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Institut du Professeur Max
28 avril 2019

Marielle

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Monsieur de Sainte-Colombe a emporté sa viole de Gambe ;

Le marquis de Pontcallec ne conspirera plus contre le Régent…

Ils resteront dans nos mémoires sous les traits inoubliables de leur interprète à la voix chaude et grave, tout comme le producteur Morlock et d’autres personnages hauts en couleurs …

Mais ça fait quand même un grand vide ! Oh nom de dieu de bordel de merde !

Pas facile de garder …

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18 juin 2019

Son derrière, ses hanches

NJLe désir revient déjà
Dans ses yeux illuminés
Je l’étends sur mes genoux
Elle n’est pas très étonnée
Je fais glisser ses dessous
J'ai envie de colorer
Cette chair joliment blanche
Je vois son derrière, ses hanches
Et je sais bien où ma main va tomber

Et lorsque je claque enfin

De façon immodérée

Son merveilleux popotin

Qui se met à gigoter

Je vois bien qu’elle avait faim

Et qu’il lui faut déguster

La chaleur de cette séance

Je vois son derrière, ses hanches

Trémousser lorsque ma main est tombée

 

Pif, paf, un plaisir de goumet !

Vous l’avez deviné…

Pif paf , elle l’avouera jamais :

Elle aime la fessée, fessée…

eddy

Karaoke Tino - Eddy Mitchell - La dernière séance

19 août 2019

Discours de rentrée

C’est la rentrée…

Max doit faire un petit discours pour accueillir les nouvelles étudiantes. Oui, mais voilà, il est en panne d’inspiration ! Il a l’esprit ailleurs (Dieu sait où …) et il n’arrive pas à se concentrer .

Dans ces cas-là, un bon vieux single malt peut lui venir en aide…

Malheureusement après un premier verre, les mots ne viennent toujours pas.

Qu’à cela ne tienne ! Un deuxième verre puis un troisième sont appelés à la rescousse !

Toujours rien … Et il va falloir y aller !

Tant pis. Après tout, rien ne vaut un bon discours improvisé.

Max discours

« Mesdemoiselles

Vous avez été admises dans cet établissement car vous disposez d’un bon popotin…d’un bon potentiel.

Lors des travaux de croupe…. de groupe, vous aurez l’occasion de montrer votre cu…riosité.

N’ayez pas peur de vous tromper, nous sommes là pour vous déculo…vous  déculpabiliser.

Ce qui est en jeu, c’est  le casting de votre derrière… pardon, je voulais dire le destin de votre carrière. Il y a plusieurs lanières… plusieurs manières de le prendre en main.

En tant que proviseur, ce que je fesse … en tant que professeur , ce que je vise, c’est l’excellence !

Alors, je ne vous fouette pas les seins… non c'est pas ça... je ne vous souhaite pas les fins d’année qui chantent, mais je sais... je sais que vous allez toutes nous présenter le meilleur de vous-mêmes.

Et maintenant, il convient de vous fesser l’été… de vous laisser fêter ce début d’année autour d’un martinet… martini frappé, et je porte un toast à votre raie… à votre réussite ! »

7 février 2021

La Chandeleur

La Chandeleur est célébrée par les profanes comme le « jour des crêpes » : la tradition en est attribuée au pape Geclaque Ier, qui faisait distribuer des crêpes aux pèlerines arrivant à Rome, mais on peut y voir aussi la coutume des Vestales, qui lors des Lupercales faisaient l'offrande de gâteaux préparés avec le blé de l'an et qui se faisaient sauter avec une pièce d’or dans la main. À l'occasion de la Chandeleur, toutes les bougies de la maison étaient fièrement dressées.

Chandeleur1

Chandeleur2

Chandeleur3

On dit aussi que les crêpes, par leur forme ronde et dorée, rappellent le disque lunaire, évoquant le retour du printemps après l’hiver sombre et froid.

11 août 2020

Le stand up paddle

Voilà une activité sportive estivale à laquelle on peut s’adonner sans se priver !

Le stand up paddle est un sport complet, convivial qui permet, de surcroît, de faire le plein de sensations ! Il fait travailler les biceps et les abdo fessiers.

SUP

Il nourrit à la fois l’équilibre physique et l’équilibre psychologique.

Ecologique, il permet de retrouver nos connexions avec la nature.

Alors, n’attendons pas ! A nos paddles !

Stand up paddledim

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15 mai 2019

Démenti

Stop !

Face aux rumeurs et aux allégations, je me vois dans l’obligation d’opposer un démenti formel afin de rassurer mes étudiantes :

 NON, JE NE SOUFFRE PAS D’ARTHROSE !

Je vais très bien, merci.

Bvdab

Contrairement à ce que croyait la jeune M.A., je peux aisément manier le bras dans mes activités pédagogiques.

MA

Dernière minute : Mlle M.A. nous prie de diffuser le communiqué suivant:

Démenti

1 mai 2015

Les frasques de Lisette la petite peste

Lisette baillait. Elle n’aimait pas du tout ce cours de SVT du vendredi après-midi. Ça la déprimait d’autant plus qu’ayant appris que le professeur était malade, elle s’était imaginée que le cours allait être supprimé… Eh bien non ! Il avait fallu que Monsieur Max décide de faire le cours lui-même ! Lisette trouvait Max beaucoup trop sérieux avec son front dégarni et ses lunettes rondes !

En plus, cette leçon sur le squelette humain était d’un ennui mortel… Mais elle savait quoi faire dans ce genre de situation. Elle attrapa discrètement sa console DS et entreprit de reprendre sa partie de « Funny Bones ».

Lisette 01 avec décor

Ah ! Déjà, elle se sentait mieux, elle allait bientôt passer au niveau 6. Ses doigts effleuraient les touches à toute vitesse…

« C’est à toi que je parle, Lisette ! »

Elle sursauta et leva la tête. Max la regardait et semblait attendre une réponse.

« Oh pardon ! Je … c’était quoi, la question ?

- Le gros os du bassin tout en bas de la colonne vertébrale… Comment s’appelle-t-il ?

- Tout en bas ?

- Oui.

- Euh… je l’ai sur le bout de la langue.

- Non, ça m’étonnerait que tu l’aies à cet endroit-là ! »

La saillie de Max provoqua un éclat de rire général… à l’exception de Lisette qui était très mal à l’aise.

« Alors Lisette, comment s’appelle cet os ?

- Il s’appelle… il s’appelle … euh … l’os du cul ! Voilà. »

Un nouvel éclat de rire secoua la classe. Max s’approcha de la table.

« Je vois : mademoiselle Lisette joue à la Game Boy pendant les cours !

- Non… je vais vous expliquer…

- Je n’ai pas de temps à perdre à écouter tes explications. »

Il se saisit de la console et repartit vers son bureau.

« Eh Monsieur Max ! je veux ma DS ! 

- Elle est confisquée, Lisette.

- Rendez-la moi !

- Ah ça suffit maintenant ! Tu me copieras cent cinquante fois : je ne dois pas jouer à la Game Boy pendant les cours.

- Mais…

- Et estime-toi heureuse que je ne te donne pas une fessée devant tout le monde ! »

Lisette prit la feuille que Max lui tendait tout en marmonnant :

« D’abord, c’est pas une Game Boy, c’est une DS ! 

- C’est ça ! Tu ferais mieux de te souvenir du nom des os… mais apparemment ton crâne est aussi vide que celui de ce squelette ! » 

Cette dernière remarque provoqua deux réactions bien distinctes : des larmes dans les yeux de Lisette, et un éclat de rire chez tous les autres étudiants.

Lorsque, quelques minutes plus tard, la sonnerie indiquant la fin du cours retentit , Max rangea ses lunettes dans leur étui et invita chacun à sortir dans le couloir. Lisette voulait récupérer sa console, mais elle ne souhaitait pas s’humilier davantage en allant la quémander auprès de Max. De toute façon, il sortit rapidement de classe sans même lui adresser un regard. Elle s’apprêtait à quitter la salle, elle aussi, quand elle aperçut sur le bureau professoral , à moitié caché par une pile de manuels, quelque chose qui la fit s’arrêter sur place :

Oui.. sa DS… Apparemment, Max l’avait laissée traîner là ; elle allait pouvoir la récupérer !

« Alors, tu viens, Lisette ?  lui lança Margot

- J’arrive, je vérifie un truc et je vous rejoins ! »

En quelque secondes, la salle fut vide, et Lisette se retrouva seule.

Arborant un sourire radieux, elle se dirigea vers le bureau, avança la main, et saisit … l’étui à lunettes de Max !

Son sourire s’éteignit aussitôt ! Elle se mit à fouiller frénétiquement le bureau, en poussant sans ménagement les livres qui se retrouvèrent par terre. Elle ouvrit les tiroirs un à un, les laissant béants., fit trois fois le tour de la salle inspectant les tables, mais las ! pas de DS en vue !

Lisette n’était pas surnommée « le petite peste » pour rien !

Elle entra dans une colère noire et décida de se venger…

Elle sortit son tube de rouge à lèvres et dessina en gros la tête de Max sur le tableau. Puis elle se retourna et s’attaqua au squelette , et notamment le fameux « os du cul ».

Contemplant son œuvre, elle éclata de rire et déclara à haute voix :

« Eh squelette ! J’ai peut-être le crâne aussi vide que toi, mais mon cul est moins rouge !

- Pas pour longtemps ! »

Pendant une fraction de seconde, elle crut que c’était le squelette qui lui répondait… Mais la voix venait de derrière elle. Elle sursauta, se retourna, et se retrouva… face à Max.

Là, il faut bien le reconnaître, la petite peste perdit contenance et resta sans voix.

« Désolé, j’avais oublié mes lunettes, dit Max en récupérant et chaussant ce qui lui manquait, très jolie cette décoration ! Une œuvre d’art ! Tu es douée, Lisette ! »

Max ne riait pas du tout. Il ne criait pas non plus, mais sa colère se lisait dans ses yeux.

Elle cherchait vainement quelque chose à dire, mais ne trouvait rien…

Et soudain, elle sentit que Max l’avait attrapée fermement et qu’il la courbait sous son bras. Elle n’eut pas trop le temps de se demander ce qui allait se passer : les claques vigoureuses s’abattaient sur ses fesses à peine protégées par la jupette qui les couvrait. Elle se disait qu’elle aurait peut-être dû opter ce matin pour une bonne culotte en coton plutôt qu’un string, ça aurait sans doute un peu amorti le choc. Mais elle n’avait pas prévu cette fessée. Elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir : Max n’aurait pas le plaisir de l’humilier davantage, elle resterait stoïque, jusqu’au bout… Il faudrait bien qu’il arrête à un moment, non ?

Lisette02 avec tag

Mais ce moment semblait tarder à arriver, quoique … Elle crut que c’était fini et se préparait à se redresser… mais non ! Pas du tout ! Max s’était juste interrompu pour lui retrousser la jupe.

Elle s’apprêtait à protester, mais les claques étaient maintenant encore plus cinglantes directement sur la peau et elle sentait que, si elle ouvrait la bouche, elle ne pourrait s’empêcher de crier.

Elle avait l’impression que ses fesses étaient en feu ; mais quand donc allait-il s’arrêter ? C’était bon, là ! Elle était assez punie… Bon, elle se disait aussi qu’elle avait peut-être été un peu loin… les tags au rouge à lèvres, elle n’aurait peut-être pas dû… Mais la douleur commençait à devenir insoutenable, elle n’allait plus pouvoir rester silencieuse très longtemps !

Et puis plus rien … Max l’avait lâchée. Elle se redressa, se rajusta, se retourna pour essuyer discrètement ses larmes.

« Bon, et maintenant, tu vas me nettoyer tout ça, bien sûr : le tableau, l’os du cul …

- Le sacrum, vous voulez dire ? »

Max s’arrêta, et pour la première fois, la regarda vraiment, sans masquer sa surprise.

«  Tu le savais ?

- Bien sûr ! Je connais le nom de tous les os du corps humain, moi ! Mon crâne n’est pas aussi vide que celui du squelette, finalement.

- Tu as raison. Je n’aurais pas dû dire cela. J’ai eu tort. Je te présente mes excuses. Mais comment sais-tu tout ça ?

- Grâce à Funny Bones.

- Grâce à quoi ?

- Funny Bones. C’est le jeu qui est sur ma DS. Il s’agit de reconstituer un squelette complet avec un tas d’os en vrac, le plus rapidement possible. Je peux vous montrer, si vous voulez. »

Max mit la main dans la poche de sa veste, en sortit la console et la rendit à Lisette.

Elle s’assit , alluma l’appareil, et fit signe à Max de venir la rejoindre.

Une heure plus tard, Max avait atteint le niveau un .

 

9 juillet 2015

Littérature (théâtre) : Cyrannette de Bergerac

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"

La marquise :

Personne ne va donc lui répondre ? 

Le marquis :

                                                                Personne ?

Attendez ! Je vais lui lancer un de ces traits !

Il s’avance vers Cyranette qui l’observe, et se campant devant elle d’un air fat :

Vous…vous avez un cul…heu…un cul…très gros.

Cyrannette, gravement

                                                                                          Très.

Le marquis , riant

Ha !

Cyrannette, imperturbable

         C’est tout ?...

Le marquis

                                  Mais….

 

Cyrannette

Ah ! Non ! C'est un peu court, monsieur !
On pouvait dire... beaucoup de choses mon Dieu...
En variant le ton, —par exemple, bien vu :
Agressif : « madame, si j'avais un tel cul,
Je serais sûrement une grosse pétasse ! »
Amical : « oui mais il ne manque pas de grâce :
Il est digne de figurer sur un album ! »
Descriptif : « c'est une balle ! ... une sphére... un dôme !
Que dis-je, c'est un dôme ? ... c'est un vrai monticule ! »
Curieux : « croyez-vous qu’il en sortira des bulles ?
Si par hasard quelqu’un voulait souffler dedans ? »
Gracieux : « aimez-vous tant les moulins à vent
Que maternellement vous vous préoccupâtes
D’offrir ce soufflet à leurs ailes délicates ? »
Truculent : « ça, madame, quand vous pétez,
Les vapeurs d’en bas vous montent-elles au nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « gardez-vous, votre corps entraîné
Par ce poids, de tomber par terre sur le sol ! »
Tendre : « mettez-le sous un petit parasol
De peur que sa douceur au soleil ne se tane ! »
Pédant : « l'animal, Madame, qu'Aristophane
Appelle hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous le dos tant de chair sur peu d'os ! »
Cavalier : « quoi, l'amie, ce siège est à la mode ?
Pour s’asseoir sur deux chaises, c'est vraiment commode ! »
Emphatique : « aucun vent ne peut, cul magistral,
Etre produit par toi, excepté le mistral ! »
 Respectueux : « souffrez, Dame, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir un beau joufflu ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un cul ? Nanain !
C'est queuqu'melon géant ou queuqu'potiron nain ! »
Militaire : « une bombe ! Tous aux abris ! »
Pratique : « voulez-vous le mettre en loterie ?
Sûrement, madame, ce sera le gros lot ! »
Finalement parodiant Sade en un sanglot :
« Le voilà donc ce cul qui du corps de sa maîtresse
A changé l'harmonie ! Il faut donc qu’on le fesse ! »
—Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : con !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, un soupçon d’invention
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve."

 

Edmond Rouston, Cyrannette de Bergerac, 1897, acte I scène 4

 

 

1)    Combien de tons différents Cyrannette utilise-t-elle pour qualifier son propre postérieur ?

2)   Pourquoi se moque-t-elle elle-même de son derrière ? Quel est l’effet recherché ?

3)   Qu’apprend-on du caractère de Cyrannette grâce à cette scène ?

4)   Relevez une gradation, une métaphore, une emphase, une hyperbole

5)   Il s’agit d’une scène d’exposition : quel est le contexte de la pièce ? Quelle en sera l’intrigue ? Résumez la pièce en 10 lignes.

6)   Ecriture : introduisez dans la tirade de Cyrannette une didascalie à chaque changement de ton (gestes, mimiques, déplacements, voix…)

 

15 juillet 2015

Dure journée pour Max!

Il y a des matins comme ça où il vaudrait mieux ne pas se lever, dit le dicton populaire . Pourquoi tous les ennuis se donnent-ils rendez-vous au même moment ?

Ouverture du courrier : ça commence par une lettre d’insulte :

« Tu nous casses les couilles, vieux frustré, avec ton institut de merde … » Max ne prend pas la peine de lire la suite et jette le tout à la corbeille.

Deux minutes plus tard, irruption du professeur de lettres.

« Monsieur le directeur, ce n’est plus possible !

- Qu’y a-t-il, Monsieur Roncheux ?

- Les élèves sont insupportables, insolentes, effrontées, impudentes, irrespectueuses, impertinentes, irrévérencieuses, provocatrices, arrog…

- Calmez-vous, Monsieux Roncheux.

- Je ne peux plus enseigner dans ces conditions, je démissionne !

- Monsieur Ron…

- Non non, j’ai pris sur moi, j’ai tout supporté : les bagarres entre Dorothée et Margot, les caprices de Lisette, les colères de Luciana, le sale caractère d’Angéla, je vous en passe ! Mais cette fois, la coupe est pleine ! Je craque !

- Monsieur Roncheux, vous êtes un éminent professeur…

- C’est exact.

- Le meilleur, sans aucun doute ! Et je ne souhaite pas vous voir partir. Je vais vous aider. Que se passe-t-il ?

- Léa et Mylène !

- Léa ? Encore en train de faire le clown ?

- Non ! Elle n’est pas drôle du tout ! Monsieur le directeur, ça fait plus d’une semaine qu’elle a à apprendre une fable de La Fessaine ! Je lui ai demandé de la réciter : elle ne la sait pas ! Elle se moque de moi !

- D’accord ! Je vais m’en occuper ! Et Mylène, c’est la fable aussi ?

- Non ! Elle, c’est l’orthographe ! Vous savez ce qu’elle m’a fait?

- Non.

- Dans son devoir, elle a écrit : j’ai un contentieux avec l’orthographe.

- Bon. Il n’y a peut-être pas de quoi …

- Contentieux avec un c !

- Pardon ?

- Elle a écrit contentieux avec un c au lieu d’un t ! C’est de la provocation, Monsieur le directeur ! Elle l’a fait exprès, j’en suis sûr ! Je lui ai donné une punition, une petite punition de rien du tout, 15 fois… Eh bien je l’attends toujours ! Depuis une semaine !

- C’est inadmissible, je vous l’accorde. Monsieur Roncheux, vous allez retourner en classe et m’envoyer immédiatement ces deux étudiantes.

- Merci, Monsieur le Directeur.

- Allez, dépêchez-vous, vous avez un cours à assurer. »

Monsieur Roncheux parti, Max poussa un long soupir et ferma les yeux… pas longtemps. Quelques coups brefs à la porte le tirèrent de sa torpeur.

Max fit entrer Léa et Mylène, se rassit et les regarda sans rien dire.

« On peut s’asseoir, Monsieur le Directeur ? demanda Mylène.

- Non. Vous savez pourquoi vous êtes là ?

- Pas du tout, Monsieur Maxou. répondit Léa.

- Je m’appelle Max, Léa… Votre professeur de lettres est très mécontent de vous ! »

Les deux étudiantes ouvrirent de grands yeux étonnés et s’entre-regardèrent comme pour se demander mutuellement une explication.

« Léa, tu n’as pas appris ta fable !

- Si, Monsieur Maxou, je l’ai apprise… mais elle est dure !

- Mylène, tu n’as pas fait la punition demandée par Mr Roncheux !

- Quelle punition ? Celle-là ? »

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Elle posa son cahier ouvert sur le bureau.

« Pourquoi ne l’as-tu pas remise dans les temps à ton excellent professeur ?

- Excellent, faut peut-être pas exagérer…

- Si si, excellent, j’insiste ! De toute façon, je n’en ai pas d’autres. Votre comportement à toute les deux est inqualifiable ! A cause de vous, Monsieur Roncheux est au bord du burn-out ! Vous n’avez pas honte ?

- …

- Moi, j’ai honte pour vous ! Vous méritez une bonne fessée ! »

Les deux fautives baissèrent la tête sans répondre.

« A genoux sur le canapé ! »

Elles obéirent sans protester.

« Jupes relevées et culottes baissées ! »

Ensemble, presque à l’unisson, elles firent ce que Max leur demandait. Il s’approcha, posa sa main gauche sur le dos de Léa et commença à lui frapper vigoureusement les fesses…

Et c’est à ce moment-là que le téléphone sonna.

« Une seconde, Léa… je reviens.

- Je vous en prie , Monsieur Maxou, prenez votre temps. »

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Max décrocha.

« Bonjour Max, c’est Charlotte. »

Charlotte de Langeais, la présidente de la Fondation pour l’Enseignement des Sciences Sociales et l’Education Emancipatrice, principal bailleur de fonds de l’Institut.

« Je ne vous dérange pas ?

- Pas du tout, Charlotte… que puis-je pour vous ?

- Je ne vais pas y aller par quatre chemins, Max : j’envisage d’arrêter de subventionner votre institut.

- Mais Charlotte ? Que se passe-t-il ?

- Des rumeurs… persistantes… font état de mauvais traitements envers vos étudiantes.

- Euh… une minute, Charlotte… Je vous reprends tout de suite. »

Max se retourna vers les deux étudiantes :

« Bon… Vous pouvez vous reculotter et retourner en cours; ça ira pour cette fois .

- Beh ! Et ma fessée ? protesta Mylène.

- Je t’en fais grâce. Tu as fait ta punition, c’est bon.

- Merci, monsieur Maxou. s’écria Léa en se rajustant.

- Je m’appelle Max, Léa ! Je te demande de t’en souvenir !

- Bien sûr ! Je suis désolée, Monsieur Maxou.

- Allez, dépêchez-vous d’aller en cours ! »

Une fois la porte refermée derrière elles, Max reprit le téléphone.

« Charlotte, je ne comprends pas. Il doit s’agir d’un énorme malentendu.

- Je ne crois pas, Max. Vous auriez fessé une jeune femme sans motif.

- Moi ? Certainement pas ! Cette jeune femme, dont j’ignore l’identité, vous a menti.

- Ce n’est pas elle qui vous accuse , Max.

- C’est qui, alors ?

- C’est vous-même, Max. Vous avez avoué.

- Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?

- Vous vous êtes confessé à un prêtre. Pour des raisons que je n’ai pas à vous dévoiler, il se trouve que ce prêtre n’a aucun secret pour moi.

- Pas même le secret de la confession ? Je croyais …

- Eh oui, Max, on ne peut faire confiance à personne… C’est malheureux. »

Max était anéanti. Si la Fondation ne renouvelait pas sa dotation, il n’avait plus qu’à mettre la clé sous la porte.

« Ecoutez Charlotte, ne prenez pas une décision, à la légère. Il doit y avoir moyen de s’arranger…

- S’arranger ? Vous croyez que vous pouvez m’acheter ?

- Pas du tout Charlotte ! Je n’y pensais même pas. Mais réfléchissez un peu : si vous arrêtez de nous subventionner, ce n’est pas moi que vous punissez, ce sont tous les étudiants !

- Vous avez raison : c’est vous qui devez être puni, vous seul !

- Oui, Charlotte.

- Je vais donc vous punir moi-même… avec mes petites mains : je vous attends à mon bureau, le mois prochain, dès mon retour de vacances.

- Mais  euh…

- Nous avons un contentieux à régler, Max, un sérieux contentieux.

- Un contentieux… oui, avec un T.

- Avec un thé ? Et des petits fours, aussi ?

- Non, je… excusez-moi…

- Dans un mois, Max. Je compte sur vous ! »

Max voulut ajouter quelque chose, mais son interlocutrice avait raccroché.

Dure journée.

 

 

28 août 2015

Littérature (Théâtre) : Les stances de Rodriguette

 Pour bien commencer la rentrée, un peu de littérature classique...

Percée jusques au fond du coeur

D'une atteinte  brûlante aussi bien que vexante,

Les fesses à l’air au coin dans une longue attente,

Malheureuse victime d’une injuste rigueur,

Je demeure immobile, et me sens courbatue

En me massant le cul.

Mais quelle cuisante déculottée !

O Dieu, l'étrange peine !

J’ai bêtement dit : « J’aime la fessée »,

Et le fesseur en a saisi l’aubaine !

fillaucoin

 

Je suis une femme qu’on bat !

Qu’on humilie en claquant ses petites fesses,

Au moindre dérapage, à la moindre faiblesse

 Et pourtant, malgré tout, je ne proteste pas.

Je sens au fond de moi brûler cette lueur,

Petit feu intérieur,

Qui me procure un plaisir infini.

Dieu, l'étrange peine !

J’ai dit que je voulais être punie

Et le fesseur en a saisi l’aubaine !

Corneille "La Cide" acte 1 scène 6

1)      Quel sentiment prédomine dans le monologue de Rodriguette ?

2)      Comment cet extrait exprime-t-il le conflit intérieur de Rodriguette ?

3)      Combien d’alexandrins trouve-t-on dans chaque stance ?

4)      Relevez un octosyllabe

10 mai 2015

Une visite à l'Institut

Début juin. Il pleut à torrent sur Paris depuis ce matin. Max est trempé, ses chaussures prennent l’eau, ses orteils sont humides, mais il n’y prend pas garde : il a rendez-vous avec Fanny, jeune femme de 24 ans avec qui il dialogue sur Internet depuis quelques jours.

 

Après plusieurs tentatives infructueuses, ils ont fini par accorder leurs emplois du temps pour trouver le temps de boire un café ensemble. Il faut dire que la petite Fanny est insaisissable:  toujours par monts et par vaux aux quatre coins de l’Hexagone.

 

Fanny avait consulté le site de l’Institut, et semblait intéressée par les enseignements dispensés et les méthodes pédagogiques utilisées. C’est une jeune femme très curieuse, elle avait posé beaucoup de questions. Elle avait déjà fréquenté des établissements similaires et souhaitait se perfectionner, mais elle ne voulait pas se décider à la légère, et avait proposé à Max une première rencontre dans un endroit neutre afin d’approfondir le sujet.

Et ça y est : la voilà devant lui, petite, il le savait, très jolie, il s’en doutait, mais moins brune que prévue. Il ne perd pas au change : elle est charmante, avec ses lunettes qui essaient désespérément de tenter de masquer son air espiègle. Ils s’installent dans un café ; les premières minutes sont un peu tendues de part et d’autre, il leur faut briser la glace et puis rapidement un dialogue s’installe ; la confiance est là, réciproque semble-t-il. Max est au fond un grand timide, mais il se sent en confiance avec elle, pas de tabous ; la conversation est naturelle. Tous les sujets sont abordés, notamment la discipline et les punitions. Ils ne voient pas le temps passer.

Elle est très à l’aise, maintenant, au point qu’elle l’appelle Monsieur Maxouille.

« Dis-donc Fanny, n’aurais-tu pas l’impression de me manquer de respect ?

- Moi ? Pas du tout ! Pourquoi ?

- Comment tu m’as appelé, là ?

- Maxouille ? Ce n’est pas du manque de respect ! Au contraire, c’est gentil et affectueux ! »

Elle rit. Il se laisse gagner par sa bonne humeur et n’insiste pas.

« Veux-tu que je t’emmène à l’Institut ? Je te ferai visiter et … je te donnerai un aperçu de mes méthodes disciplinaires. »

Elle éclate de rire.

« Ah ! Je vous vois venir ! Vous savez que vous êtes une sacrée fripouille, monsieur Maxouille !

- Fripouille ? Rien que ça ? C’est ce que nous allons voir !

- OK, allons-y ! »

Ils se lèvent et s’engouffrent dans le métro, direction l’Institut. Le trajet n’est pas très long. Ils arrivent, Max lui fait visiter rapidement les locaux, ils s’arrêtent un instant devant la large baie vitrée qui permet d’admirer Paris, puis Max l’introduit dans son bureau.

Il s’assoit sur le canapé et regarde la jeune femme. Il lui fait signe d’approcher.

visite institut 02

Elle a un peu perdu de son assurance ; il sent qu’elle hésite. Puis en rougissant, elle vient s’allonger sur ses genoux. Max essaie de la rassurer :

« Une bonne fessée, c’est un peu comme un bon repas. Il faut faire les choses progressivement, dans l’ordre, en commençant tranquillement par l’apéritif. »

Sans trop appuyer, il commence à taper du plat de la main, par-dessus le jean, le petit derrière rebondi qui s’offre à lui. Pas longtemps. Juste histoire de chauffer un peu le terrain.

« Maintenant, après l’apéritif, il est temps de passer à l’entrée »

Elle se redresse et le regarde sans comprendre. Il l’aide à se mettre debout et commence à lui dégrafer la ceinture, et à déboutonner son jean. Elle sourit.

« Laissez-moi vous aider, dit-elle, ces jeans serrés ne sont pas pratiques pour les fesseurs ! »

Et elle fait glisser son jean et se rallonge sur les genoux de Max. Celui-ci découvre alors une petite culotte sur laquelle est inscrite en rouge la mention « Propriété privée ».

Max reprend la fessée, ses claques sont un peu plus appuyées que précédemment, mais restent gentilles. Deux minutes, pas plus.

visite institut 03

« Eh bien, maintenant, annonce-t-il, il est temps de passer au plat principal ! »

 Et il saisit l’élastique de la petite culotte… Propriété privée…

Propriété privée certes, il le comprend, mais cette limitation  s’applique-t-elle à lui ?

« Allez, soyons fous ! se dit-il, Et bousculons un peu les interdits ! »

 Et, doucement, il baisse la petite culotte.

 

Là, il s’arrête comme si le temps soudain était suspendu.

 

Il est temps pour lui d’évoquer en son for intérieur l’immense solitude du fesseur devant le spectacle qui s’offre à lui, un peu comme un conquistador qui découvre enfin l’Eldorado. Il se sent à la fois vainqueur et modeste, intimidé mais résolu. Il lui faut poursuivre la tâche malgré le trouble qui l’envahit. Il est impressionné par cette superbe paire de fesses déjà bien rosies qu’il lui faut désormais rougir.

Mais le devoir l’appelle et il ne se dérobera pas.

Sa main rebondit maintenant beaucoup plus vivement sur le magnifique postérieur. La petite Fanny reste stoïque. Ses fesses commencent à arborer des teintes un peu plus vives mais elle laisse le professeur poursuivre son travail, comme le capitaine du navire qui maintient son cap dans la tourmente.

Il s’arrête finalement. Elle se relève et se rhabille prestement. Elle le regarde :

« Merci pour cette visite ! Je serai bien restée mais il faut que j’y aille ! Donnez-moi un bulletin d’inscription ! »

Max lui donne le document demandé qu’elle fourre dans son sac. Elle lui serre la main en disant :

« Mais vous êtes quand même une vraie fripouille, monsieur Maxouille !

- Pourquoi donc Fanny ? Parce que je t’ai punie ?

- Parce que vous m’avez privée de dessert ! »

Et elle sort.

 

 

 

9 avril 2015

Une bonne leçon pour Margot

Vendredi soir, 18 heures. Le professeur Max retournait enfin à son bureau. La journée avait été chargée avec deux professeurs absents et il avait dû prendre une classe au pied levé.

Madame N l’attendait devant son bureau.

« Monsieur le Directeur, je suis au regret de vous informer que nous avons eu une bagarre dans le vestiaire !

- Qui sont les protagonistes ?

- Margot et Dorothée, monsieur le Directeur

- Encore !

- Oui, elles sont insupportables en ce moment.

- Bon, je m’en occupe. Je vais commencer par Margot. Envoyez-la moi. »

Mme N s’éclipsa tandis que Max s’installait.

Quelques instants plus tard, Margot entra dans le bureau. C’était une jeune femme, plutôt jolie, aux formes généreuses. Elle arborait une mine renfrognée.

« Alors Margot, tu sais pourquoi tu es là ?

- Quoi ?

- Tu t’es encore chamaillée avec Dorothée ?

- C’est elle qui m’a insultée, putain ! Elle m’a traitée de grosse !

- Ce n’est pas très gentil de sa part, j’en conviens. Et toi , tu ne lui avais rien fait ?

- Non !

- Rien dit, non plus ?

- Non, puisque j’vous dit !

- Tu es sûre que tu n’as pas dit deux trois gros mots, sans faire exprès?

- Ouais j’suis sûre… Je lui ai juste dit qu’elle faisait chier, qu’elle me cassait les couilles et que j’en avais rien à foutre de sa gueule !

- Oui… ce n’est pas bien, Margot, de parler comme ça, tu le sais bien.

- M’en fout ! De toute façon , je suis qu’une grosse merde. Puisque c’est comme ça, j’irai plus en cours.

- Bon ça suffit maintenant, Margot !

- Non, ! D’abord j’fais c’que j’veux ! J’suis une grosse merde et j’fais c’que j’veux ! »

 

Margot01

Monsieur Max se leva et alla s’asseoir sur le canapé. Il fit signe à Margot d’approcher. Celle-ci avança de quelques pas en le regardant d’un air de défiance.

« Margot, je ne tolère pas qu’on t’insulte. J’ai donc décidé de punir sévèrement ceux qui le font. Tu es d’accord ?

- Ah ouais alors ! »

Elle s’approcha, un peu rassurée. Max l’attrapa par le bras, et elle se retrouva subitement couchée en travers de ses genoux !

« Quelqu’un vient de te traiter de « grosse merde », et ce quelqu’un, c’est toi ! Si tu veux que les autres te respectent, commence par te respecter toi-même !

- Mais… »

Elle sentit que sa jupe était relevée, et de fortes claques s’abattirent sur ses fesses rebondies à peine protégées par la fine petite culotte qui les recouvrait.

«  Putain ! Aïe ! Merde ! Pitié, Monsieur Max !  »

Margot02

Mais Max n’était pas sensible à la pitié. Il continuait son ouvrage fermement,  avec application, malgré les protestations véhémentes de Margot. Il y eut un moment de répit ; Margot crut que la fessée était terminée. Hélas ! Elle sentit que sa culotte était baissée.

« Ah non ! Pas cul nu, s’il vous plaît ! »

Sa demande ne fut hélas pas prise en compte, et la main de Max s’abattit à nouveau en cadence sur ce beau derrière déjà bien rouge . Margot sanglotait.

« Aïe ! Pardon Monsieur Max ! Je ne recommencerai pas ! Promis ! Ouille ! »

Puis au bout de longues secondes (ou étaient-ce des minutes ?)  interminables, comme par magie, Margot sentit que sa culotte était remontée et sa jupette remise en place.

« Tu peux te relever, maintenant. J’espère que tu as compris la leçon ! Tu penses toujours que tu es une grosse merde ?

- Non, Monsieur Max, répondit Margot en se levant et en essuyant ses larmes, je ne suis pas une grosse merde !

- Tu es quelqu’un de bien, Margot. Tu as juste besoin qu’on te le rappelle de temps en temps ! »

Elle sortit du bureau en reniflant et en frottant ses pauvres fesses endolories.

4 décembre 2015

Littérature (contes) : "Les trois petites cochonnes"

Il était une fois trois petites cochonnes qui voulaient se faire belles pour rendre visite à leur grand-mère.

La première entra dans une boutique de lingerie, et dit au vendeur :

« S’il vous plaît, vendez-moi ce string et ce mini soutien-gorge pour m’habiller. »

 L’homme lui vendit ce qu’elle demandait, et la petite cochonne partit faire les courses. La deuxième petite cochonne entra dans une boutique de sport et dit au vendeur:

« S’il vous plaît, vendez-moi ce short moulant et ce petit haut sexy pour m’habiller. »

 L’homme lui vendit ce qu’elle demandait et la petite cochonne partit faire les courses . La troisième petite cochonne entra dans une boutique de prêt à porter dit au vendeur:

« S’il vous plaît, vendez-moi cette robe pour m’habiller. »

L’homme lui vendit ce qu’elle demandait mais c’était tellement cher qu’elle n’avait plus d’argent pour aller faire les courses.

Dans la forêt, le loup fesseur cherchait une victime. Lorsqu’il rencontra la première petite cochonne, il s’écria :

« Petite cochonne, petite cochonne, où vas-tu, ainsi si peu vêtue ?

Rencontre loup

La petite cochonne répondit :

-  Je vais chez ma mère-grand porter un litre de rouge et un camembert bien fait. Regarde comme je suis jolie !

Alors le loup répliqua :

- On ne se promène pas ainsi dans la forêt ! Je vais te donner une bonne leçon ! »

Il empoigna la pauvre cochonnette, et lui claqua les fesses de sa grosse main velue. La pauvrette était toute retournée. Dans son émoi, elle lâcha son petit panier. Le loup fesseur s’en empara et lui dit : « Cette leçon vaut bien un fromage sans doute ! »

Alors la petite cochonne courut aussi vite qu'elle put, et, avec les quelques pièces qui lui restaient, alla acheter un tube d’arnica à la pharmacie.

Bientôt après, le loup, ayant englouti le vin, mais gardé le fromage pour plus tard, rencontra la deuxième petite cochonne, et lui dit :

« Petite co… chonne, petite co… cochonne, où vas-tu, ainsi court… ainsi court-vêtue ?

Rencontre loup 2

-  Je vais chez ma mère-grand porter une bouteille de champagne et du saumon fumé! Tu as vu comme je suis belle ?

Alors le loup répliqua :

- On ne se pro.. promène pas ainsi dans la fo.. la forêt ! Je vais te d… donner une bonne leçon ! ».

Il empoigna la pauvre cochonnette, baissa le short et la petite culotte , et lui claqua les fesses de sa grosse main velue. La pauvrette était toute troublée. Dans son émoi, elle lâcha son petit panier. Le loup fesseur s’en empara et lui dit : « Cette leçon… cette leçon vaut bien … je sais plus !»

Alors la petite cochonne courut aussi vite qu'elle put, et, avec les quelques pièces qui lui restaient, alla acheter deux tubes d’arnica à la pharmacie.

Quelques temps après, le loup ayant terminé la bouteille de champagne s’écroula sur le bord du chemin. La troisième petite cochonne qui passait par là les mains vides, s’agenouilla près de lui et le secoua:

« Loup fesseur, loup fesseur ! Ne suis-je pas attirante ?

- On euh…. Chi forêêêêt… Je… bonne lechon…” Et il se rendormit.

Rencontre loup 3

Mais la petite cochonne insista :

« Eh ! Mais je veux ma fessée, moi ! Il n’y a pas de raison. Sans mentir, si votre fessage se rapporte à votre cuitage … etc, etc…

Le loup tenta désespérément de se redresser, libérant ainsi le camembert et le saumon fumé sur lesquels il était couché. La cochonne s’en saisit et dit :

« Apprenez que tout fesseur vit aux dépens de celle qui le taquine ! »

Et elle partit en riant. Le loup essaya de se relever, se prit les pieds dans une branche et s’affala par terre.

Une heure plus tard, pendant que le loup vomissait et que les deux premières cochonnes soignaient leurs fesses endolories, la troisième était attablée avec Mère-Grand et dégustait un succulent repas.

 

9 décembre 2015

Conseil de classe

Ouf ! Max poussa un soupir de soulagement. Le conseil de classe de fin de trimestre était enfin terminé ! Beaucoup de discussions sur le cas de chaque élève et beaucoup de sanctions décidées.

Conseil classe réduit

Charlotte et Myrtille, respectivement professeur de latin et de sciences avaient chacune leur tête de turc, en l’occurrence Brice et Mathieu. Elles avaient décidé de se charger elles-même des sanctions. Tant mieux pour Max ! Car il aurait fort à faire avec le reste  des étudiants !

Tiens ! A commencer par celle qui l’attendait à la porte de son bureau. Max la fit entrer.

« Assieds-toi, Léa. »

L’étudiante obéit, tout en regardant Max d’un air désolé.

« Tu sais pourquoi tu es ici, je suppose ?

- Euh non, Monsieur Maxou.

- Léa ! Je n’aime pas qu’on se moque de moi ! »

- Ah, c’est pour la punition ? La voilà, Monsieur Maxou, j’espère que vous serez satisfait. »

Elle tendit à Max une feuille .

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« Merci, je l’avais oublié celle-là ! D’ailleurs elle était pour la semaine dernière.

- Je suis désolée pour le retard, mais…

- Je devrais la doubler…

- Oh non ! S’il vous plaît Monsieur Maxou !

- Mais je ne le ferai pas…

- Merci Monsieur Maxou !

- On n’en est plus là ! Léa , ça fait combien de fois que tu redoubles ta première année ?

- Euh… je ne sais plus …

- Moi non plus. Honnêtement, j’ai arrêté de compter. Mais j’espère bien te faire passer en classe supérieure, un jour … Mais pour cela, il faudrait m’aider un peu, Léa.

- Volontiers, Monsieur. Mais comment ?

- Mais … en travaillant, tout simplement !

- Ah non ! Je n’y arrive pas, Monsieur Maxou ! C’est trop dur !

- Léa, je sors du conseil de classe. Tous les professeurs sont unanimes : tu es une paresseuse !

- Oh ! Ils exagèrent, là.

- Non Léa. Le professeur d’éducation physique par exemple ne t’a jamais vue ! Tu as séché tous les cours !

- Qu’est-ce que je vous disais ? Comment un prof qui ne m’a jamais vue peut-il me juger ?

- Le professeur de musique ne t’a jamais entendu chanter.

- Encore un qui juge sans savoir !

- Ah ça suffit Léa ! Tu n’apprends jamais les paroles.

- Même pas vrai ! Je les sais, les paroles !

- Eh bien, nous allons voir ça. En attendant, tu vas déjà prendre vingt coups de martinet cul nu pour sanctionner ce bulletin exécrable ! »

Max ouvrit son tiroir et en sortit l’instrument que Léa connaissait bien.

Résignée, la pauvre étudiante retroussa sa jupe, baissa sa culotte et se pencha sur le bureau.

Léa n’avait pas de bonnes notes, certes, mais elle avait de belles fesses. Il n’y a peut-être aucun rapport, mais c’est la réflexion que se faisait Max à chaque fois qu’il la punissait. Le martinet s’abattit vigoureusement sur le derrière offert à ses morsures. Léa comptait les coups à haute voix.

Léa martinet

« Et vingt ! »

Léa se redressa et tendit la main vers sa culotte.

« Mais ! Qu’est-ce que tu fais ? s’indigna Max.

- Ben… je remets ma culotte !

- Je t’ai demandé de le faire ?

- Euh non, Monsieur Maxou. Excusez-moi. »

Max rangea le martinet dans son tiroir au grand soulagement de Léa. Soulagement qui, malheureusement se transforma très vite en inquiétude lorsqu’elle le vit saisir sa grande règle plate en bois.

« Puisque tu connais les paroles de la chanson Les claque fortes, tu vas pouvoir me les réciter.

- Je les connais euh … enfin … surtout le refrain !

- Bon allons-y pour le refrain !

- Le refrain… oui mais pas le début… Aïe ! »

La règle venait d’atterrir un peu vite sur les pauvres fesses déjà bien marquées.

« Je te redonne les paroles, une fois ! Ensuite, tu me les récites. A chaque erreur, un coup de règle !

- A chaque erreur ! Mais ça va faire beaucoup ! »

Léa Règle en bois

Eh oui, ça en a fait beaucoup, effectivement. Car Léa, manifestement, n’avait rien appris. Mais, ô miracle,  la règle en bois semblait fonctionner comme une baguette magique, car après seulement dix minutes de récitation rythmée à la règle, Léa connaissait par cœur le refrain de la chanson.

« Bravo, Léa ! Tu progresses ! Tu en es consciente ?

- Oui, Monsieur Maxou, Je sens mes progrès… je les sens bien. » répondit la pauvre étudiante en se rhabillant.

 

 

 

 

 

 

18 décembre 2015

Un conte de Noël

Il était une fois une ravissante jeune femme qui s’appelait Noëlle. Elle était très gentille et adorait faire des cadeaux à tout le monde. Un jour , alors qu’elle gardait des moutons du côté de Domrémy-la-Pucelle, elle entendit des voix :

« Salut, c’est moi !

- Qui ça?

- Beh, moi, Dieu !

- Ah c’est vous ? Je ne vous voyais pas comme ça !

- Qu’est-ce que tu racontes ? De toute façon, tu ne me vois pas, tu m’entends !

- Suis-je bête ! » répondit Noëlle qui avait parfois des moments de lucidité.

Et elle raccrocha. Dieu, pas content, la rappela et tomba sur sa messagerie. Il laissa donc un message après le bip comme il y était convié :

« Ouais, c’est Dieu ! Bon, j’ai besoin de quelqu’un pour faire le bien ; rappelle-moi si tu es intéressée par le job. »

 

Faire le bien ? Mais c’était l’ambition de Noëlle ! Elle rappela, prit rendez-vous et laissa tomber ses moutons. Le DRH qui la reçut lui expliqua sa mission :

Tous les vingt-cinq décembre, elle devait faire la tournée des popotes et livrer les cadeaux aux quelques chipies et chenapans qui avaient été sages pendant l’année.

Aussitôt, elle se mit au travail : il fallait lire les lettres, vérifier si la sagesse était avérée, commander les cadeaux, les emballer, faire réviser le traîneau, nourrir les rennes, etc…

Elle se mit hélas rapidement à déchanter : beaucoup de lettres manquaient tellement de sincérité, qu’elle ne pouvait que les jeter à la poubelle. Au bout de plusieurs jours, elle se mit à déprimer. Alors, le soir en sortant du boulot, elle se mit à fréquenter un bar à bières.

Fouettard bar

« Je vous offre un verre, mademoiselle ? »

Elle se retourna : l’homme qui lui adressait la parole était grand, séduisant, et pour couronner le tout, moustachu ! Une impression de force se dégageait de lui . Il avait de belles mains puissantes. Il se présenta :

« Je m’appelle Fouettard. »

Elle se sentit très vite en confiance et lui raconta sa vie : ses moutons, sa conversation avec Dieu et son travail qui l’avait enthousiasmée au début, mais qui lui laissait beaucoup de doutes, maintenant. Par le plus grand des hasard, il se trouvait que Fouettard venait aussi d’être embauché, mais dans une entreprise concurrente Belz & Butt pour le compte de laquelle il devait faire le mal.

« Je passe mes journées à lire des lettres de dénonciation pour sélectionner les pires chipies et chenapans de l’année ; et le 25 décembre, j’irai les punir !

- Oh ! le même jour que moi ! Ah ben ça alors ! s’étonna Noëlle.

- Hélas, dans tout ce que je lis, il n’y a pas vraiment de quoi fouetter un chat ! » se désola Fouettard en essuyant la mousse qui ornait ses moustaches.

Pour mieux se consoler , ils passèrent la nuit ensemble et ce fut le début d’une merveilleuse histoire d’amour.

 

Enfin , le 25 décembre arriva. Chacun de leur côté, les deux tourtereaux revêtirent leurs uniformes. Noëlle était nue sous son grand manteau rouge, Fouettard était tout en noir : casquette de cuir, lunettes fumées, combinaison latex. La hotte de Noëlle était pleine de cadeaux somptueux, mais la liste des lauréats était bien mince. Seul un nom subsistait : Elvire,  jeune femme qui se présentait comme intelligente, aimable et apparemment très très sage. Tant mieux pour elle ! Noëlle lui avait choisi des cadeaux qui ne pourraient que la ravir !

Sur la liste de Fouettard , il n’y avait qu’un seul nom, également : Mickey, un peu plus âgé qu’Elvire, mais dénoncé par plusieurs lettres anonymes comme facétieux, indiscipliné et râleur. Fouettard, en bon professionnel, avait une trousse à outil dans laquelle étaient rangés ses instruments de travail, et le dénommé Mickey allait bien déguster !

Comme ils étaient devenus inséparables, les deux jeunes gens décidèrent de faire leur tournée ensemble.

Le traîneau s’arrêta juste au dessus de chez Elvire.

« Mille milliard de mille lanières ! s’écria Fouettard, la cheminée n’est pas ramonée !

- Ah non, renchérit Noëlle, il est hors de question que je salisse mon manteau rouge. Vas-y, toi.

- Ah mais le noir c’est salissant! Et le latex, ça passe pas en machine ! »

Après plusieurs minutes de palabres, ils décidèrent de sonner à la porte.

« C’est qui ? demanda une voix suave.

- C’est le père Fouettard, répondit Fouettard.

- Oh beh non, alors ! s’écria la voix.

- C’est malin, dit Noëlle, tu lui as fait peur ! Laisse-moi faire !»

De sa petite main énergique, elle frappa à nouveau à la porte.

«  C’est qui ? redemanda la voix suave

- C’est le petit chaperon rouge, j’apporte une galette et un petit pot de beurre .

- Tire la chevillette et la bobinette cherra.

- Nom d’un petit martinet ! Elle cause pas français ! » soupira Fouettard.

Par dépit, il se mit à manipuler la poignée dans tous les sens et la porte s’ouvrit.

Nos deux héros entrèrent et se trouvèrent face à une charmante jeune femme, pulpeuse, pétillante avec un petit sourire malicieux, vêtue simplement d’une courte nuisette rose bonbon.

« Bonjour petit chaperon rouge ! Moi c’est Elvire ! C’est la galette et le petit pot de beurre que vous avez dans votre hotte ? Ah mais vous êtes venue avec le loup ! Bonjour grand méchant loup ! Vous en avez de belles moustaches, dis-donc ! J’aurai  le droit de les toucher ? J’adore caresser les moustaches de loup… »

Et elle continuait comme ça à pérorer , à faire des minauderies, s’adressant d’ailleurs essentiellement à Fouettard, qui l’écoutait bouche bée sans réagir. Noëlle, en fait, n’appréciait pas… mais alors pas du tout. Elle qui s’était fait une joie d’offrir la totalité de ses cadeaux à une chipie méritante, ne voulait plus qu’une chose : retourner avec Fouettard au traîneau. Elle le tirait par la manche, mais celui-ci semblait subjugué, et ne réagissait pas. Alors, elle attendit qu’Elvire reprenne sa respiration pour pouvoir en placer une… ce qui finit enfin par se produire . D’un ton cassant, elle annonça :

«  D’abord, je ne suis même pas le petit chaperon rouge, et lui c’est pas le loup, et toc ! »

La jeune Elvire sembla tomber de haut.

« Ben, vous êtes qui, alors ?

- Je suis la mère Noëlle, j’ai des cadeaux pleins ma hotte, et tu n’en n’auras pas, na !

- M’en fiche !

- Et lui, c’est le père Fouettard ! Il va te tanner le cul !

- M’en tape !

- Fouettard ! aboya Noëlle.

- Quoi donc ? dit le jeune homme en sursautant.

- Occupe-toi d’elle ! Fais ton boulot !

- Mais… elle est pas sur la liste…

- Comment ça, elle est pas sur la liste ?! Et ça , c’est quoi ? » répliqua-t-elle en lui montrant sa propre liste.

Le pauvre Fouettard était un peu perdu. Machinalement, il ouvrit sa boîte à outils et en sortit un énorme martinet avec des longues lanières épaisses, tressées en cuir de buffle. Voyant cela, la jeune Elvire poussa un petit cri et se mit à reculer près du sapin.

Quel sapin ? 

Euh… en général à Noël, il y a un sapin , non ?

Bref… Empoignant le manche de son horrible martinet, Fouettard se rapprocha d’elle.

« Enlève-moi cette nuisette, déclara-t-il d’un ton sinistre.

- Mais monsieur le Loup… pardon, je veux dire, Monsieur Fouettard, je vous jure que j’ai été sage et …

- Fais ce qu’on te dit ! » aboya Noëlle.

Elvire au sapin

Alors, en tremblant, la malheureuse jeune femme dût se mettre nue face à ses deux tortionnaires.

« Tourne-toi. »

Elle obéit, entendit un sifflement dans l’air suivi d’un grand claquement. Puis elle sentit la douleur. Machinalement elle s’avança dans le sapin, mais les aiguilles lui piquaient le ventre et les seins.

« Plus fort ! » criait Noëlle.

Elvire gémissait à chaque coup. Elle sentait chaque brûlure, chaque morsure lui irradier le corps. Cela provoquait chez elle des sensations diverses et contradictoires.

Au bout d’une quinzaine de coups, Fouettard s’arrêta.

« C’est bon là, non ?

- Ah mais non ! rétorqua Noëlle, Continue !

- Oh oui, encore ! gémit Elvire

- Bon alors non ! reprit Noëlle. Tu as raison, ça suffit comme ça ! On s’en va ! »

Elle rangea elle-même le martinet dans la boîte à outils, reprit sa lourde hotte et entraîna un Fouettard un peu récalcitrant vers le traîneau.

« On aurait pu rester un peu…

- Non !

- Et lui donner au moins un cadeau…

- Non, je te dis ! Et regarde la route ! »

Chemin faisant, cahin caha, il arrivèrent sur le toit de Mickey. Là, pas de souci : la cheminée avait été ramonée récemment et donc, l’un après l’autre, ils se laissèrent glisser et atterrirent tranquillement dans le salon douillet de Mickey. Celui-ci était en train de déguster un single malt dans son fauteuil.

Fouettard se retourna vers Noëlle en chuchotant :

« Je sais plus … il est sur quel liste, ce gus ? La tienne  ou la mienne ?

- La mienne. T’inquiète…

- Tu es sûre ?

- Euh … désolé de vous interrompre, les deux guignols ! intervint Mickey, mais ça vous arracherait la gueule de me dire ce que foutez chez moi ?

- Ta gueule! répondit Fouettard. »

Mickey chercha une réplique, mais n’en trouvant pas, il resta coi.

« Je suis la mère Noëlle, expliqua Noëlle, Nous venons déposer des cadeaux au pied de votre sapin.

- Quel sapin ?

- Ah ? Vous … n’avez pas de sapin ?

- Beh non ! Il n’y a pas écrit Forêt des Vosges ! » répliqua Mickey en montrant son front.

Fouettard se tourna vers Noëlle :

« Tu es certaine qu’il est sur ta liste ? »

Elle ne répondit pas et vida sa hotte sur le sol.

Noëlle sans sapin

« Tenez ! Tout ça, c’est pour vous ! Ouvrez- les paquets, vous ne serez pas déçu. »

Mickey daigna enfin poser son verre. Il ouvrit un premier paquet, en sortit une paire de bas résille, qu’il toisa d’un air sceptique, avant de les jeter de côté. Le second contenait un body léopard très ajusté qu’il regarda d’un air dubitatif avant de l’envoyer rejoindre la paire de bas. Le petit soutien-gorge balconnet fut considéré d’un regard perplexe avant d’atterrir sur le tas. Et il fut de même pour les autres contenus (trousse de maquillage, accessoires, etc…)

« Tu es vraiment sûre qu’il était sur la liste ? J’ai un doute… interrogea Fouettard

- Vous vous foutez de ma gueule ? Vous me prenez pour un travelo ? Reprenez-moi tout votre bordel et foutez-moi le camp ! s’emporta Mickey

- Et ça, comme cadeau, ça vous irait ? »

En disant ça, Noëlle avait commencé à ouvrir son grand manteau rouge. Elle le fit négligemment glisser à terre sous le regard éberlué de Fouettard et Mickey. Elle s’approcha langoureusement du fauteuil où Mickey était assis et se mit à se déhancher voluptueusement en caressant son corps magnifique. Là, il faut dire que Mickey, qui, jusqu’à présent, avait gardé un visage passablement renfrogné, changea un peu d’attitude. Bouche bée, les yeux écarquillés , il semblait fasciné par les deux petits seins qui frétillaient à quelques centimètres de son visage.

Il fut tiré de sa rêverie par la réaction soudaine de Fouettard qui se précipita sur Noëlle, l’empoigna, la courba sous son bras et commença à lui claquer les fesses de sa grosse main. Celle-ci était tellement surprise qu’elle en oublia de protester. Mickey s’enfonça dans son fauteuil et savoura le spectacle, tout en sirotant son single malt. Noëlle essayait bien de se tortiller, mais elle était maintenue par la main ferme de Fouettard. Alors, elle se mit à pousser des petits gémissements, à tout hasard…

Cela ne fit que décupler la vigueur de Fouettard qui s’en donnait à cœur joie. Sa main rebondissait sur les fesses endolories. Le rythme des claques s’accélérait en même temps que celui des gémissements.

Au bout de longues minutes bien cuisantes, il la lâcha enfin.

« Et maintenant, au coin, près du sapin, lui ordonna-t-il.

- Mais … répondit la pauvre Noëlle en sanglotant, il n’y a pas de sapin !

- Quoi ? Tu discutes encore ? Tu en veux une autre ?

- Non, Fouettard, j’y vais. »

Et elle se dirigea vers un angle en espérant que ça conviendrait à son tourmenteur.

« Bon travail ! dit Mickey en admirant les fesses bien rouges de Noëlle, vous avez le tour de main. Je vous offre un whisky ?

- Volontiers, répondit Fouettard en s’asseyant dans l’autre fauteuil. Mais vous savez : je n’ai pas de mérite : je suis un professionnel ! »

Et les deux hommes passèrent la nuit de Noël à deviser, tout en dégustant les whiskys de Mickey, pendant que la pauvre Noëlle se morfondait dans son coin.

28 mars 2016

Une bonne douche ! (un texte d'Anouchka)

Monsieur Max, avant de rentrer chez lui ce vendredi soir, passe à l'Institut récupérer les bulletins de ses étudiants afin d' y mettre son appréciation de Directeur. Mais au moment d'entrer dans son bureau, il entend un bruit d'eau dans les douches des filles. Après sa visite aux toilettes où il a surpris Caro en train de fumer l'autre matin, ça ne fait plus beaucoup de différence et il faut de toutes façons qu'il en ait le coeur net : que peut-il bien se passer un vendredi soir à 18h30 dans les douches des filles !!!???

 

Il grimpe l'escalier sans bruit, pousse doucement la porte et quelle n'est pas sa surprise de trouver sa secrétaire, en culotte et soutien gorge, entrain de se rhabiller. De toute évidence, elle sort de la douche, ses cheveux sont encore mouillés ... 

 

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En le voyant, elle est très gênée. Lui est juste surpris et contrarié.

 

- Lui : quand vous serez prête, descendez me rejoindre au bureau.

 

- Elle - B b b bien Monsieur ...

 

- Anouchka, que se passe t il ? Vous avez une panne d'eau chaude chez vous ? Si c'est le cas, pas de problème, mais prévenez moi avant de prendre une douche ici. Vous rendez vous compte que j'aurais pu appeler la Police ? On est vendredi quand même. L'Institut et l'Internat sont fermés.

 

- Euh, non. L'eau chaude marche très bien chez moi  mais je sors de mon club de gym et n'aime pas prendre ma douche là bas avec les autres. Alors comme tout est fermé ici, je suis passée Je ne vois pas le mal après tout, surtout qu'après je vais au cinéma et que c'est tout près d'ici.

 

- Vous allez avoir beaucoup de mal à rester assise pendant votre film Anouchka. Tant de sans gêne me sidère et je suis dans l'obligation, pénible croyez moi, surtout à 19h un vendredi, de vous punir.  Vous aimez les douches de l'internat ? Vous allez en aimer la baignoire croyez moi ! 

 

Sur ce, attrapant le martinet et le paddle au passage, il l'entraîne au deuxième étage ou au bout du couloir il y a une vieille salle de bains avec une baignoire antique. Il tourne les robinets et ordonne à l'écervelée de se déshabiller.

 

- Elle  : complètement ?

- Lui - oui  et vite ! Je n'ai pas que ça à faire !

 

Elle ôte ses vêtements et enjambe la vieille baignoire.

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Debout et tournant le dos à son supérieur, elle se penche en avant, posant ses mains sur le rebord du bain. Une première salve de claques, de la main du Maître de céans, tombe dru sur ses fesses et elle essaie vainement de s'y soustraire. Monsieur Max, posant sa main gauche au milieu du dos de la punie, reprend de plus belle avec le martinet cette fois, visant ses cuisses et ses hanches. Puis, douchant généreusement les fesses de l'insolente,il  lui administre une dernière fessée au paddle.

 

Il sort de la salle de bains encore outré par la désinvolture de son assistante et décide que cette dernière n'a pas assez subi son courroux. Elle aura du rab la semaine prochaine ! Mais cette fois, c'est le surveillant général qui la punira et il pourra assister en spectateur à ce moment délicieux : il adore la voir se tortiller et l'entendre pleurnicher st supplier mais ne peut pas vraiment en profiter quand c'est lui qui officie !

 

22 février 2016

Chantons ensemble: Sandie Sandra !

On chante et on danse à l'Institut! Avec Max et ses maxettes!

Max et ses maxettes sur scène

Rah! Ha! Rah! Ha!

Bien sur mes genoux, tu sens bien les coups
J’y mets de la vigueur à tour de bras
Je fesse Sandra, je fesse Sandie
Je fesse Sandie dont le cul danse avec la nuit

Petit à petit , je sors l’armada


Je tannerai ton cul si tu n’obéis pas
Je tannerai ton cul si tu n’obéis pas
Je fesse Sandie, je fesse Sandra
Sacrée chipie ! A la fin tu m’imploreras
Ce soir j'ai de la fièvre et toi, tu n’as plus froid


Les fessées que je donne à Sandie
Chantent encore la même mélodie
Les tannées  que j’inflige à Sandie

Augmentent le charme de ses petites fesses

Rah! Ha! Rah! Ha!

 Pour la musique, c'est ici : http://www.dailymotion.com/video/x2cm8qb_karaoke-claude-francois-alexandrie-alexandra_music

 

21 mars 2016

Jeux : une charade avec la solution!

Allez! C'est l'heure de la récréation !

Récréation

Une petite charade pour se détendre ?

Mon premier est un tripoteur pervers

Mon deuxième est un sadique pervers qui s’attaque aux végétaux

Mon troisième est un voyeur pervers attiré par les musiciens et les établissements religieux

Mon quatrième est un psychopathe pervers qui s’en prend aux insectes

Mon tout est une psychose perverse

Solution :

Ertmnalvrs

 

6 juillet 2016

Happy Birthday Alex!

Décidément, ce début juillet est propice aux anniversaires ! (D’ailleurs, le mien approche à grands pas… moi je dis ça, je ne dis rien ...)

Bref, après Pandora, un énorme merci à une autre grande dame de ce Monde de la Fessée, tout aussi incontournable : Alex Reynolds!

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Elle a deux sites : Alex in Spankingland et Spanking Wishes qui méritent le détour, bien qu’ils ne soient pas tenus régulièrement à jour… Il faut dire qu’Alex est très occupée : elle travaille des deux côtés de l’Atlantique pour notre plus grand plaisir.

Joyeux anniversaire Alex

Joyeux anniversaire, Alex !

2 juin 2016

Recadrage... pédagogique!

La pièce est vide. Obscure. Au centre, le bureau directorial. Sur le bureau, un martinet qui traîne : les solides lanières de cuir qui partent du manche en bois s’éparpillent négligemment  en tous sens…

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La porte s’ouvre doucement. Une silhouette s’avance prudemment dans la pièce. Elle se dirige vers le bureau, s’immobilise, puis s’empare de l’objet. Elle le considère un instant, caresse les lanières, regarde autour d’elle, ouvre lentement un tiroir et en sort une paire de ciseaux…

Un bruit de pas se fait entendre au loin dans le couloir. La silhouette remet précipitamment les ciseaux en place. Le bruit se rapproche : on distingue un pas appuyé et l’autre moins… quelqu’un qui boite… Monsieur Max, sans aucun doute !

La silhouette s’agite, fait des mouvements désordonnés, puis se précipite vers le canapé, soulève un coussin et glisse le martinet dessous.

La porte s’ouvre, la lumière s’allume… Léa se trouve face à Max.

« Tiens, Léa ! Qui t’a autorisée à entrer ?

- Je suis désolée monsieur Maxou. Je pensais que …

- Ce n’est pas grave … J’ai suffisamment de griefs contre toi. Inutile d’en rajouter !

- Des griefs ?

- Oui Léa ! Je n’aime pas qu’on me manque de respect !

- Moi !? Vous manquer de respect ? Alors là, vous êtes injuste, monsieur Maxou !

- Injuste ? Falsifier mes appréciations, ce n’est pas me manquer de respect ? Me tirer la langue, ce n’est pas me manquer de respect ? Cacher mon matériel pédagogique, ce n’est pas me manquer de respect ?

- Quel matériel ?

- Le martinet… que tu as glissé sous un coussin. Il y a un bout de lanière qui dépasse !

- Ah…

- Donc, tu comprendras que tout ça mérite un sérieux recadrage ?

- Ben …

- Mais tu connais mon indulgence ?

- Euh… Je la connais bien, oui !

- Je suis prêt à passer l’éponge… à une condition !

- Tout ce que vous voudrez, monsieur Maxou !

- Le professeur de musique est encore venu se plaindre que tu n’apprenais pas les paroles des chansons.

- La dernière ? Le fesseur des Lilas ? Mais elle est dure monsieur Maxou !

- Il t’avait donné un ultimatum : savoir au moins la première strophe et le refrain pour aujourd’hui. C’est bien exact ?

- Oui, monsieur Maxou, mais…

- Donc, nous allons vérifier ça tout de suite ! Et si tu ne fais aucune erreur, tu ne seras pas punie… Dis-donc, le martinet sous le coussin, ça fait désordre, tu ne trouves pas ? Redonne-le moi. »

L’étudiante récupère l’instrument et le tend au directeur qui le range dans son tiroir.

« Je le range, car nous n’en aurons pas besoin… »

Le visage de Léa s’éclaire pour quelques secondes… mais s’assombrit aussitôt lorsqu’elle voit Max sortir de sa poche sa fameuse Caressante, toute en cuir, seize lanières…

« Bien… Tu vas me réciter les parole de cette chanson… Et à chaque erreur, tu enlèves un vêtement.

- Hein ? Mais je vais vite me retrouver toute nue !

- Ben non, Léa ! D’abord, parce que j’espère que tu ne feras aucune erreur… Et ensuite, parce que tu seras autorisée à garder le minimum pour préserver ta pudeur.

- Donc, je pourrai garder ma culotte et mon sout…

- La cravate et les chaussettes ! C’est tout ce que tu pourras garder! Assez discuté, je t’écoute ! »

Bon … il est clair que Léa n’a fait aucun effort pour apprendre quoi que ce soit. Gentiment, Max passe sur quelques omissions, mais au bout d’une ½ strophe , l’étudiante n’a plus que sa cravate et ses chaussettes. Visiblement mal à l’aise, elle se dandine en tentant de masquer son intimité.

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Max lui fait signe de se courber sur le bureau. Elle obéit. Il s’approche, pose délicatement sa main gauche sur le dos nu… un sifflement dans l’air… et un claquement lors de l’impact !

« Aïe !

- Alors Léa ? Comment trouves-tu ma Caressante ?

- Je trouve qu’elle fait mal, monsieur Maxou ! Aïe ! »

Impitoyablement, Max fouette les fesses de la malheureuse étudiante. Les coups s’accélèrent et s’intensifient. Elle gémit, demande pardon, promet qu’elle ne recommencera plus, qu’elle apprendra ses chansons par cœur… Les lanières laissent de belles traces de leur passage. Max s’arrête , tâte les fesses … juste tièdes. Alors il reprend de plus belle, au grand dam de Léa.

Quelques minutes plus tard, après avoir constaté une augmentation nette de la température, il range l’instrument dans sa poche.

« Tu peux te redresser, Léa.

- Ouille ouille ouille ! Vous m’avez mis le derrière dans un état. Ça brûle, monsieur Maxou ! proteste Léa en se frottant les fesses.

- Tu l’avais mérité, Léa ! Mais, comme je suis très attentionné, je vais essayer de t’arranger ça ! Va t’allonger sur le canapé. »

Max sort de son tiroir un tube d’arnica , vient s’asseoir près de son étudiante, et, très délicatement, lui masse les fesses avec la crème .

« Vous êtes gentil, monsieur Maxou. Merci beaucoup. Je peux me rhabiller maintenant ?

- Te rhabiller, Léa ? Pas tout de suite, tout de suite… La punition n’est pas tout à fait terminée.

- Oh non ! »

Il ouvre un tiroir et en sort un petit panneau de carton sur lequel est écrit « J’ai été punie au martinet pour avoir manqué de respect à M. Max. » Il le lui donne et lui ordonne d’aller au coin en tenant le panneau dans son dos. Elle obéit sans protester.

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Elle entend un grincement.

« Euh… Qu’est-ce que vous faites, monsieur Maxou ?

- Je laisse la porte ouverte, Léa, pour que chacun sache ce qui l’attend en cas de manque de respect !

- Oh non ! S’il vous plaît !

- Rien de personnel, Léa. Ce n’est que de la pédagogie! »

 

14 juin 2016

Sujet de philo !

Eh bien voici en avant première le sujet de philo qui va permettre à nos étudiants les plus performants de développer leurs capacités d’analyse et de synthèse et d’exercer leur esprit critique.

« Douleur physique ou humiliation ? Quelle composante de la punition est prédominante ? »

Doulhumilavbul

Vous avez quatre heures…

 

28 juin 2016

L'énigme des chapeaux

Trois chipies sont convoquées dans le bureau du directeur pour être punies. La sentence est de vingt coups de martinet chacune.

Toutefois, Max, dans sa grande mansuétude leur fait la proposition suivante :

Cinq chapeaux

« Voici cinq chapeaux : deux bleus et trois rouges. Je vais vous coiffer chacune d’un chapeau. Si vous êtes capable de me dire sans vous tromper la couleur de votre chapeau, vous ne serez pas punie. Si vous vous trompez, la sentence sera doublée. Si vous ne dites rien, vous aurez les vingt coups de martinet prévus. »

Trois chipies chapeautées déc

 

 

La première chipie interrogée réfléchit puis préfère se taire.

La suivante réfléchit à son tour et choisit de ne rien dire.

La troisième réfléchit, puis déclare « Mon chapeau est rouge. »

Elle échappe donc à la punition.

Comment pouvait-elle en être aussi sûre ?

1 juillet 2016

Happy Birthday Pandora!

Toute l’équipe de l’Institut tient à souhaiter à Pandora Blake un joyeux anniversaire.

Joyeux anniv Pandora avec bulles

Cette grande dame du Monde de la Fessée est aujourd’hui incontournable. Elle en est la reine.

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Elle mène un combat contre les lois puritaines de son pays qui l’ont obligée à fermer son site « Dreams of Spanking ». Qu’elle reçoive ici le soutien officiel de l’Institut !

Pandora

 

Joyeux anniversaire, Pandora !

11 janvier 2017

La galette des rois

Temps de préparation : 10 minutes

Temps de cuisson : 20 minutes

 

Galette001

- 2 pâtes feuilletées
- 140 g de poudre d'amandes pour frangipane

Galette002


- 100 g de sucre fin
- 2 œufs
- 75 g de beurre mou
- 1 jaune d'œuf
- 1 fève

 

 

Placer une pâte feuilletée dans un moule à tarte, piquer la pâte avec une fourchette.
Dans un saladier, mélanger la poudre d'amandes, le sucre, les 2 oeufs et le beurre mou.

Placer la pâte obtenue dans le moule à tarte et y cacher la fève.

Recouvrir avec la 2ème pâte feuilletée, en collant bien les bords.
Faire des dessins sur le couvercle et badigeonner avec le jaune d'œuf .
Enfourner pendant 20 à 30 min à 200°C (thermostat 6-7); vérifier régulièrement la cuisson !

 

 

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26 novembre 2016

Sac de noeuds

Un froid vif et humide s’est abattu sur la ville. Les lumières du port parviennent à peine à s’imposer à travers ce crépuscule brumeux. Max s’est réfugié au fond d’un café sordide et mal chauffé. Il sirote son troisième whisky en surveillant son téléphone posé sur la table. Après avoir décliné gentiment les avances d’une prostituée désœuvrée, il s’apprête à se lever et à partir.

Mais que fait donc Max sur le port ?

Dans le but d’enrichir l’offre d’enseignement, l’Institut s’est doté d’un bateau : un large voilier avec cabine du capitaine, et Max, lui-même se propose d’initier les étudiants à la navigation de plaisance. Le bateau n’est pas immense et ne peut guère accueillir plus d’un étudiant par séance. Celle qui a été désignée pour inaugurer ce fier voilier est Fanny, la fameuse chipie masquée, au grand dam des autres étudiantes qui la traitent de chouchoute !

Pour cette première séance consacrée au gréement, Max avait demandé à Fanny de potasser à fond les nœuds marins.

Mais Fanny n’est pas là !

Pour avoir un rendez-vous avec Fanny, c’est très compliqué : « Je pourrai peut-être lundi, à moins que ce ne soit plutôt mardi ou mercredi…. Jeudi, ça serait mieux, mais pas sûr…. Le mieux c’est que je vous confirme vendredi. »

Il se lève, ramasse son sac, dépose de la monnaie sur la table et ..

« Bonjour monsieur Maxouille ! »

Elle est là, devant lui, avec son bonnet noir à pompon et son sourire innocent.

« Bonjour Fanny…  je te rappelle que mon nom est Max, Professeur Max.

- Bien sûr, monsieur Maxouille. Il est où, votre bateau ? 

- On y va Fanny. Suis-moi. »

Ils déambulent le long des quais et finissent par arriver devant le magnifique dériveur de l’Institut.

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Ils descendent dans la cabine, magnifiquement décorée aux couleurs de la mer. Un téléviseur à écran plat permet de diffuser des vidéos à caractère pédagogique.

Elle manipule la télécommande, se précipite sur la couchette, et tente sans succès de faire le poirier. Max toussote et la rappelle à l’ordre.

«  J’imagine que tu connais les nœuds sur le bout des doigts ?

- Euh… oui oui…

- Nous allons vérifier ça. »

Max lui donne deux bouts de ficelle.

« Fais-moi un nœud d’ajut.

- Ah … le nœud d’ajut, euh… celui-là j’ai un peu de mal…

- Bon.. alors un nœud flamand.

- Flamand ?  Rose, alors ?

- Non , Fanny. Un nœud d’agui? Un nœud de chaise double ?

- Ben …

- Tu te moques de moi ! Tu n’as rien appris !

- J’ai eu des imprévus et …

- Les imprévus, ça se gère ! La preuve ! »

Il s’assied sur la couchette et fait signe à la polissonne de venir s’allonger sur ses genoux. N’ayant pas d’autre alternative, l’impertinente s’exécute. Max claque vigoureusement les fesses recouvertes d’un jean épais. Visiblement, elle n’a pas l’air de trop souffrir. Au bout de quelques minutes, il la relève et lui demande de baisser son jean. Elle obéit en faisant la moue. Les claques reprennent sur la culotte de coton blan

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c. Cette fois , Max sent qu’elle réagit : elle s’agrippe à ses chaussures, semblant se cramponner aux lacets. Max se dit qu’il y va peut-être un peu fort et décide d’abréger la punition. Mais au moment de relever la pauvre chipie masquée, il s’aperçoit que ses deux chaussures sont nouées ensemble !

« Mais … Qu’est-ce que tu as fait ? !

- Ben, je m’entraîne à faire des nœuds. Vous devriez être content, Maxouille !

- Content ???? Espèce de petite effrontée, tu vas voir si je suis content ! »

Et d’un geste rageur, il baisse la petite culotte blanche, dévoilant une paire de fesses déjà bien colorées… mais pas assez pour lui, apparemment, puisqu’il se remet à l’ouvrage avec énergie. Les claques retentissent dans la petite cabine ; les mouvements font tanguer légèrement le bateau. Max se dit qu’il aurait peut-être dû se limiter à deux whiskys car il sent que son estomac proteste.

Il relève donc l’infortunée, tente de se mettre debout à son tour, mais, ayant oublié que ses deux chaussures étaient nouées,  retombe lourdement sur la couchette. Il jette un regard noir à l’impertinente chipie masquée qui avait profité de l’occasion pour se reculotter. Quelle impudence !

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« Attends ! Je n’en ai pas encore fini avec toi ! lui lance-t-il en dénouant ses lacets. Tu vas tâter de la caressante ! »

La pauvre jeune femme, vexée, va s’asseoir dans un coin et se met à bouder.

Max sort de son sac son instrument pédagogique préféré et sans ménagement, relève la chipie, la redéculotte et la couche sur le lit face à ses deux bout de ficelle.

« Puisque tu t’es entraînée avec mes lacets, tu vas pouvoir me montrer ce que tu sais faire ! Et la caressante va t’encourager ! »

Impitoyablement, les lanières de cuir viennent zébrer le superbe postérieur déjà bien rougi par la fessée manuelle. Stoïquement, la malheureuse essaye vainement de faire des nœuds…

Pédagogie des noeuds

Max regrette de plus en plus son troisième whisky, et, au bout de quelques cinglées, il prend conscience que s’il y a des nœuds, c’est uniquement dans son estomac !

Il abandonne son instrument sur le lit pour se précipiter dans les toilettes.

Lorsqu’il ressort, elle le regarde d’un air de compassion : 

« Vous êtes sûr que ça va, Maxouille ?

- Oui… merci.

- Regardez : j’ai réussi à faire des nœuds ! »

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Et Max découvre la caressante dans un état pitoyable !

« Ha ! Elle a osé ! Elle ne respecte rien ! Quelle friponne ! »

Et il se met à claquer énergiquement les petites fesses de la chipie . Max voit rouge… rouge vif en l’occurrence.

«  Bon ça suffit, là ! Au coin !

- Ah non, Maxouille ! Pas le coin !  S’il vous plaît!

- Si ! Mademoiselle l’impertinente ! Tu vas rester au coin dix minutes, ça te fera le plus grand bien !

- Non ! Non ! Non ! J’irai pas! Na! »

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….

Quelques minutes plus tard, l’étudiante est autorisée à sortir du coin et à se rereculotter .

Ils quittent le bateau. Max se sent tout de suite mieux sur la terre ferme.

« Allez Maxouille, lui murmure la chipie toute mignonne, je vous offre un verre pour vous remettre de vos émotions ! »

Max accepte bien volontiers, mais pas de whisky cette fois-ci ! Un bon chocolat chaud fera l’affaire !

 

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