Happy Birthday Alex!
Décidément, ce début juillet est propice aux anniversaires ! (D’ailleurs, le mien approche à grands pas… moi je dis ça, je ne dis rien ...)
Bref, après Pandora, un énorme merci à une autre grande dame de ce Monde de la Fessée, tout aussi incontournable : Alex Reynolds!
Elle a deux sites : Alex in Spankingland et Spanking Wishes qui méritent le détour, bien qu’ils ne soient pas tenus régulièrement à jour… Il faut dire qu’Alex est très occupée : elle travaille des deux côtés de l’Atlantique pour notre plus grand plaisir.
Joyeux anniversaire, Alex !
Happy Birthday Pandora!
Toute l’équipe de l’Institut tient à souhaiter à Pandora Blake un joyeux anniversaire.
Cette grande dame du Monde de la Fessée est aujourd’hui incontournable. Elle en est la reine.
Elle mène un combat contre les lois puritaines de son pays qui l’ont obligée à fermer son site « Dreams of Spanking ». Qu’elle reçoive ici le soutien officiel de l’Institut !
Joyeux anniversaire, Pandora !
L'énigme des chapeaux
Trois chipies sont convoquées dans le bureau du directeur pour être punies. La sentence est de vingt coups de martinet chacune.
Toutefois, Max, dans sa grande mansuétude leur fait la proposition suivante :
« Voici cinq chapeaux : deux bleus et trois rouges. Je vais vous coiffer chacune d’un chapeau. Si vous êtes capable de me dire sans vous tromper la couleur de votre chapeau, vous ne serez pas punie. Si vous vous trompez, la sentence sera doublée. Si vous ne dites rien, vous aurez les vingt coups de martinet prévus. »
La première chipie interrogée réfléchit puis préfère se taire.
La suivante réfléchit à son tour et choisit de ne rien dire.
La troisième réfléchit, puis déclare « Mon chapeau est rouge. »
Elle échappe donc à la punition.
Comment pouvait-elle en être aussi sûre ?
Jeux de plateau : le Culedo
La pauvre Ellie a été retrouvée cul nu au coin et les fesses toutes rouges !
Mais qui donc l’a mise dans cet état ?
Et avec quel instrument ?
Et dans quelle pièce de l’institut ?
Les suspects sont :
Oncle Waldo
Maître Ours
Madame Chipinette
Tante Mirabelle
Révérend Mike
Professeur Max
Les instruments possibles :
Le martinet
La canne
Le ceinturon
La brosse
La paddle
La savate
Chaque joueur lance le dé . Lorsqu’il arrive dans une pièce il peut formuler une hypothèse : nommer un suspect avec un instrument qui aurait pu ainsi fesser l’infortunée Ellie ! L’hypothèse est testée sur le champ, ce qui permet à chaque joueur de se rapprocher de la solution de l’énigme.
Voici un jeu passionnant à pratiquer entre amis pour égayer les longues soirées d’été !
Sujet de philo !
Eh bien voici en avant première le sujet de philo qui va permettre à nos étudiants les plus performants de développer leurs capacités d’analyse et de synthèse et d’exercer leur esprit critique.
« Douleur physique ou humiliation ? Quelle composante de la punition est prédominante ? »
Vous avez quatre heures…
Fesse Béton
Pour poursuivre l'étude des musiques et chansons de notre patrimoine, voici en hommage à Renaud, la parodie d'un de ses premiers succès :
J’étais tranquille, un peu pétasse
Affalée sur ma chaise,
Le type est entré dans la classe,
Et a réclamé qu’on se taise,
Puis j’ai rigolé aux éclats !
Et il s'est approché de moi :
« Les effrontées,
Moi, je sais les mater!
J'parie qu't’es une chipie,
Mais j’vais t ‘en faire passer l’envie
J'vais t'apprendre un jeu mignonet
A coups d’lanières de martinet
Tu vas me demander pardon ! »
Moi j'y ai dit : « Fesse béton ! »
Et il m’a empoignée, a r’troussé mon jupon,
Les fesses, il m’a tannées, j'lui ai d’mandé pardon.
J’étais tranquillement dans le noir
Jouant au polochon
Le type est entré dans l’dortoir
Il a dit « C’est quoi ce boxon ? »
Puis j’y ai lancé mon oreiller
Il a pas vraiment apprécié :
« Dis donc drôlesse,
Tu veux que je te dresse ?
J’vais faire rougir ton popotin
A grand coups de canne en rotin
Jusqu’à c’que tu m’fasses des excuses
Et si par hasard, tu refuses
Ca pourra te coûter bonbon… »
Moi j’y ai dit : « Fesse béton ! »
Il m’a fouetté les fesses, jusqu’à c’que la peau s’use
Alors pour que ça cesse, j’lui ai fait des excuses.
Recadrage... pédagogique!
La pièce est vide. Obscure. Au centre, le bureau directorial. Sur le bureau, un martinet qui traîne : les solides lanières de cuir qui partent du manche en bois s’éparpillent négligemment en tous sens…
La porte s’ouvre doucement. Une silhouette s’avance prudemment dans la pièce. Elle se dirige vers le bureau, s’immobilise, puis s’empare de l’objet. Elle le considère un instant, caresse les lanières, regarde autour d’elle, ouvre lentement un tiroir et en sort une paire de ciseaux…
Un bruit de pas se fait entendre au loin dans le couloir. La silhouette remet précipitamment les ciseaux en place. Le bruit se rapproche : on distingue un pas appuyé et l’autre moins… quelqu’un qui boite… Monsieur Max, sans aucun doute !
La silhouette s’agite, fait des mouvements désordonnés, puis se précipite vers le canapé, soulève un coussin et glisse le martinet dessous.
La porte s’ouvre, la lumière s’allume… Léa se trouve face à Max.
« Tiens, Léa ! Qui t’a autorisée à entrer ?
- Je suis désolée monsieur Maxou. Je pensais que …
- Ce n’est pas grave … J’ai suffisamment de griefs contre toi. Inutile d’en rajouter !
- Des griefs ?
- Oui Léa ! Je n’aime pas qu’on me manque de respect !
- Moi !? Vous manquer de respect ? Alors là, vous êtes injuste, monsieur Maxou !
- Injuste ? Falsifier mes appréciations, ce n’est pas me manquer de respect ? Me tirer la langue, ce n’est pas me manquer de respect ? Cacher mon matériel pédagogique, ce n’est pas me manquer de respect ?
- Quel matériel ?
- Le martinet… que tu as glissé sous un coussin. Il y a un bout de lanière qui dépasse !
- Ah…
- Donc, tu comprendras que tout ça mérite un sérieux recadrage ?
- Ben …
- Mais tu connais mon indulgence ?
- Euh… Je la connais bien, oui !
- Je suis prêt à passer l’éponge… à une condition !
- Tout ce que vous voudrez, monsieur Maxou !
- Le professeur de musique est encore venu se plaindre que tu n’apprenais pas les paroles des chansons.
- La dernière ? Le fesseur des Lilas ? Mais elle est dure monsieur Maxou !
- Il t’avait donné un ultimatum : savoir au moins la première strophe et le refrain pour aujourd’hui. C’est bien exact ?
- Oui, monsieur Maxou, mais…
- Donc, nous allons vérifier ça tout de suite ! Et si tu ne fais aucune erreur, tu ne seras pas punie… Dis-donc, le martinet sous le coussin, ça fait désordre, tu ne trouves pas ? Redonne-le moi. »
L’étudiante récupère l’instrument et le tend au directeur qui le range dans son tiroir.
« Je le range, car nous n’en aurons pas besoin… »
Le visage de Léa s’éclaire pour quelques secondes… mais s’assombrit aussitôt lorsqu’elle voit Max sortir de sa poche sa fameuse Caressante, toute en cuir, seize lanières…
« Bien… Tu vas me réciter les parole de cette chanson… Et à chaque erreur, tu enlèves un vêtement.
- Hein ? Mais je vais vite me retrouver toute nue !
- Ben non, Léa ! D’abord, parce que j’espère que tu ne feras aucune erreur… Et ensuite, parce que tu seras autorisée à garder le minimum pour préserver ta pudeur.
- Donc, je pourrai garder ma culotte et mon sout…
- La cravate et les chaussettes ! C’est tout ce que tu pourras garder! Assez discuté, je t’écoute ! »
Bon … il est clair que Léa n’a fait aucun effort pour apprendre quoi que ce soit. Gentiment, Max passe sur quelques omissions, mais au bout d’une ½ strophe , l’étudiante n’a plus que sa cravate et ses chaussettes. Visiblement mal à l’aise, elle se dandine en tentant de masquer son intimité.
Max lui fait signe de se courber sur le bureau. Elle obéit. Il s’approche, pose délicatement sa main gauche sur le dos nu… un sifflement dans l’air… et un claquement lors de l’impact !
« Aïe !
- Alors Léa ? Comment trouves-tu ma Caressante ?
- Je trouve qu’elle fait mal, monsieur Maxou ! Aïe ! »
Impitoyablement, Max fouette les fesses de la malheureuse étudiante. Les coups s’accélèrent et s’intensifient. Elle gémit, demande pardon, promet qu’elle ne recommencera plus, qu’elle apprendra ses chansons par cœur… Les lanières laissent de belles traces de leur passage. Max s’arrête , tâte les fesses … juste tièdes. Alors il reprend de plus belle, au grand dam de Léa.
Quelques minutes plus tard, après avoir constaté une augmentation nette de la température, il range l’instrument dans sa poche.
« Tu peux te redresser, Léa.
- Ouille ouille ouille ! Vous m’avez mis le derrière dans un état. Ça brûle, monsieur Maxou ! proteste Léa en se frottant les fesses.
- Tu l’avais mérité, Léa ! Mais, comme je suis très attentionné, je vais essayer de t’arranger ça ! Va t’allonger sur le canapé. »
Max sort de son tiroir un tube d’arnica , vient s’asseoir près de son étudiante, et, très délicatement, lui masse les fesses avec la crème .
« Vous êtes gentil, monsieur Maxou. Merci beaucoup. Je peux me rhabiller maintenant ?
- Te rhabiller, Léa ? Pas tout de suite, tout de suite… La punition n’est pas tout à fait terminée.
- Oh non ! »
Il ouvre un tiroir et en sort un petit panneau de carton sur lequel est écrit « J’ai été punie au martinet pour avoir manqué de respect à M. Max. » Il le lui donne et lui ordonne d’aller au coin en tenant le panneau dans son dos. Elle obéit sans protester.
Elle entend un grincement.
« Euh… Qu’est-ce que vous faites, monsieur Maxou ?
- Je laisse la porte ouverte, Léa, pour que chacun sache ce qui l’attend en cas de manque de respect !
- Oh non ! S’il vous plaît !
- Rien de personnel, Léa. Ce n’est que de la pédagogie! »
La "caressante"
Que serait un institut sans du bon (que dis-je du bon ?) de l’excellent matériel pédagogique ?
Voici un nouvel outil, efficace, destiné à aider nos étudiants (et je pense particulièrement à nos étudiantes) à trouver la motivation pour apprendre et pour adopter une attitude respectueuse .
Avec la « caressante » (c’est le petit nom qu’il lui ont trouvé), l’attention et la concentration se développent, les bavardages diminuent, , les écarts de comportement s’estompent…
Très maniable, entièrement en cuir, elle s’accroche facilement à un clou, ne prend pas de place dans un tiroir ; elle peut même se ranger aisément dans la poche d’une veste ou dans un sac à main.
Une séance de découverte sera offerte à qui saura donner le nombre exact de lanières !