplié et l’orthographe est plus que jamais un vecteur incontournable. Nos enseignants en sont conscients et veillent en permanence à la rigueur des textes rédigés par les étudiants. Les fautes sont systématiquement soulignées et font l’objet d’une correction particulièrement appuyée.

Séance d'orthographe

5 avril 2015

Le statut de l'erreur

L’erreur est un indicateur des processus intellectuels en jeu lors d’un apprentissage. Cet apprentissage passe obligatoirement par des moments de difficultés face auxquels les étudiants doivent corriger leurs anciennes conceptions erronées. L’étudiant qui ne se serait pas assez investi, motivé et  qui n’aurait pas mis en œuvre toutes ses compétences devra être sanctionné lors d’une évaluation finale.

1497956_342156119256601_1879364653_o

2 avril 2015

Les même règles pour tous

Dans notre établissement, les règles de fonctionnement s’appliquent aussi bien aux étudiants qu’aux membres du personnel. Il est primordial que ces derniers aient une attitude exemplaire , faute de quoi ils s’exposent eux aussi à des sanctions.

Ménage chez Max

Publicité
Publicité
Institut du Professeur Max
Publicité
Newsletter
Institut du Professeur Max
Derniers commentaires
Réseau international

Network button

Archives
Visiteurs
Depuis la création 66 401
Publicité