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Institut du Professeur Max
13 février 2017

La hotline de l'Institut

"Bonjour

J’ai installé sur mon disque dur les applications suivantes :

Bêtises 2.0

Insolence 1.7

Or, depuis cette installation, j’ai remarqué la présence d’un programme indésirable : Fessée 4.1 . S’agit-il d’un virus ? En tous cas, il se déclenche automatiquement dès que je lance une des applications sus-mentionnées.

Ce programme chamboule mon système, modifie les propriétés graphiques (les couleurs virent vers le rouge vif)  et provoque une surchauffe anormale à l’arrière de l’appareil.

Je me retrouve bloquée pendant plusieurs minutes, dans l’impossibilité d’exécuter la moindre commande. Jusqu’à présent, j’ai pu récupérer les fichiers endommagés à l’aide de l’outil Arnica 7.8, mais depuis, je n’ose plus trop lancer mes applications favorites

 

Pouvez-vous m'aider ? Existe-t-il un moyen de désinstaller Fessée 4.1?

Une étudiante perplexe"

cmptlv

 

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20 janvier 2017

Une partie de mon anatomie

Une petite mise au point…

Des rumeurs se propagent sur ce blog… Certaine commentatrice aurait vu mes fesses, une autre aurait entraperçu mon ventre …

Je conçois que mon anatomie puisse être un sujet passionnant, et, afin de mettre tout le monde d’accord, je vais en dévoiler ici même une partie !

C'est une partie qui vous touche beaucoup, chères commentatrices:

ma main droite !

Voici le côté pile :

Mainpile

Et voici le côté face :

MainfaceJ'espère que cette petite mise au point permettra de faire avancer le débat !

Encore une petite précision :

 

Sur la photo ci-dessus, il s'agit toujours de ma main droite, mais quant à cette jolie paire de fesses, je suis contraint d'avouer que je  n’en suis pas l’heureux propriétaire. Je ne possède qu’une banale paire de fesses masculines sans grand intérêt.

 

Celles de la photo sont d’une autre qualité !

 

Des fesses exceptionnelles, toutes en douceur, en tendresse, d’une texture ferme et délicate à la fois…

 

Des fesses de caractère, qui ne s’en laissent pas compter facilement, mais qui, à force de patience, de persévérance et d’opiniâtreté rosissent, tiédissent...

Des fesses de diablesse, certes, mais des fesses enchanteresses !

 

10 mai 2017

Dictée!

Voici une dictée facile !

J'espère qu'il n'y aura aucune faute!

Capture

Vous voudrez bien me remettre le texte de la dictée, de préférence manuscrite, en utilisant la commande "contacter l'auteur" en haut et à droite.

Vous pouvez bien entendu poster des commentaires (par exemple pour me remercier...) mais vous ne devrez pas y faire figurer le texte de la dictée!

Les productions seront publiées.

Pour commencer la dictée, veuillez cliquer sur le lien vidéo ci-dessous.

 

 

 

27 septembre 2017

Une fessée douce ...

L'Institut continue de rendre hommage aux grands noms de la chanson française.

Cette semaine, honneur à Henri Salvador, avec une version très légèrement remaniée d'un titre que tout le monde connaît : "Le loup, la biche et le chevalier"

Une fessée douce
Que me donnait mon amant
Sans trop de secousse
J’encaissais en m’endormant

UFDim
Cette fessée douce
Je la trouvais bien sympa
Mais un peu trop douce
Ça ne me suffisait pas!

Mes petites fesses sont aux abois
J’aimerais bien sentir les coups
Ouh ouh ouh ouh
Oui, savoir qu’on s’occupe de moi
Et ressentir un peu d’émoi
La, la, la, la

 

DSN020

Fais rougir mes fesses,
Qu’elles brûlent de mille feux !
Et pour les caresses,
Je peux bien attendre un peu


Une fessée douce
Que me donnait mon amant
Une fessée douce
Qui manque un peu de piment

14 mars 2018

Les sept péchés capiteux : la paresse.

Paresseuse
Par essence elle est paresseuse
C’est parce que la paresse
Ca lui rougit les fesses.
Quand on la fouette, elle est heureuse
C'est la plus heureuse des paresseuses

 

De toutes les lanières

Straprot


C'est la strap qu'elle préfère
Quand ça devient torride
Jamais ça n’la déçoit
C'est la strap
De toutes les lanières
C'est la strap qu'elle préfère
Sa douleur est jouissive
Oui cela va de soi
C'est la strap

 

Délicieuse
Et si voluptueuse
Elle en veut, elle balance
Son cul avec insolence
Elle veut de l’indécence
Et de la concupiscence

 

De toutes les lanières

gpfijpg


C'est la strap qu'elle préfère
Humide, elle est liquide
Lorsqu’elle la reçoit
C'est la strap
De toutes les lanières
C'est la strap qu'elle préfère
Lascive, elle est candide
Oui cela va de soi
C'est la…

Karaoké C'est la ouate - Caroline Loeb *

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17 avril 2018

Les sept péchés capiteux : l'avarice

Non, Max, te fatigue pas
Et arrête de claquer
Mes fesses pour des broutilles
Parce qu´une demi-chipie
Parce qu´une vraie gentille
T´a à peine charrié

Avce1


Non, Max, doucement les coups
Mais tu sais qu’tu m’fais mal
A me fesser comme ça
Moi, la plus sage des filles
Qui mérite un câlin
Des caresses de ta main

Non, Max, ne dépense pas
Ton énergie pour rien
La fessée ça revient
Très cher au bout du compte
J’ai déjà assez honte !

Avce2

 

Tiens donne moi donc trois coups
Pour solder cette histoire
Tu vois , je suis bonn’poire
Tiens : juste trois petits coups,
Par dessus le tissu
Je voudrais bien t’y voir !
Non ! pas de fessée cul nu !
Laisse donc ma culotte
Tout ça n’est pas ma faute
Tu me fais payer trop cher !
Et si t'es encore triste
On boira du jus d’pommes
Du bio, du vrai de vrai !
Allez, viens prendre un verre !
On oubliera tout ça
On sera bien tous les deux
T’auras pas mal au bras…
Comme quand c'était le temps
Que c’est moi qui t’fessais …

22 novembre 2020

Allocution présidentielle

Françaises, Français,

Mes chers compatriotes

Face à la situation sanitaire, je demande à ce que les gestes barrière deviennent la règle dans tous les secteurs, quoi qu’il en coûte !

Les établissements universitaires qui ne respecteraient pas la distanciation sociale seront fermés.

group

Le port du masque n’est pas et ne sera jamais plus une option, quoi qu’il en coûte !

Port masque

C’est pourquoi, je fais appel au sens civique de chacune et chacun d'entre nous.

Je veux vous dire ce soir, avec beaucoup de gravité et de détermination, que j’ai décidé de m’impliquer personnellement dans la répression des comportements irresponsables!

Allocution

Je ne transigerai sur rien.

Vive la République !

Vive la France

12 janvier 2020

Le bon vieux matériel pédagogique

La pédagogie moderne ne s’oppose pas à la pédagogie ancienne. Elle s’en inspire et tente de la perfectionner, de l’adapter, de l’universaliser.

Mais qu’en est-il du bon vieux matériel pédagogique ?

Pupitre en classe

Il n’est pas à jeter ! Bien au contraire !Ce qui a permis à nos ancêtres d’apprendre peut encore s’avérer bénéfique à l’heure des tablettes et du tout connecté.

Accroché

 

 

En fouillant dans les vieilles mallettes de l’institut, j’ai retrouvé le martinet qui a aidé les étudiant(e)s d’antan à entrer dans les apprentissages. Un bon coup de chiffon et le voilà tout prêt à se remettre au travail, accroché au mur dans mon bureau.

Pour l’instant, il n’a pas encore eu l’opportunité d’entrer en action, mais sa présence suscite des commentaires au sein de la communauté étudiante. D’aucuns l’auraient déjà surnommé le maxtinet…

La question principale est de savoir qui va l’étrenner. Il y a d’ores et déjà de sérieuses candidatures. Nul doute qu’elle seront examinées avec toute la rigueur qu’elles méritent.

11 mars 2020

Culgrenavirus...

Ce virus se répand à la vitesse grand V sur le territoire national.

L’Institut a donc décidé, comme à son habitude, de prendre les choses en main pour contrer la progression de la maladie.

culgrenavirus02

Il ne s’agit pas de renoncer, à ce stade, aux méthodes pédagogiques qui ont montré leur efficacité, mais pour le corps enseignant d’adopter quelques gestes simples :

  • Se laver les mains très régulièrement, et notamment après chaque fessée déculottée administrée aux étudiantes
  • Utiliser des martinets à usage unique.
  • Préférer fesser en extérieur plutot qu’en milieu confiné

Ces quelques mesures de bon sens permettront, n’en doutons pas, de continuer notre mission d’enseignement sans céder à la panique !

14 février 2020

La Saint-Valpopotin

La Saint-Valentin, fête des amoureux, puise ses origines dans la nuit des temps. Elle est aujourd'hui exploitée fébrilement par les professionnels du mercantilisme pour nous pousser à la consommation effrénée en ce jour du 14 février.

Coeur

Mais la Saint-Valpopotin, fête des amoureux fessouillards a lieu tous les jours de l'année : ça claque, ça crépite, ça feudartifice à tour de bras!

Fêtons-la sans retenue !

Saint-Val

14 octobre 2016

L'énigme des deux chemins

Vous êtes à une intersection, face à deux chemins possibles : l’un est parsemé de caresses, de bisous et autres délices, l’autre est parsemé de fessées déculottées, de mises au coin et autres sévices. Mais le problème est qu’a priori rien ne distingue ces deux chemins.

Vous savez aussi qu’aucun retour en arrière ne sera possible.

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A cette intersection, deux belles jeunes femmes se proposent pour vous renseigner… à une condition toutefois : vous ne pourrez poser qu’une seule et même question à ces deux charmantes créatures. Vous savez que l’une d’entre elle est candide et dit toujours la vérité, tandis que l’autre est une chipie qui ne fait rien que dire des mensonges.

Le seul petit souci, c’est que rien ne permet de distinguer la candide de la chipie.

Quelle question allez-vous poser ?

24 mai 2016

La dictée de Léa

D’un air dubitatif, Max considérait le dessin à la craie sur la tableau… La caricature en soi n’était pas bien méchante et il lui suffisait de l’effacer pour la faire disparaître.

Ce qui était plus inquiétant, c’était qu’on avait osé s’introduire dans son bureau pendant son absence pour lui faire cette blague. C’était une atteinte à son autorité, une provocation manifeste ! Il ne pouvait pas la laisser passer.

 

Trois coups frappés à sa porte le tirèrent de sa réflexion.

Léa était sur le seuil.

« Vous voulez me voir monsieur Maxou ?

- Oui Léa, entre. Je t’en prie. »

Dictéeléa01

 

L’étudiante se dandinait d’un pied sur l’autre, manifestement pas très à l’aise. Max s’assit sur son canapé en la fixant d’un air aimable. Léa n’était pas rassurée pour autant : quand Max s’asseyait sur son canapé, il y avait de fortes chances qu’on se retrouve rapidement allongée sur ses genoux.

« Il n’y a rien qui te choque, Léa ?

- Euh …

- Sur le tableau ?

- Aaaah ! Je n’avais pas vuuuuu… Je … oui, c’est choquant !

- N’est-ce pas ?

- Je me demande bien qui a osé vous dessiner comme ça !

- J’ai ma petite idée… En tout cas ce dessin est très amusant !

- Ah ? vous trouvez ?

- Oui, j’ai le sens de l’humour, Léa !

- Si vous le dites …

- Et puis c’est quasiment signé.

- Où ça ??

- Je sais qu’on m’affuble volontiers de moult sobriquets : Maxouille, Maxounet, Mad Max, etc… Mais il n’y en a qu’une qui m’appelle Maxou !

- Ah bon ! Qui donc, monsieur Maxou.. euh Max ?

- Je t’ai dit que j’avais le sens de l’humour ! Tu n’as rien à craindre : tu ne seras pas punie pour ce dessin.

- Je suis contente que vous le preniez ainsi, monsieur Maxou ! J’avoue… c’est bien moi qui vous ai dessiné.

- Non, c’est joli… Tu as des dispositions pour le dessin, Léa.. Tu en as moins pour l’orthographe ! Comment écris-tu le mot « beau » ?

- Oh ! J’ai oublié le E, je suis désolée, je vais rectifier ! répondit-elle en s’emparant d’une craie.

- Repose cette craie ! Je suis intransigeant sur ce point ! Tu seras donc sanctionnée.

- Mais, monsieur Maxou, c’est une faute d’inattention ! J’ai fait énormément de progrès, croyez-moi. Je suis capable de faire une dictée sans faute !

- Eh bien, nous allons vérifier ça tout de suite ! Et comme je suis d’un naturel indulgent, j’irai jusqu’à tolérer deux fautes.

- Vous êtes trop bon, monsieur Maxou. »

 

Max fit asseoir l’étudiante, lui donna une feuille et un stylo et lui dicta le texte suivant :

«  Bien que peu enclins à une exigence excessive, les professeurs s’accommodent mal d’un discours abscons ou d’une expression  ambiguë.

Après maints avertissements et une kyrielle de blâmes, ils peuvent être conduits à recourir à une sanction appropriée.

Pas d’échappatoire pour les fautives, qui , dûment déculottées, se verront infliger publiquement le martinet

Léa s’appliquait, mais apparemment, hésitait beaucoup sur certains mots. Max lui laissa du temps pour se relire et corriger les fautes éventuelles.

Elle finit par se lever et lui tendit sa feuille. Il s’empara de son stylo rouge et se mit à  entourer deci delà quelques passages du texte. Léa s’aperçut qu’il y avait largement plus de deux fautes.

« Elle est légèrement tordue, la dictée, monsieur Maxou !Il y a des mots trop difficiles ! Vous êtes pire que Bernard Pivot !

- Oh ! ça suffit Léa ! répondit Max en posant la feuille et le stylo à côté de lui. Tu as fait sept fautes. Tu vas donc recevoir une bonne fessée déculottée ! Viens ici ! »

 

La pauvre étudiante s’approcha et se retrouva couchée sur les genoux de Max. Sans hésitation, celui-ci retroussa la jupette et baissa la culotte pour faire apparaître le magnifique séant très provisoirement pâle…

Les claques s’abattirent en cadence. Petit à petit, les fesses prenaient de la couleur. Léa restait stoïque, les mains appuyées sur la feuille et le stylo que Max avait posés. Le joli postérieur était maintenant bien rouge. Max eut pitié d’elle et s’arrêta .

dictéeléa2

« Tu l’as bien méritée , celle-là, Léa ! Une bonne fessée cul nu, bien cuisante !

- Bien cuisante ? Ah bon ? J’ai même pas mal aux fesses, alors ! répliqua effrontément l’impudente.

- Ah oui ?? Attends, je vais arranger ça ! »

 

Max était piqué au vif. Il se mit à claquer avec une vigueur redoublée le derrière de Léa. Sûr que le bruit devait résonner dans tout l’institut ! La pauvre étudiante commençait à se tortiller. Ses fesses arboraient maintenant une teinte rouge vif, mais Max ne se laissait pas impressionner. Imperturbablement, il poursuivait sa besogne. Lorsqu’il commença à sentir que sa main était brûlante, il releva sa victime et l’envoya au coin. Il reprit son stylo rouge et ramassa la feuille qu’il posa machinalement sur son bureau. Quelque chose avait attiré son œil … mais quoi ?

 

Il reprit la feuille et l’examina attentivement : il avait écrit le nombre de fautes, et maintenant il voyait que le 7 avait été maquillé en un 0.

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Il se précipita pour ouvrir son deuxième tiroir et en sortit son martinet avec la ferme intention de s’en servir sur le champ , mais une douleur lui rappela que sa sciatique n’était pas tout à fait guérie.

Il posa l’instrument sur son bureau et appela l’étudiante :

« Tu peux te rhabiller et retourner en classe Léa. »

Elle obéit, remonta sa culotte sur ses fesses endolories et rajusta sa jupette. Elle dirigea vers la porte, mais Max la rappela :

« Tu reviendras me voir, ce soir quand tes fesses auront reblanchi… La falsification sur ta feuille fera l’objet d’un petit recadrage au martinet ! »

Elle se retourna, aperçut l’objet sur le bureau, fronça les sourcil, et tira la langue.

Et sans un mot, elle sortit…

14 mars 2015

L'Institut du Professeur Max

C'est un instititut accueillant des élèves majeurs (plus de 18 ans) désireux de perfectionner leurs connaissances et aptitudes dans tous les domaines d'enseignement général. L'institut est mixte, mais il accueille en priorité des filles, afin de leur permettre d'accroître leur bagage culturel dans un monde encore largement marqué par l'inégalité des sexes.

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17 mars 2015

Les outils du pédagogue

Ils sont multiples et chacun d’entre est plus ou moins adapté à l’élève et au domaine d’apprentissage . Un outil pédagogique, c’est simplement un support choisi dans le but d’aider ou d’accompagner un élève à comprendre, à apprendre ou à travailler...C’est donc un outil au service de ceux qui apprennent ou de ceux qui les aident à apprendre.

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17 mars 2015

L'internat

L’institut propose une modalité particulière de scolarisation pour certains élèves: l’internat.

Les élèves sont pris en charge sur la totalité de leur temps scolaire et personnel durant la semaine ; ils évoluent alors dans un cadre de vie collective avec ses règles strictes. L’internat est à la fois un lieu d’études et d’apprentissage, un lieu d’éducation, un lieu de vie en même temps que d’ouverture sur le monde.

Il s’adresse à des élèves qui ne disposent pas, dans leur quotidien,

du cadre nécessaire à leur épanouissement scolaire et personnel.

Lucie au lit

18 mars 2015

Didactique des mathématiques

L'étudiant, seul ou en groupe de deux cherche une solution à la situation qui lui pose problème. Lorsqu’il est confronté à un obstacle et ne peut répondre au problème , il est amené à choisir une stratégie, à la modifier en cas d'échec et en définitive à faire évoluer ses connaissances et à en construire de nouvelles. Le maître observe, analyse les procédures, se rend compte des difficultés. S'il peut lui arriver de donner une indication à un étudiant ou un groupe qui est complètement bloqué, il évite soigneusement de donner la réponse complète au problème posé. Par contre il fait en sorte de motiver l’étudiant et le groupe dans la recherche de la solution.

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19 mars 2015

L’enseignement des langues étrangères

L’apprentissage d’une langue ne se limite pas à l’acquisition du lexique, de la grammaire ou de la phonologie. Les aspects culturels sont tout aussi primordiaux et ne doivent pas être laissés de côté. C’est pourquoi nos étudiants sont confrontées aux méthodes pédagogiques et disciplinaires des pays dont ils étudient la langue.

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20 mars 2015

Géométrie...

En géométrie, les exigences de précision des tracés  sont fondamentales.

Pour construire un savoir solide et acquérir un comportement scientifique l'étudiant doit être confronté le plus souvent possible à des situations dans lesque lles il aura à faire preuve de rigueur.

L’approximation n’est pas de mise et ne saurait en aucun cas être tolérée.

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21 mars 2015

Gestion des troubles du comportement

Pour les étudiants présentant des troubles du comportement, il est souvent nécessaire qu’une explication orale précède les situations d’apprentissage.

Bien souvent, la sensation d’échec est générée par une incompréhension des attendus. La connaissance des enjeux va permettre à l’étudiant d’accepter plus facilement la situation proposée.

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5 avril 2015

Le statut de l'erreur

L’erreur est un indicateur des processus intellectuels en jeu lors d’un apprentissage. Cet apprentissage passe obligatoirement par des moments de difficultés face auxquels les étudiants doivent corriger leurs anciennes conceptions erronées. L’étudiant qui ne se serait pas assez investi, motivé et  qui n’aurait pas mis en œuvre toutes ses compétences devra être sanctionné lors d’une évaluation finale.

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7 avril 2015

Enseigner l’orthographe.

Il est primordial que nos étudiants s’expriment dans un registre de langue soutenu y compris et surtout à l’écrit. L’usage de l’écrit est aujourd’hui démultiplié et l’orthographe est plus que jamais un vecteur incontournable. Nos enseignants en sont conscients et veillent en permanence à la rigueur des textes rédigés par les étudiants. Les fautes sont systématiquement soulignées et font l’objet d’une correction particulièrement appuyée.

Séance d'orthographe

7 avril 2015

Les mésaventures de Violette

Monsieur Max poussa un soupir de soulagement. La rentrée s’était bien passée. Tous les étudiants inscrits étaient arrivés la veille au soir. Ils les avait accueillis avec le discours de bienvenue qu’il avait préparé. Il avait bien insisté sur le strict respect des règles et les sanctions encourues par ceux qui s’aviseraient de les enfreindre.

Dans quelques secondes, les cours allaient pouvoir commencer. Tous les étudiants avaient revêtu l’uniforme de l’Institut : chemise bleue turquoise, chaussettes et cravates rouges, jupe ou short bleu marine.

La sonnerie annonçant le début des cours se mit à retentir.

Il entendit frapper à la porte.

« Entrez. » annonça-t-il.

La silhouette de Madame N apparut sur le seuil.

«  Excusez-moi, Monsieur Max, mais nous avons un petit problème…

- Quel problème ? » demanda Max en fronçant les sourcils. Monsieur Max n’aimait pas les problèmes, parce que lorsqu’il y avait un problème, c’était à lui qu’il incombait de le régler.

«  Une étudiante s’est présentée en cours dans une tenue non conforme…

- Vous voulez dire qu’elle n’est pas en uniforme ?

- Oui, c’est ça, Monsieur Max.

- Donnez-lui un avertissement et acceptez-la exceptionnellement en cours. Elle ira se changer à la pause.

- Mais … c’est que …

- C’est que quoi, Madame N ?

- Je ne suis pas sûre qu’elle puisse aller en cours… elle est là… si vous voulez la voir…

- Bon. Faites-la entrer et laissez-nous, s’il vous plaît. Je m’en occupe. »

 Madame N s’inclina et disparut. Monsieur Max vit alors apparaître une jeune femme de petite taille aux cheveux auburn mi-longs. Elle portait de grosses lunettes, et, en dehors de ça, pas grand chose : une petite culotte violette et un soutien-gorge de la même couleur.

Max était abasourdi : en vingt-cinq ans de carrière, il n’avait jamais vu ça ! Des cravates oubliées, des chemises mal boutonnées, des chaussettes absentes, oui, ça s’était déjà produit ; mais des étudiantes se présentant en sous-vêtements, non !

«  Mademoiselle, vous allez immédiatement vous rhabiller et vous revenez me voir ensuite pour être sanctionnée ! »

La jeune femme ne bougea pas.

«  Vous entendez ce que je vous dis ? »

Pas de réponse. Elle le regardait avec ses grands yeux et agitait les mains comme si elle voulait lui faire signe.

« Quel est votre nom ? »

Elle fit non de la tête en montrant ses oreilles.

«  Ah ? Vous êtes sourde ? Vous devez être.. euh…  Violette ?… Vi-o-lette ? » répéta-t-il en articulant.

Le regard de la jeune femme s’éclaira ; elle fit oui de la tête.

Monsieur Max était perplexe. Il avait vu passer le dossier d’inscription de cette étudiante non-entendante. On lui avait assuré qu’elle serait capable de suivre les cours malgré son handicap.

Il lui fit signe de s’asseoir et lui tendit son bloc et son stylo. Violette obtempéra et se mit à écrire. Max se leva, fit le tour de son bureau et se mit à lire au fur et à mesure qu’elle écrivait.

« Je suis désolée, Monsieur le Directeur, de me présenter dans cette tenue. On m’a sali mon uniforme. »

Elle leva la tête et croisa son regard.

«  Sa-li ? » Articula Max

Elle se remit à écrire :

« Au petit déjeuner, on m’a renversé un grand bol de chocolat chaud sur mon chemisier et ma jupe. Je ne pouvais pas aller en cours avec des vêtements tachés et trempés. J’ai réclamé un autre uniforme, on me l’a refusé.

- Vous n’avez pas à ré-cla-mer Mademoiselle ! Vous êtes res-pon-sable de la pro-pre-té des vê-te-ments qui vous sont confiés !, s’indigna Max

- Ce n’est pas moi qui ai renversé le bol.

- Donnez-moi le nom de la personne. Elle sera punie… pu-nie !

- Je ne suis pas du genre à dénoncer mes camarades !

- Quoi qu’il en soit, je ne peux en aucun cas tolérer ce genre de tenue en classe ! »

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Elle le regardait comme si elle cherchait à comprendre. Elle se remit à écrire frénétiquement.

« De plus, je dois dire que le petit déjeuner n’est pas à la hauteur de la réputation de votre établissement : le chocolat est industriel et les croissants ne sont pas très frais ! »

Là, il faut reconnaître que Monsieur Max commença à perdre patience. C’était la première fois qu’on osait lui tenir tête avec un tel aplomb !

« Ca suffit ! cria-t-il, je vais vous faire passer votre insolence. Vous allez comprendre ce qu’il en coûte d’enfreindre les règles de l’Institut. Levez-vous !

- …

- De-bout !!! »

Violette se leva de sa chaise et brusquement se retrouva courbée sous le bras gauche du directeur. Elle sentit l’élastique de sa culotte tiré vers le bas, et la main ferme de Max qui lui claquait vigoureusement les fesses. Elle était interloquée. Elle s’attendait certes à être sanctionnée ; elle avait bien conscience qu’elle avait été très loin dans la provocation, mais elle s’était imaginée qu’elle aurait pu gagner l’indulgence de cet homme, qu’il aurait été sensible à la fois à son handicap et à sa beauté.

Les claques résonnaient dans le bureau, mais elle ne pouvait pas les entendre. Par contre, elle les sentait ! Monsieur Max n’y allait pas de main morte, et la douleur était plutôt cuisante.

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Au bout de trois minutes, elle sentit que l’élastique de sa culotte était remonté. Max la lâcha et retourna s’asseoir à son bureau. Elle avait le visage empourpré et le regardait à travers ses grosses lunettes d’un air de reproche. Max se saisit du bloc et écrivit.

« Retournez au dortoir, on va vous donner un uniforme neuf pour aller en cours. Quant au petit déjeuner, je vais donner les instructions nécessaires pour qu’il soit amélioré. »

Il lui présenta le texte ; elle en prit connaissance et son visage s’illumina.

« Mer-ci ! » réussit-elle à articuler avec un vague sourire.

Elle tourna les talons et sortit.

11 avril 2015

La cas de Dorothée

« Monsieur Max ? Vous voulez me voir ?

- Oui, Dorothée, entre et assieds-toi »

Dorothée était une petite brunette, mignonne, avec une mèche rouge sur le devant. Elle ne semblait pas du tout impressionnée, et s’assit en croisant effrontément les jambes.

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«  Je suppose que tu sais pourquoi je t’ai convoquée ?

- Pas du tout.

- Une altercation… dans le vestiaire… avec Margot.

- Ah ! Elle ! Elle m’a cherchée.

- Elle se plaint d’avoir été insultée.

- C’est elle qui insulte ! Elle passe son temps à dire des gros mots.

- Selon ses affirmations, tu l’aurais traitée de grosse.

- Bah… Elle est tout le temps en train de se plaindre. Elle me gonfle. Elle dit qu’elle est une grosse merde. Alors, oui, je lui ai dit : t’es une grosse merde. Voilà : elle avait qu’à pas me chercher.

- Dans mon institut , personne ne peut se permettre d’insulter qui que ce soit, tu le sais.

- Ha ha ha… Vous me faites rire !

- Rire ? On va voir ça ! Je ne suis pas satisfait de ton comportement : bavardages incessants, retards en cours, insolence envers les enseignants, tags désobligeants sur les murs… la liste est longue ! »

Max se leva , posa soigneusement sa veste sur le dossier de sa chaise et alla s’installer sur le canapé.

«  Tu mérites une solide correction.

- Eh bien, allez-y, Monsieur Max, corrigez-moi donc ! »

Dorothée se leva et alla se coucher sur les genoux de Max, sans oublier de remonter sa jupe, dévoilant une ravissante culotte bleue clair.

Max aurait pu se passer d’autorisation. Mais l’aplomb qu’elle manifestait contribua à doper sa vigueur, et il se mit à claquer fortement de sa large main le fessier à peine couvert de la jeune femme. Dorothée ne protestait pas, ne gémissait pas, elle endurait patiemment sa punition.

Elle avait les yeux fermés et semblait même arborer un vague sourire.

« J’ai l’impression que cette punition n’est pas assez sévère, déclara Max.

- Je m’endors un peu, en fait, répondit Dorothée .

- Je vais te réveiller, moi, tu vas voir ! »

Max, saisit la légère culotte et la fit glisser à mi-cuisses. Les petites fesses de la jeune femme apparurent, roses vif et semblant tout aussi effrontées que leur propriétaire !

Dorothée02

 

Alors Max s’en donna à cœur joie : sa main se mit à rebondir sur ce magnifique postérieur à une cadence infernale ! Les claques résonnaient dans la pièce et nul doute que le bruit devait s’entendre dans tout l’institut. Dorothée ne disait toujours rien, mais elle commençait à se tortiller et à esquisser quelques mimiques de douleur. Le petit derrière était maintenant rouge vif et bien brûlant.

Max était essoufflé., son bras engourdi et sa main en feu.

« C’est bon. Je pense que tu as eu ta dose, cette fois-ci, non ?

- Oui, je crois, Monsieur Max, répondit-elle en se rhabillant. Vous m’avez bien corrigée, j’en avais besoin. »

Elle se leva et le regarda droit dans les yeux et dit :

«  Merci ! Et… à bientôt ! »

Puis elle sortit du bureau avec la même assurance que lorsqu’elle était entrée, laissant Max perplexe.

26 avril 2015

Les souvenirs de Justine

Toc toc toc …

Quelques coups frappés à la porte.

« Entrez ! » invita Max.

La jeune femme  qui s’introduisit dans le bureau directorial était belle, grande et rousse. Ses yeux gris clairs reflétaient à la fois de la douceur et de la détermination. Le nez et les joues étaient parsemées de discrètes taches de rousseur.

« Bonjour Justine, dit Max en lui désignant un siège, que puis-je pour toi ?

- Bonjour Professeur, je voudrais revenir sur l’incident d’hier soir.

- Si tu le souhaites… Pour moi l’incident est clos.

- C’est à dire que … Comment vous dire ? Mes souvenirs sont un peu embrouillés…

- Je vois.

- Je me suis réveillée ce matin avec des douleurs diverses : un gros mal de crâne , la bouche pâteuse …

- C’est tout ?

- Non : j’ai les fesses marquées de zébrures rosâtres et assez cuisantes…

- Oui… et tu n’as pas la moindre idée de ce qui a pu se passer ?

- J’ai quelques images qui m’arrivent en tête : du verre cassé par terre, vous avec un martinet à la main, un mégot mouillé…mais je n’arrive pas à faire le lien…

- Bien… je vais donc te rafraîchir la mémoire ! »

Et Max entreprit de lui raconter ce qui s’était passé la veille au soir.

 

Aux alentours de 19h30, il avait été alerté par une étudiante : quelqu’un aurait introduit des cigarettes et du vin dans le dortoir. Sur ce plan, le règlement de l’institut est formel : il est strictement interdit de fumer et de consommer de l’alcool à l’intérieur sous peine de sanctions lourdes. Max s’était donc dirigé immédiatement vers le lieu du délit sans oublier de se munir au préalable de son vieux martinet (cet instrument s’était déjà avéré utile dans ce genre de situation)…

Lorsqu’il entra dans le dortoir, il fut saisi par l’odeur de tabac. Il y avait trois filles dans la chambrée. Les deux autres, debout, à l’extrémité de la pièce avaient leurs regards braqués sur Justine : assise sur son lit, elle tenait dans la même main une bouteille à moitié vide et une cigarette allumée. Elle dodelinait et parlait à très haute voix :

Justine 01

« Eh, vous voulez pas boire un coup ? Vous êtes sûres ? Et hop ! Un petit coup à la santé du vieux Max !

- Justine, ça suffit ! » cria Max.

Son appel la fit sursauter, et ce faisant,  elle lâcha la bouteille et le mégot. La bouteille, au contact du carrelage, éclata en morceaux, répandant du verre cassé et du vin sur le sol, le mégot s’éteignit par bonheur au contact du liquide.

Max considérait le désastre avec stupéfaction :

« Un Haut-Brion 1998… ce n’est pas possible !

- Tiens ! Voilà le professeur Max ! s’écria Justine. Eh bonjour Professeur… bonsoir plutôt… parce qu’on est le soir, là, voyez…

- Mais… tu es complètement ivre, ma parole !

- Oh ! Qu’est-ce que vous avez à la main ? … C’est pour moi, ce gros martinet ? Je sens que ça va être la fête à mes petites fesses, là, non ? »

Et elle éclata de rire.

Max était très en colère. Il regardait alternativement le carrelage souillé et Justine qui était secouée d’un rire convulsif. Il l’attrapa par les épaules et la secoua :

« Tu te rends comte de ce que tu as fait ? Tu as déjà été renvoyée  d’un autre établissement où tu avais failli provoquer un incendie avec un mégot mal éteint ! »

Justine s’arrêta brusquement de rire, et se redressa en chancelant.

« Vous avez raison, professeur, je suis une mauvaise fille. Punissez-moi ! »

Justine 03

Des deux mains , elle retroussa sa jupe et se pencha en avant pour s’appuyer sur son lit. Puis elle se redressa à nouveau…

« Mille excuses ! J’ai oublié de baisser ma culotte… je suis vraiment distraite en ce moment ! »

Elle fit glisser la petite culotte jusqu’aux mollets et reprit sa position, offrant le spectacle de son petit derrière à la vue de tous.

Max était impressionné par l’audace de la jeune femme, mais il lui en voulait terriblement. Pas seulement parce qu’elle avait enfreint le règlement, pas seulement parce qu’elle avait sali le carrelage, mais surtout parce qu’elle avait gâché une excellente bouteille , qui , il le savait, provenait de sa réserve personnelle, et qu’il se promettait d’ouvrir lors d’une grande occasion. Il n’hésita pas longtemps. Son bras, armé du martinet , se mit en action, et les lanières s’abattirent vivement sur les fesses offertes…

Il régnait un silence glacial dans la chambrée… on aurait pu entendre voler une mouche. De toute façon, il n’y avait pas de mouche. Les seules choses qui volaient, c’étaient les lanières du martinet. On entendait distinctement le sifflement de leur trajet dans l’air, suivi du claquement lors de l’impact sur la peau, puis le gémissement qui s’échappait de la bouche de Justine. Ses petites fesses s’ornaient maintenant de traces rougeâtres qui débordaient par endroits sur les cuisses.

Combien de temps dura cette punition ? nul n’aurait pu le dire : ni Max , aveuglé par sa colère, ni Justine embrumée par le vin, ni les deux spectatrices, tétanisées par la scène.

Lorsque Max s’arrêta, les fesses de Justine étaient d’un rouge bien vif. Elle se redressa et tourna ses beaux yeux vers Max :

« Je vais au coin, maintenant, Professeur ?

- Non ! Tu ne tiendrais pas debout ! Tu peux te coucher directement. Quant à vous, dit Max en se tournant vers les deux spectatrices, Je vous tiens pour responsables en partie de ce qui s’est passé : vos auriez dû l’empêcher de faire ce qu’elle a fait ; vous serez donc punies ! »

 Les deux jeunes femmes reculèrent en montrant des signes de frayeurs.

« Votre punition sera de nettoyer tout ça, immédiatement, et soigneusement ! Si jamais je retrouve le moindre petit morceau de verre, gare à vos fesses ! » ajouta-t-il en brandissant le martinet. Puis il sortit, au grand soulagement de toutes.

 

« Voilà, Justine, ce qui s’est passé hier soir, mais comme je te l’ai dit, tu as été punie, donc pour moi, l’incident est clos.

- Pas pour moi, rétorqua la jeune femme. Vous m’avez déculottée et fouettée devant tout le monde. C’est très humiliant, et j’exige réparation !

- Réparation ! s’exclama Max, mais c’est une plaisanterie, j’espère !

- Pas du tout, répondit Justine en le regardant droit dans les yeux, j’ai encore des marques et je pourrais porter plainte. »

Elle remonta sa jupe et montra quelques traces roses qui dépassaient de sa culotte.

« Et ce n’est pas le pire. Vous voulez voir mes fesses ?

- Non merci, ça ira… mais tu ne crois pas que ça serait plutôt à moi de porter plainte ? Tu m’as volé une bouteille de Haut-Brion 1998 millésimé, tu sais combien ça coûte ?

- Très cher, je vous l’accorde, Professeur… Mais vous avez des preuves ? Il ne reste, au dortoir, aucune trace de cette bouteille, grâce à mes camarades qui ont nettoyé à fond. Tandis que vous, vous avez laissé des jolies traces de votre forfait !

- Quel toupet !

- De plus, c’est votre faute si la bouteille s’est cassée. Si vous ne m’aviez pas fait sursauter, je ne l’aurais pas lâchée et on aurait évité tous ces dégâts ! Donc j’estime que vous me devez bien un petit quelque chose.

- Mais c’est du chantage que du fais, là, Justine !

- Professeur !  Pour qui me prenez-vous ? Je ne réclame pas d’argent ! Ce n’est pas mon genre.

- Alors, que veux-tu ?

- Eh bien, j’ai vu que vous aviez une deuxième bouteille dans votre cave. Je crois que si vous m’invitiez à la partager avec vous, disons … ce soir, je finirais bien par vous pardonner. Je vous laisse réfléchir… A ce soir ! »

Et elle sortit du bureau, laissant Max interloqué.

27 mai 2015

Angéla et les majuscules (première partie)

« Vous m’avez fait demander, Monsieur Max ? »

La jeune femme qui se tenait à l’entrée du bureau avait une belle tignasse rousse, des formes généreuses et portait de grosses lunettes.

« Oui Angéla !  Tu peux entrer. »

Elle fit quelques pas en direction de la chaise.

« Non, inutile de t’asseoir, je n’en ai que pour quelques secondes. Tu as une punition à me remettre, je crois?

- Vous me surprenez, quelle punition ? Jamais eu de punition moi, je suis sage comme une image ! Je suis sûre que vous devez vous tromper… vous confondez  avec une autre élève, c’est pas possible !

- Tst tst... Angéla ! Ne joue pas à ça avec moi ! Cette punition t’a été donnée par ton professeur de Français.

- Monsieur Roncheux ?

- Oui : trente fois Je dois mettre des majuscules en début de phrase.

- Ah ! Les majuscules ! Mais c’est démodé, ça !

- Non, Angéla ! L’orthographe n’est pas une question de mode ! Elle est intemporelle ! Je suis d’autant plus déçu que je connais ton potentiel : tu as fait un sans faute à la dernière dictée. Mais quand j’ai vu ta rédaction !  pas une seule majuscule, plus d’autres fautes sur lesquelles je ne reviendrai pas… je suis tombé de haut ! »

Angéla commençait à s’agiter

«  De toute façon, ce prof, c’est un casse-pieds ! il adore embêter les élèves !

- Assez, Angéla ! Tiens-toi droite ! Les mains sur la tête ! »

Angéla

Angéla se tut et obéit.

« Je constate donc que tu ne m'as pas remis la punition que tu devais faire pour aujourd’hui. De plus, tu te permets de critiquer un enseignant consciencieux qui n'a comme seule ambition que de donner un peu d'instruction à ses élèves! J'en suis profondément navré, et je me vois contraint, à mon grand regret de t'infliger une sanction plus lourde. En conséquence, tu devras effectuer une heure de retenue, dans mon bureau et en ma présence, mercredi prochain. Nous profiterons de cette heure pour travailler l'orthographe. J'attends de toi un comportement respectueux et un travail sérieux. En cas de mauvaise volonté caractérisée , le recours au châtiment corporel n'est pas exclu. Te voilà prévenue.

- Des menaces maintenant! Décidément, j’aurai tout entendu !

- Attention, Angéla ! Ton insolence pourrait te valoir une fessée tout de suite !

- …

- A mercredi, donc ! Et sois ponctuelle!”

La jeune femme tourna les talons et sortit du bureau d’un air pincé.

 

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